Le challenge de Nicolas Bermond ces 18 dernières années : Faire parler les hackeurs, le monde du logiciel libre, l’open source avec le BtoB et le monde politique
On a 18 ans en tant qu’agence de communication digitale
De 2005 à 2010 c’était dans un appartement que “PME multimedia” (notre premier nom) faisait des sites Internet et du référencement, le point de bascule a été 2008 avec l’émergence du web 2.0 (le web des plateformes et du social media). Pour marquer le coup, on a organisé un barcamp sur le thème de la e-réputation en 2012 – pionniers sur la thématique à l’époque !
Engagé, l’agence digitale 50A organisait à l’aube du printemps arabe (2011) : un barcamp simultané entre Tunis et Paris afin de donner la parole aux tunisiens sur leur manière d’utiliser les réseaux sociaux en temps de révolution ! Retrouvez notre vidéo sauce vintage du barcamp {re}volution !
Petit à petit l’agence e réputation a gagné en maturité et s’appuie sur une méthode solide ! Le client est partie prenante de sa recommandation stratégique en participant à des ateliers structurés sous le signe du “co-design” (le client construit ses clients types, matrice de contenus, parcours clients et plus encore).
Nous mettons également à disposition nos capacités de pédagogie pour enseigner avec 50A Academy, un programme certifié Qualiopi dont nous sommes fiers initiant à l’inbound marketing.
IPlace : le projet qui n’a pas trouvé de gérant ou start uper
Une idée arrivée un peu trop tôt, bien avant l’émergence du machine learning. En 2013 Nicolas Bermond s’essaie au métier d’inventeur avec le projet IPlace : une application capable de construire une semaine idéale à son utilisateur par rapport à toutes ses recherches sur internet. Un prototype de start-up qui n’a pas trouvé de start uper ou de gérant, Nicolas B. ne pouvant mettre de côté les activités de PME Multimédia au profit du projet pépite “IPlace”.
Captures de l’application Iplace, il y a 10 ans !
Les métavers : “… ça s’appelait déjà second life ou Google Lively” s’esclaffe Nicolas
Le métavers quelle belle invention, mais finalement, cela n’a rien d’innovant !
En 2008 Google sortait Google Lively et en 2003 il y avait Second Life qui permettaient de se promener dans des univers en 3D modulables pour passer du temps entre amis, faire des réunions…
La même chose en plus cher, mais cette fois ça va marcher ? Nous verrons bien !
Le smartphone et la finance décentralisée (crypto), deux exemples de méfiance initiale :
Lorsque les premiers smartphones sont apparus sur le marché, peu de personnes y croyaient. Pourtant, ils sont aujourd’hui devenus un objet indispensable pour la plupart d’entre nous. La finance décentralisée crypto suit le même chemin, et pourtant peu de personnes y croient encore aujourd’hui. Anticipons les avancées technologiques à venir pour être en mesure de les utiliser de manière efficace !
L’industrie de la cybersécurité : domaine en constante évolution
Depuis les débuts d’internet, la cybersécurité est un domaine en constante évolution, avec des avancées technologiques toujours plus rapides et complexes. Dans ce paysage en perpétuelle mutation, 50A a su faire ses preuves en rapprochant le monde des hackers avec celui du CAC 40. Notre agence se distingue par son côté culture numérique et son style inclassable.
Machine learning et intelligence artificielle, un domaine à explorer
L’intelligence artificielle (IA) est un domaine qui suscite beaucoup d’intérêt en agence social media, et pourtant il n’a rien de véritablement nouveau. Ce qui est impressionnant, c’est sa mise à disposition pour le grand public qui bénéficie désormais de la rédaction automatique. La question qui se pose désormais est de savoir quoi en faire ? L’IA peut être considérée comme un bon élève, toujours prêt à aider, mais étant donné qu’elle est basée sur le machine learning, elle peut facilement sortir de ses gonds… Avançons à tâtons avec cette technologie.
“Entre 2004 et 2015 : j’étais en capacité de prédire toutes les avancés technologiques à venir, aujourd’hui c’est plus compliqué”
Nicolas Bermond
La décentralisation, un enjeu majeur !
