Monthly Archives

avril 2013

DIGITAL

ITW Elodie Darquié – Inria

La web agency 50A a reçu dans ses bureaux, Elodie Darquié, chef de projet communication grand public chez Inria. Elle nous a fait le plaisir de répondre à quelques questions concernant Inriality, plateforme d’échanges et de réflexions autour des enjeux de la civilisation numérique.

Publié par l’Inria en 2011, le baromètre : les Français et le nouveau monde numérique met en avant le fait que les français sont curieux mais relativement perplexes face aux enjeux du numérique dans des domaines divers et variés de notre société (la santé, l’agriculture, l’environnement…).

Ecrit par des journalistes ou des contributeurs, les articles ont pour but de sensibiliser un plus large public aux enjeux du numérique. Acteurs et témoins du monde numérique, leaders d’opinions, penseurs numériques et chercheurs en science du numérique répondent à toutes les questions que l’on se pose sur cette nouvelle société.

Nous vous laissons découvrir l’interview d’Elodie à propos d’Inriality.

ITW d’Elodie Darquié – Inriality from agence 50A on Vimeo.

Top 5 by 50A

Des gisements de données aux rumeurs
Hacker l’Ile de France
Protéger son identité sur Internet
Data : le nouvel or noir ?
La réalité augmentée

Qui est Elodie ?
Elodie Darquié est chef de projet communication grand public chez Inria, Institut Publique de Recherches en Sciences Numérique. Inriality est un dispositif d’informations et de débats autour du monde numérique.

Quel est l’origine du projet ?
En 2011, le baromètre : les Français et le nouveau monde numérique publié par Inria mettait en avant le fait que les français sont plutôt curieux et intéressés par le numérique tout en étant perplexe. Il y a aussi une certaine forme d’incompréhension. Inriality a été crée en 2012 dans le but de répondre à ces questions et de rendre accessible ces enjeux au grand public.

Quel est l’objectif d’Inriality ?
L’objectif est de provoquer le débat sur notre monde qui est percuté par une réalité de plus en plus numérique, et de sensibiliser un plus large public aux enjeux du numérique.
Inriality veut permettre a tout le monde de mieux comprendre les enjeux du collectif numérique. Nous avons tous des usages du numérique (dans médecine par exemple), Inriality essaie de comprendre comment le numérique s’est installé dans notre société et ses enjeux, pour ainsi ouvrir un débat.

Quel type de contenu peut-on trouver ? Quel est le public visé ?
Inriality est un lieu de dialogue où chacun est libre d’apporter sa contribution.
Pour répondre aux différentes questions que l’on se pose, diverses sources d’intelligence sont réunit pour la rédaction d’articles :
– des articles informationnels rédigés par l’équipe Inria
– des chroniques rédigées par les contributeurs ou ce dernier partage ses expériences personnelles et défend ses idées
Cette plateforme vis le grand public avec des articles pédagogiques, parlant de thèmes quotidiens (santé, transports…).

Comment les collaborateurs sont-ils choisis ?
N’importe qui peut apporter sa contribution.

Comment Inriality va évoluer ?
L’équipe d’Inriality espère que le baromètre de Inria montrera que les Français ont une meilleure compréhension du numérique dans notre société, avec  l’espoir d’engager un débat avec tous les citoyens.

Merci à Elodie pour cet interview !

L’équipe 50A 

ARCHITECTURE SOCIALE DIGITAL VISIBILITE WEB

Si vous n’aviez jamais rien compris à 50A

Chez 50A, nous savons ce que nous faisons, mais parfois, il est facile de se perdre dans notre galaxie.
Chez 50A, nous vous proposons plusieurs services, mais parfois, vous vous demandez quel est le cœur de notre activité.

Et ça, nous l’avons bien enregistré.

Depuis des mois, nous travaillons sur notre positionnement pour le rendre plus accessible. Nous avons réussi à cartographier nos services, nos événements, notre laboratoire de recherche, nos méthodes de travail.

Notre projet est cohérent : nous développons des activités différentes mais communes. Nos savoir-faire vont de pair : tout s’assemble et tous nos services trouvent leur place.

C’est ainsi que tout s’éclaire pour vous.

Transcription schéma : le projet print qui arrive chez nous !

La galaxy 50A est un savant mélange d’hommes, d’expertises et de projets. Chaque objet de cet univers apporte plus de cohérence au projet global. Aujourd’hui, l’astre astral central qui irradie dans toutes les directions et qui nous démarque, est notre cellule de R&D : iBrain.

