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50A teste mes bonnes copines

J’ai découvert le site « mes bonnes copines » suite à une période intensive de veille (humm..) dans l’article de Magali Faye sur le site webmarketing.com.

Une fois l’article fini, je me suis empressée d’aller découvrir un énième réseau social… et WOUH ! Pour une fois, un peu d’innovation, d’intrigue face cette plateforme qui permet de se rendre service. Pas de voyeurisme, ni de question d’e-réputation.

Non, mesbonnescopines.com est là pour nous rendre service, à nous les filles. Je me suis donc hâtée de contacter la personne responsable du site, Florence Haxel.

Et zou, elle a répondu illico à mes questions sur ce nouveau réseau social qui a de l’avenir, car il est différent.


Qui compose la team de Mes bonnes copines ?

Moi, Florence Haxel, 34 ans, serial entrepreneuse (déjà une agence de com événementielle artistique depuis 12 ans : La Tribu des Créateurs), 2 bouts de chou de 5 et 2 ans, 1 mari, 1 maison, 1 chien et pas mal de bonnes copines !

Thierry Rousseau, 37 ans, consultant e-business ultra pro et sympa, rencontré grâce à une bonne copine et avec qui je me suis associée dans cette aventure !

Peux tu nous expliquer rapidement le concept ?

« Coups de pouce entre superwomen » est un réseau social d’entraide entre femmes.

Mesbonnescopines.com , c’est une plateforme où l’on partage ses petits et grands talents sous la forme de coups de pouce gracieux autour de toutes les facettes de nos vies de femme : travail, famille, maison, loisirs et engagements. C’est un réseau social fermé auquel on accède en étant marrainée par une bonne copine. En échange d’un coup de pouce rendu, la bonne copine vous remet une de ses bizz (petite bouche rouge du logo) qui vous permet de remercier une autre bonne copine de son coup de pouce !

D’où est venue cette idée ?

De ma propre vie de « jongleuse » du quotidien qui vit 5 vies dans la même journée’ Et d’une paire de rideaux qui traînaient dans mon salon depuis 2 mois par manque de courage de devoir la prendre avec moi pour trouver une couturière pour finaliser un ourlet.

Je me suis dit qu’il était quand même dommage que cette paire de rideaux ne soit toujours pas installée alors qu’il y avait sûrement une bonne copine dans mon quartier qui maîtrisait sa machine à coudre, qui aurait peut-être un peu de temps et qui aurait pu me sauver’ Sans conteste, j’aurais voulu lui faire une bizz pour la remercier et j’aurais pu lui proposer mon petit talent perso, comme de la coacher pour un entretien d’embauche, par exemple !

L’idée de départ était avant tout très pragmatique ! S’appuyer sur la puissance d’internet pour se connecter, se faciliter la vie, se l’enrichir en faisant de belles rencontres et de belles découvertes. Les mots clés sont : efficacité et bon esprit !

Depuis quand le projet est-il lancé ? Comment avez-vous organisé le lancement ?

J’ai eu l’idée en juillet 2011. J’ai passé 6 mois à trouver les fonds nécessaires au développement du site, puis 4 mois de développement et un site en ligne le 15 juin 2012 comme prévu ! Grand challenge !

Nous travaillons le lancement depuis mars 2012 sur le web avec la création d’un blog, du buzz sur facebook, twitter, linked in, viadeo’. Et de plus en plus relais sur des blogs depuis le 15 juin et une grosse campagne de presse en septembre !

Aujourd’hui, nous sommes 1600 femmes sur le réseau et plus de 400 coups de pouce en ligne ! Un bon début !

D’où vient votre baseline ? Qui sont les superwomen ?

Je pense que nous devenons toutes naturellement des « superwomen » du quotidien, de fait !

Quand on doit gérer 1 boulot, des enfants, des sorties avec son chéri, des courses, des vacances, les factures, la nounou, les achats de vêtements des enfants, l’organisation des anniversaires, les travaux de la maison,’ C’est presque normal !

Pourquoi avoir opter pour un réseau social exclusivement pour les filles ? Pour la girl power ?

Pour plusieurs raisons’

*Je crois que la solidarité féminine existe pour de vrai. D’autant plus, une fois que l’on a eu des enfants. On partage un secret unique vraiment vraiment particulier.

*Je crois que les femmes osent plus facilement montrer leurs faiblesses et demander de l’aide. La société ne nous a pas formatées comme les hommes à devoir être les plus forts, les meilleurs, sans faiblesses. Les femmes savent donc profiter de ce type de réseau social pour s’améliorer, avancer.

*Je crois que les femmes manquent de confiance en elles et je voulais les aider à dépasser ça. Se poser la question « Quel est mon talent que je peux proposer aux autres » est un vrai exercice bénéfique ! D’ailleurs, nous avons 90% de propositions de coups de pouce en ligne et seulement 10% de demandes !

*Je voulais que l’on puisse oser faire entrer n’importe qui chez soi. Et n’être qu’entre femmes, ça aide beaucoup pour ça ! Pas de danger à l’horizon’ ;-)

Êtes-vous satisfaits de l’avancée du projet pour Mes Bonnes Copines ?

Nous atteignons nos objectifs pour l’instant. En un mois, 1600 femmes sur le réseau, 400 coups de pouce en ligne, plus de 50 coups de pouce déjà réalisés, c’est un bon début !

Mais la vague va vraiment déferler à partir de septembre et l’importante campagne de communication qui est prévue !

Quel avenir envisagez vous ?

Un avenir ambitieux ! Imaginez 1 000 000 de femmes sur ce réseau, quel force, quel pouvoir, quel avancée pour tous les projets perso et professionnels des femmes ce serait !!!!!

Vous voulez en savoir plus ?

Retrouvez Florence et ses bonnes copines sur  Facebook , sur  Twitter 

Un grand merci à Florence Haxel, qui, même en étant « serial entrepreneuse » a pris le temps de répondre à mes questions, ça c’est du coup de pouce ;)

Et on souhaite une bonne continuation à la teAm de mesbonnescopines.com !

?? savoir : vous pouvez faire partager vos coups de pouce (et en recevoir) en devenant une bonne copine et pour l’être il faut être parrainé.. ou plutôt marrainée !

Si vous êtes intéressée, envoyez-moi votre e-mail à contact@50a.fr et je ferais de vous une de mes bonnes copines ;)

©photos  Thibault Grabherr

Article rédigé par Emmanuelle / @emmanuelle_gg

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