Le bénéfice de la décentralisation est immense, et l’enjeu du WEB est d’étendre ce concept à tout, y compris à notre capital qui aujourd’hui concentre beaucoup trop de choses. Un enjeu majeur car cela permettrait de créer un écosystème plus équilibré, où chacun pourrait y trouver son compte ! (d’ailleurs, cela commence avec les digitals nomades)
Les débuts de 50A, rendre une agence de conseil digital rentable
En 2004, la création de 50A a nécessité trois ans avant de devenir rentable. Avec un diplôme de niveau Bac+6 et 46 heures de travail hebdomadaire pour affiner sa solution en webmarketing, Nicolas Bermond ne gagnait que 1500 € par mois pour un travail de 46 h/semaine. Pour se donner une échéance, il s’est fixé l’objectif de gagner au moins 2500 € par mois dans les six mois suivants, faute de quoi il abandonnerait. En sortant plus souvent, Nicolas Bermond a réussi à rencontrer de nouveaux clients, et à multiplier le chiffre d’affaires de l’entreprise par 5 en l’espace de six mois.
50A, qui avait du mal à payer ses salariés, a commencé à fonctionner comme une véritable entreprise avec plusieurs postes à son actif. Grâce à la persévérance de son fondateur, l’entreprise est aujourd’hui toujours en activité (et indépendante) après 18 ans.
50A se distingue par son approche innovante, qui consiste à anticiper les tendances technologiques pour en tirer le meilleur parti. Entre culture numérique et intérêt pour l’IA, nous sommes certains que l’avenir appartient à ceux qui seront capables de comprendre et de maîtriser les nouvelles technologies, et nous sommes déterminés à faire partie de ces acteurs ! Qui sait, est-ce que l’avenir appartiendra à des offres du type “??cabinet conseil intelligence artificielle” ? On espère être encore présents dans 20 ans pour en parler !
“Fouettons les intelligences artificielles afin d’en tirer le meilleur parti”
Préparez-vous pour 2023 : Découvrez les tendances en marketing digital qui vont exploser sur nos smartphones et dans l’esprit de leurs utilisateurs ! Ne manquez pas cette opportunité de prévoir votre contenu éditorial, promotionnel pour prendre une longueur d’avance sur vos concurrents. Restez à l’affût des dernières avancées en marketing digital pour garantir le succès de votre entreprise !
Sommaire de l’article (tendances 2023) :
1. On fait plus de contenus avec moins de ressources
a) l’employé influenceur; b) l’influenceur virtuel; c) deep fake et influenceurs en 3D; d) comment faire un influenceur virtuel; e) metaverses et influenceurs virtuels
2. Ne plus confondre créateur de contenu et influenceur
a) le créateur de contenu n’est pas toujours influenceur; b) pourquoi choisir un créateur de contenu ?; c) en quoi cette différence est une fracture culturelle ?
3. Être éthique jusqu’au bout des ongles
a) aborder une écriture inclusive; b) évitez d’attribuer des rôles aux genres; c) empreinte carbone; d) marketing inclusif
4. L’expérience e-shopping en AR et filtres
a) nike : essaye tes sneakers sur snapchat; b) the home depot : prévisualiser un meuble dans son salon
5. La fin des cookies
6. SEO, Google 2023 juge votre contenu de manière plus poussée
1. On fait plus de contenus avec moins de ressources
Le contenu est produit toujours plus vite et toujours plus vivant ! Avec les formats stories et TikTok; le créateur de contenu est amené à produire en direct le contenu qu’il va poster, les entreprises vont devoir adapter leurs processus de validation pour rester compétitives. Certaines marques vont jusqu’à créer une publicité de toute pièce armé d’un simple smartphone !
a) L’employé influenceur : l’effet papillon
Les employés sont de plus en plus nombreux à incarner leur entreprise à travers des contenus vidéos pour la faire vivre sur les réseaux sociaux ! Mais pourquoi ?
Avec l’évolution d’Internet qui devient de plus en plus rapide et un public qui se lasse des vidéos provenant de banques d’images, il est naturel de constater une évolution des codes.
Les créateurs de contenu doivent maintenant produire des vidéos de qualité avec moins de ressources et, en conséquence, on assiste à un changement dans le type de contenu qui est publié. Cette transformation se traduit également par une inversion des rôles, où le public devient de plus en plus actif dans la création de contenu.