Nos recherches nous permettent d’être reconnus dans nos domaines d’expertises par de grandes institutions mais aussi de développer des schémas de travail innovants qui bénéficient à toute l’agence.

Avant tout, 50A est une agence digitale. Nous réalisons des sites et des applications mobiles grâce à la maîtrise du développement web/mobile, du web-design mais aussi grâce à la gestion de projets informatique agile et à la maîtrise du SEO. A ce titre, nous avons développé notre application iPlace, un agenda dynamique qui propose les bons plans proches de vous.

En effet, chez 50A, nous connaissons les secrets de Google pour faire en sorte que votre site soit visible. L’équipe a une forte expertise doublée d’une longue expérience dans le référencement naturel et le SEM pour permettre à nos clients de se positionner comme des leaders dans les recherches Google.

Pour affiner votre positionnement, nous travaillons depuis longtemps sur l’e-influence de nos clients. Afin d’assurer leur positionnement avec un réputation forte et positive sur les réseaux sociaux, blogs et forums, nous développons des écosystèmes capables de capter les signaux qui visent la marque, d’y répondre ou de les affaiblir. Grâce à nos recherches, nous avons développé des cockpits d’analyse sectoriel de l’e-réputation que nous adaptons au business de nos clients.

Depuis bientôt 10 ans, nous croyons à l’intelligence collective. Que ce soit dans le Digital, le SEO ou l’e-influence, nous organisons des manifestations qui nous permettent d’enrichir notre savoir et de le partager.

Ainsi nous allons organiser pour la 4ème fois un barcamp autour de l’e-reputation et les données personnelles. Dans nos locaux nous avons dédié 20% de l’espace au coworking et avons ouvert L’auberge à Marseille, un sas de décompression ouvert à tous. L’auberge participe aussi à la démonstration de notre agilité quand, plusieurs fois par an, nous délocalisons toute l’agence pour le South {co}working pour prendre le recul nécessaire à l’orientation de l’agence.

Globalement, la communauté et l’écosystème traditionnels de nos clients sont redéfinis par les nouveaux médias. Le potentiel de développement induit par ce progrès est extraordinaire mais complexe et il est difficile de s’y retrouver. C’est pourquoi nous pensons que le digital doit rester un outil au service des hommes et de leurs projets plutôt qu’une nécessité mal comprise.

Dans le digital, on fait de l’écrit et du visuel, mais aussi du print !

A très vite !

La galaxie 50A.
Votre Druide.
Votre Docteur.
Notre équipe.

Notre Manifesta.

Rédigé à plusieurs mains : Nicolas, Thibaut, Louis et Alice.

COWORKING LAB DIGITAL

MyDataLabs : Quantified Self & Own Your Data

MyDataLabs est une association de loi 1901, partie d’un mouvement émergent spontané de gens intéressés par le Quantified Self et les données personnelles.

 

Un think tank au service de la data

Christophe Ducamp Emmanuel Gadenne, Nicolas Bermond et Thibaut Brousse, qui sont à l’origine du projet, ont pour vocation de réfléchir sur les données personnelles, l’open data et le big data. « Nous voulons rester focus sur la donnée personnelle » explique Christophe, « devenir une sorte de think tank et de change tank ».
L’objectif étant de fédérer, à la fois les gens qui se battent pour imposer des standards, et les gens qui font du lobbying pour imaginer et inventer des nouvelles entreprises et modèles économiques. Tout cela, dans une démarche pédagogique de la donnée personnelle.

 

 

 

 

MyDataLabs : un équilibre entre transparence et vie privée

Christophe aimerait monter un groupe de réflexions en français puisque la matière première est en anglais, pour sensibiliser un public français.
Sujet qui est extrêmement vaste, l’échange de données va devenir un énorme enjeu économique et financier, qui va reposer sur la question du respect de la vie privée.
Ce qui les intéressent est la philosophie peer-to-peer mais aussi de prendre la défense de l’utilisateur. Christophe appuie sur le fait que les quatre géants qui gouvernent Internet (Apple, Google, Facebook et Amazon) font leur marché sur la donnée qui est produite au jour le jour par l’utilisateur, sans que celui-ci en ait la moindre connaissance.

MyDataLabs espère sensibiliser les publics et faire en sorte que ces données circulent au mieux et soient dans l’intérêt de l’utilisateur, tout en trouvant les moyens économiques qui vont avec.

 

 

www.cil.cnrs.fr/

 

 

Et par la suite, il voit en MyDataLabs  » un acteur qui fasse de l’incubation, du lobbying, ainsi que des événements, de l’appel à projet… Nous sommes sur un secteur ou il y a beaucoup de boulot » poursuit-il.