Une mouvance portée et provoquée par des réseaux sociaux derniers cris tels que TikTok, clairement pensé pour les influenceurs marketing et les particuliers. L’humain est plus que jamais au cœur du contenu ! “Aller Brigitte du pôle RH, aujourd’hui TikTok sur le droit du travail !”
Exemple de contenus d’employés influenceurs :
Le compte Tiktok de Mailchimp
Le compte Tiktok de Duolingo
Le compte Instagram des produits de régime SO SHAPE
b) L’influenceur virtuel : alternative à l’employé pour incarner une personne morale
Alors oui, comme on vient de le dire précédemment, les réseaux sociaux dernière génération nécessitent un humain au premier plan, un présentateur en quelque sorte ! Mais il y a toujours moyen de tricher ! Par exemple, en utilisant une intelligence artificielle pour incarner vos personnages les plus fous ! (mais en veillant à ce qu’ils restent éthiques et socialement acceptables bien sûr)
c) Deep fake et influenceurs en 3D feront l’adage des marques
On parle alors d’influenceur, personnage fictif généré artificiellement pour/par les réseaux sociaux, créé par des entreprises ou des individus dans le but d’influencer leur public. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ces influenceurs virtuels connaissent un succès grandissant. Les gens sont curieux à leur sujet et leur présence sur les réseaux sociaux ne cesse de s’accroître.
Si le concept des influenceurs virtuels existe depuis un certain temps, l’engouement qu’ils suscitent est en constante évolution. Ainsi, en 2022, 35% des consommateurs américains ont acheté un produit ou un service promu par un influenceur virtuel, parmi lesquels 40% étaient des membres de la génération Z ou des millenials.
De nombreuses marques connues ont adopté les influenceurs virtuels en 2022, et elles ont réussi leur coup. Prada, par exemple, a créé un influenceur virtuel appelé Prada Candy, qui est devenu une célébrité générée par ordinateur, une muse virtuelle pour le parfum éponyme de la maison de mode.
On estime que la taille du marché des influenceurs virtuels devrait augmenter de 26% pour atteindre 4,6 milliards de dollars d’ici 2025.
d) Comment faire un influenceur virtuel ?
Avec un gros budget
Grâce à une équipe de modélisation 3D qui l’incruste dans vos paysages et une voix générée grâce à une IA telle que Clipchamp.
Avec plus petit budget
L’outil Synthesia permet de générer un présentateur.trice facilement et lui faire dire ce que vous voulez ! Cela sera correct pour faire quelques vidéos mais pas pour animer tout un instagram sur l’année, si c’est votre projet, mieux vaut se tourner vers la 1er solution !
Une vidéo du média BRUT (où le Rémy Buzine laisse l’IA le remplacer à l’image et au micro) :
e) Les metaverses seront l’évangile des influenceurs virtuels à grande échelle
Et oui, quoi de mieux qu’un monde en image de synthèse pour accueillir des personnages en image de synthèse ? Les marques pourront aisément cloner leurs avatars sur ces plateformes pour les faire vivre telles des marionnettes actionnées par des générations de stagiaires pour aboutir qui sait, dans 10 ans avec des postes de “gérant en avatar – Horizon world (le métavers de Facebook)” c’est une possibilité !
2. Ne plus confondre créateur de contenu et influenceur
Au début des réseaux sociaux (il y a environ 10 – 12 ans), il fut un temps où tout le monde était désigné comme “blogueur” qu’il fasse des vidéos de cuisine, des guides touristiques en ligne, de la mode, de la photographie ou des sketchs de 2 minutes – tous étaient “blogueurs”. Et bien sûr ça n’était pas de vrais métiers… Heureusement la GEN-Z est devenue adulte et ces talents/freelances ont finalement eu la reconnaissance qu’ils méritaient ! Pour en arriver aujourd’hui à de nombreux indépendants hyper segmentés et pluridisciplinaires où tout le monde est son propre média. (simple effet boule de neige de la tendance d’internet à tout décentraliser).
En 2023, un autre glas à sonner : on constate une différence croissante entre les créateurs de contenu et les influenceurs – des termes qui ne sont plus mutuellement exclusifs. Auparavant, tous les créateurs de contenu pouvaient être considérés comme des influenceurs – et vice versa. Mais les définitions ont changé.
a) Dans quel contexte un créateur de contenu n’est plus systématiquement influenceur ?
Les influenceurs gagnent en popularité, parfois jusqu’à des millions de followers – et cela a créé une disparité entre ceux qui ont un grand nombre de followers et ceux qui n’en ont pas. Désormais, bien que tous les influenceurs soient des créateurs de contenu, tous les créateurs de contenu ne sont pas des influenceurs.
Le terme « influenceur » a évolué pour désigner des personnes ayant de nombreux followers, qui sont généralement plus chères à travailler avec et ont une plateforme préétablie. Les créateurs de contenu, quant à eux, travaillent différemment. Ces micro-influenceurs à petite échelle produisent un contenu de qualité similaire à celui des influenceurs, sans les tarifs exorbitants.
b) Pourquoi choisir un créateur de contenu en tant que marque ?
Les marques peuvent travailler avec des créateurs capables de produire du contenu social brillant pour leurs plateformes sans qu’ils aient une présence établie sur les réseaux sociaux.
En plus d’être plus abordables, un autre avantage de travailler avec des créateurs de contenu est qu’ils sont plus accessibles. Ils ne sont généralement pas liés à des marques de grande envergure et peuvent ne pas avoir d’opinions et de styles bien établis, ce qui signifie qu’ils ne viennent pas avec des préconceptions de votre audience.
Leur capacité à être neutres et facilement identifiables en fait le visage frais parfait pour votre marque sur les réseaux sociaux.
c) En quoi cette différenciation est une fracture culturelle ?
Cela encourage à interroger la qualité d’un contenu et sa véracité non pas uniquement par rapport aux nombres d’abonnés mais par rapport à sa qualité rédactionnelle, aux sources citées etc… 2023 sera le dégrisement numérique portée par une quête vers l’authenticité.
3 Être éthique jusqu’au bout des ongles
Ces trois dernières années ont été très mouvementées concernant l’identité des genres; avec énormément de remises en question.
a) Aborder une écriture inclusive dans vos communications
Le public attend de ses marques préférées un langage allégé de genres tant que cela est possible sans pour autant dénaturer votre discours bien évidemment !
b) Éviter d’attribuer des rôles prédéfinis aux genres
Dans vos communications, il est conseillé d’éviter de penser trop binaire concernant les rôles qu’on attribue à un genre plutôt qu’ à l’autre !
c) Empreinte carbone : limitez les déplacements et les temps de chargements
L’écologie, plus que jamais au cœur des débats ! Vous serez jugés sur la quantité de déplacements professionnels considérés comme polluants et sur la quantité nécessaire de ressources pour faire tourner votre site, des labels verts pour agréger l’aspect durable d’un site voient le jour !
d) Marketing inclusif : s’adresser à tout le monde
Cela n’est pas un hasard si le groupe L’oréal intègre une département conseil dédié à la diversité et l’inclusion pour marketer ses 36 marques dans 150 pays !
Les consommateurs souhaitent se retrouver dans les marques qu’ils achètent, alors ajustez vos efforts marketing pour attirer des publics diversifiés !
En 2022, Nielsen a découvert que 59% des téléspectateurs noirs étaient plus susceptibles d’acheter des produits de marques qui mettent en vedette des personnes de leur groupe d’identité dans les publicités. De plus, Twitter a constaté que la communauté LGBTQ+ était une communauté loyale et influente pour les marques qui résonnent avec elle, ce qui signifie que les marques doivent s’exprimer et être authentiques dans leur soutien à la communauté. De plus, 72% de la génération Z ont déclaré qu’ils prendraient en compte les orientations politiques des marques avant de faire un achat.
En 2023, les marques devront adopter une approche activement inclusive dans leurs campagnes. En faisant cela, les entreprises maximisent leur portée auprès des clients potentiels sur les réseaux sociaux.
4. L’expérience e-shopping en AR et filtres
Les nouvelles technologies doivent améliorer l’expérience d’achat en ligne en 2023, parce que les consommateurs en sont friands. Pas seulement dans le commerce : la technologie AR pourrait révolutionner l’industrie de la santé dans les dix prochaines années.