 

MyDataLabs coorganise avec Mobile Monday Paris, un opus dédié à la santé et au bien être, le 22 avril prochain. Nous espérons vous y retrouver !
Pour vous inscrire, c’est ici.

 

MyDataLabs sur Twitter.
Crée par :
Nicolas
Thibaut
Christophe
Emmanuel
Vincent
Rédigé par Alice

Sources des images :
Image 2
Image 3

COWORKING LAB

Bitcoin : la monnaie digitale

Cet article est né de notre Coworking Lab. Bill et Christophe ont apporté leur contribution, et nous ont permis de finaliser cet article.

Bitcoin est une monnaie digitale décentralisée, générée sur Internet, qui possède plusieurs avantages : système peer-to-peer, aucune tierce personne, s’utilise dans tous les pays et les transactions sont anonymes.

La première question que l’on se pose est comment fait-on pour générer des bitcoins?

La première façon est le mining. C’est sans doute le plus long processus : l’ordinateur devient un « noeud » parmi les « noeuds » du réseau BTC. Une fois parvenu à la fin du bloc, on génère un bitcoin.
Le plus simple est de faire du « pools de mining » : on met en commun les ressources des ordinateurs. C’est une solution plus rapide pour parvenir à générer un bitcoin.
Lightcoin est un moyen de générer des lightcoins. Ici, on calque toutes les bases théoriques du Bitcoin, mais le mining se fait plus rapidement.
Il est possible d’échanger ses lightcoins contre des bitcoins. Le Linden, monnaie de Second Life, s’échange aussi contre des bitcoins.

Au départ un système de micro paiement…

Il y a 3 ans, les bitcoins étaient censés être un moyen de micro-paiement. Aujourd’hui, la valeur a tellement augmenté que l’on ne peut plus faire des achats quotidiens.
On parle plutôt d’un refuge de la valeur : certaines personnes ont mis toutes leurs économies dedans, en pensant que cette monnaie va être multipliée par 100 ou 1000. L’exemple le plus concret, est ce canadien qui a mis en vente sa maison en Bitcoin.

Cependant, il faut faire attention à ne pas mettre tout son argent, si on peut pas en assumer les responsabilités. En effet, l’année dernière Bitcoin a connu un krach qui a divisé sa valeur par 7.
Le bon coté est qu’il y a un nombre de Bitcoin fixé à terme (à 21 millions d’unités): aucun risque d’inflation. On peut voir le nombre de bitcoin disponible https://btcdirect.eu/fr-fr/combien-de-bitcoins-sont-en-circulation

Bitcoin, une démocratisation de la monnaie…

Aucune autorité centrale, des transferts 100% anonymes et 100% transparents : personne ne peut être identifié, excepté par son numéro de portefeuille. Toutes les transactions sont déclarées ouvertement.
Des sites permettent de retracer l’historique des transactions et de les voir en temps réel.

Le gouvernement américain réagit…

et parle de réglementer cette monnaie, chose compliquée puisqu’il n’y a pas d’autorité centrale, et que tout est anonyme.

Si Bitcoin a triplé en quelques semaines, c’est sans doute à cause de la Chypre, de l’Euro et du Dollar, de l’importance que les médias ont pour cette monnaie, ainsi que la peur de pénurie.
Bitcoin est un refuge. Cette monnaie fait prendre conscience que l’argent n’est pas réel. L’argent épargné était sous forme d’or, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.
L’argent n’est donc plus réel.

En France, la communauté de « bitcointers » est très faible, voire inexistante. Le défi est donc de créer une communauté qui sort du côté « glauque » (échange de BTC dans la rue, réseaux illégaux). Tout cela échappe au monde. On peut considérer Bitcoin comme le « napster de la monnaie », une culture geek, une culture du peer-to-peer.
Bitcoin va finir par se généraliser, puisque tout n’est qu’une question de génération. Les générations suivantes voient et verront Bitcoin comme une simple monnaie virtuelle.

Pour le moment, l’activité principale n’est pas le commerce, mais le trading. Bitcoin est encore dans une démarche avant-gardiste. Mais l’explosion des BTC ne saurait tarder…

Et si 50A vous propose de régler certaines prestations en Bitcoin, seriez vous prêts?

Pour aller plus loin :
We use coins
Le Wiki Bitcoin
Bitcoin en temps réel
Bitcoin Exchange Dead :)
Real time Bitcoin

Réfléchi par Thibaut, Nicolas et Louis
Rédigé par Alice
Pimenté par Bill et Christophe

Retrouvez aussi notre article sur le DAO