Voyons quelques marques qui excellent dans l’utilisation de la technologie AR pour leurs initiatives marketing.
a) Nike atteint les jeunes audiences avec ses filtres Snap
Snapchat et ses 332 millions de users actifs offre une belle visibilité aux marques avec la réalité augmentée ! Les “snappers” peuvent essayer virtuellement des chaussures Nike via l’application et voir comment elles leur iraient. Cela peut aider à éliminer les barrières à l’achat et à réduire les retours.
b) The Home Depot, permet de prévisualiser un meuble dans son salon
Ce détaillant américain de rénovation domiciliaire offre aux consommateurs la possibilité d’essayer virtuellement des meubles ou des décorations dans leur maison, via son application mobile. La réalité augmentée permet aux consommateurs de voir si les articles spécifiques s’adaptent à la taille et au style de leurs pièces avant d’acheter le produit.
5. La fin des cookies
De la collecte de données au suivi des parcours des utilisateurs, les cookies nous aident à obtenir des informations cruciales sur les comportements et les choix de notre audience.
Google prévoit de supprimer progressivement les cookies tiers sur les navigateurs Chrome en 2023, peu de temps après qu’Apple ait supprimé l’accès aux identifiants de périphériques sur iOS.
En octobre 2022, Chrome représente 65% des navigateurs Internet, Safari arrivant en deuxième position avec 19%. Avec une part si importante d’utilisateurs sur le navigateur Chrome, ce revirement de situation change complètement la donne.
Les utilisateurs demandent une plus grande confidentialité, ce qui est l’un des principaux moteurs de la décision de Google. Alors, est-ce la fin des cookies ? Et comment les spécialistes du marketing peuvent-ils mettre en œuvre de nouvelles façons de recueillir des données vitales dans un avenir sans cookies ?
6. SEO, Google 2023 juge votre contenu de manière plus poussée
La mise à jour « Helpful Content » de Google a pour objectif de mieux mettre en avant les pages qui fournissent un contenu utile et pertinent pour les utilisateurs. Google utilise notamment l’analyse sémantique et le deep learning pour comprendre le sens du contenu d’une page, plutôt que de se baser uniquement sur des mots-clés.
Les sites qui fournissent un contenu de qualité, qui répond aux questions des utilisateurs de manière claire et précise, et qui proposent des ressources supplémentaires sont donc susceptibles de bénéficier d’un meilleur classement dans les résultats de recherche !
Pour faire du contenu en 2023 sur un article de blog, quelques conseils rapides :
a) Évitez de sur optimiser le contenu
b) Évitez de parler de sujets trop éloignés de votre secteur
c) Veillez à un meilleur maillage interne
d) Évitez de copier coller du contenu à tout prix !
l’IA – cette avancée technique inattendue de ces derniers mois, basée sur le deep learning : permettant de tirer parti d’une multitude de connaissances en un temps record. Au service d’uneagence conseil sea elle est capable d’enrichir les résultats de votre campagne en automatisant certaines tâches et en optimisant les performances de votre campagne sea !
Mais, revenons tout d’abord sur les essentiels d’une campagne Google adwords : agence et novice y trouveront des conseils utiles pour démarrer ou s’améliorer.
Les essentiels d’une campagne SEA (Google adwords)
La recherche de trafic payant !
Incontournable pour les entreprises qui cherchent à augmenter leur visibilité en ligne. La recherche payante ou Search Engine Advertising (SEA) est un excellent moyen d’atteindre des clients potentiels qui cherchent activement des produits ou services similaires à ceux que vous offrez. Pour réussir une campagne SEA : agence conseil sea et agence marketing digital tâcherons de comprendre les différents aspects de cette stratégie de marketing, y compris les mots-clés, les annonces et les publiques cibles.
Les mots-clés : fer de lance de toute campagne SEA
En d’autres mots : les termes que les utilisateurs recherchent sur les moteurs de recherche en quête de produits ou des services similaires à ceux que vous proposez. Il est important de choisir des mots-clés pertinents pour votre entreprise, car cela vous permettra de cibler les utilisateurs les plus susceptibles d’être intéressés par vos produits ou services. Les outils d’IA peuvent vous aider à identifier les mots-clés pertinents pour votre campagne en analysant les données de recherche et en déterminant les termes les plus pertinents pour votre entreprise.
Les annonces sont également un élément clé de toute campagne SEA.
Les annonces vous permettent de promouvoir vos produits ou services auprès des utilisateurs qui recherchent des mots-clés pertinents. Il est important de créer des annonces accrocheuses et convaincantes pour inciter les utilisateurs à cliquer sur le lien de votre annonce. Les outils d’IA peuvent vous aider à créer automatiquement des annonces en utilisant des modèles prédéfinis et en remplaçant les éléments de contenu (comme les images ou les titres) pour créer des annonces uniques.
La segmentation des audiences
Le nerf de la guerre de toute campagne SEA. Les audiences sont les personnes qui sont les plus susceptibles d’être intéressées par vos produits ou services. Il est donc important de bien les cibler pour maximiser les chances de conversions en gardant un trafic élevé. L’audience vous permet de comprendre au mieux vos potentiels clients et les inciter à cliquer sur vos annonces : âges, centres d’intérêts, zones géographiques ?
Les outils d’IA peuvent aider à segmenter automatiquement vos audiences en utilisant des données démographiques, comportementales et contextuelles pour cibler les utilisateurs les plus susceptibles d’acheter vos produits ou services.
L’optimisation automatique des enchères
Un aspect important de toute campagne SEA. Les enchères déterminent le coût par clic google ads (et in fine le cout par acquisition google ads.), autrement dit, ce que vous payez pour chaque clic sur votre annonce SEA ! . Il est important de maximiser les conversions ou les clics tout en minimisant les coûts. Les outils d’IA peuvent ajuster automatiquement les enchères pour chaque mot-clé en fonction de la performance de la campagne, de manière à maximiser les conversions ou les clics. Ils peuvent également vous guider dans la meilleure stratégie d’enchère à mettre en place pour votre campagne.
Il existe de nombreux outils d’IA disponibles pour améliorer les campagnes SEA, tels que :
Il s’agit d’une plateforme d’optimisation automatisée pour les campagnes AdWords, qui utilise l’IA pour optimiser les mots-clés, les annonces, les enchères et les publiques cibles.
Un outil gratuit à qui vous pourrez demander de rédiger une annonce très précise dans le nombre de caractères souhaités, mais attention de bien le guider, il peut faire des erreurs ! (voir la capture ci-dessous)
Une campagne SEA efficace nécessite : une sélection de mots-clés pertinente, des annonces accrocheuses et convaincantes (libérez le Molière qui sommeille en vous.), une segmentation de publics cibles efficace, et une optimisation automatisée des enchères en vous appuyant sur des softwares enrichis d’IA pour être sûr de faire mouche, à vos claviers pour créer des campagnes inoubliables !
Avec tous ces outils, vous vous demanderez sans doute « pourquoi faire appel à une agence conseil SEA ? Car même si l’intelligence artificielle est dotée de très bonnes capacités, il est toujours primordial de comprendre ses campagnes et le secteur pour en tirer parti !
Pssst… Chez 50A notre spécialiste google adwords vous propose un accompagnement SEA avec des équipes spécialisées et expérimentées dans l’art de parler à Google ! Contactez-nous.
Retour sur la première journée du #SAS22 organisé par Medinsoft centrée sur l’art de l’analyse sémantique SEO.
L’association Medinsoft a organisé en novembre le #SAS22 pour comprendre comment optimiser son référencement naturel en 2022. Pour cela, des experts sont venus nous présenter les différentes techniques.
Le SEO est l’une des sources qui rapporte le plus de leads sur un site. Cependant, il s’agit d’un travail de longue haleine compte tenu de l’algorithme des robots Google qui évoluent très régulièrement. Il est nécessaire de se tenir informé des dernières techniques de SEO.
Avant de définir sa stratégie SEO, un état des lieux de l’existant est primordial. D’où l’importance de réaliser un audit SEO complet. Didier Mayeur et Nicolas Buttafoghi de Kedge Business School, nous ont détaillé la construction d’un audit SEO. Celui-ci doit se diviser en 2 parties : Technique et Contenu.
La partie technique commence par réaliser un benchmark pour identifier les concurrents, leur positionnement et leur notoriété. Les outils pour le réaliser peuvent être Similarweb et Semrush.
Ce benchmark s’accompagne d’un audit technique :
Analyser et lister les erreurs techniques par URL
Réaliser un audit de vitesse et temps de chargement du site
La partie contenu de l’audit SEO est sémantique, et permet de comprendre le comportement d’achat ou leads de ses visiteurs. Guillaume Eouzan, fondateur de l’agence Mindfruit, est revenu sur la construction d’un audit sémantique :
La méthodologie pour construire un audit sémantique seo passe par la création d’une base de données de requête et de mots clés. Elle se construit à l’aide de plusieurs moyens :
L’analyse desrecherches associées sur Google. Le but est d’en tirer l’élément comparatif (la marque, le modèle, la matière d’un produit par exemple)
Récupérer les questions des People Also Ask
Ne pas oublier l’onglet “vidéos” pour en extraire des données intéressantes (test de produit, explication, tuto…)
Récupérer tous les title des recherches (à l’aide de l’outil Screaming Frog)
Mais quels outils utiliser pour faire un audit SEO ?
Voici une petite liste d’outils en ligne, permettant la réalisation d’un audit SEO :
Keyword surfer : une extension pour trouver des mots clés
Answer the public : génère une liste d’expression associée à la requête
Screaming Frog : crawler de site (ouvrir 1 tableau par concurrent avec sa balise H1 et le Title)
Google Keyword Planner : génère des requêtes synonyme
Google Analytics > Google Ads > Requêtes de recherche : peut donner des idées d’expression clé
SemRush : Keyword magic tool : générateur de mots clés
Une fois la méthodologie pris en compte, il faut identifier l’existant :
Avoir une vision globale du site (grâce à Screaming Frog) et une vue d’ensemble de sa structure, pour créer des cocons sémantiques.
Connaître les intentions de recherche grâce à Google Analytics > Search Console > Requête : analyser les requêtes actuelles qui mènent à notre site
Connaître le nombre d’expressions lié à un nom de domaine (Semrush), réaliser par la suite un audit de positionnement
Et maintenant il ne reste plus qu’à mettre tout ça en pratique pour optimiser le référencement naturel d’un site web !
L’optimisation SEO, par où commencer ?
La pratique peut commencer par l’optimisation de la SERP, un support multicanal où tous les canaux ont une importance. Guillaume Eouzan, nous explique qu’optimiser les images de son site est aussi important que le reste. Pour cela, l’image doit avoir un nom descriptif et une balise ALT.Sur la page de recherche, une des parties souvent négligée en SEO est le pack local de Google My business, pourtant, la localisation permet d’acquérir de nombreux leads. C’est ce que nous a expliqué Michaël Turcan. Effectivement, outre le fait de remplir les informations principales concernant son entreprise, il est nécessaire de mettre des photos, des vidéos de son entreprise. Plus on multiplie les canaux, meilleur sera le SEO. Solliciter les avis de ses clients est aussi une preuve de notoriété, alors on n’hésite pas, et surtout on répond aux avis en utilisant des mots clés !
Mais comment est-ce qu’on définit ses mots clés ?
Pour cela, il est nécessaire de connaître les intentions et les requêtes de ses internautes. Les comportements des utilisateurs s’évaluent avec leur type de requêtes : la requête informationnelle (générique, très large) qui correspond à la recherche d’information, la requête navigationnelle (prioritaire, exemple type de produit, marque, modèle) qui reflète une évaluation des options, et la requête transactionnelle qui correspond à la prise de décision du client.
Structurer sa stratégie SEO
Plusieurs facteurs rentrent en compte dans la construction d’un site et de sa stratégie SEO :
Facteur de contenu :
Il est primordial de créer une arborescence en silo avec le détail des niveaux :
1 : Titre H1 : expression prioritaire de la page
2 : Choix de l’expression clé principale
3 : Expression clé secondaire
Facteur notoriété interne :
Pour lier les pages entre elles, créer un maillage interne permet d’avoir une double arborescence.
Facteur notoriété externe :
Afin d’avoir une notoriété, il faut organiser sa stratégie de netlinking qui permet dedévelopper le nombre de liens internes et de backlinks. Ceux-ci doivent être pertinents. Marc Turkesteen de Develink nous a expliqué comment bien organiser sa stratégie de netlinking.
Une stratégie de netlinking peut se faire sans outils, grâce aux annuaires gratuits, l’échange de liens, des opérations de remplissage, des commentaires, des tests produits, des réclamations, des sites locaux régionaux, ses réseaux sociaux, des sites de blogueurs ou encore grâce aux mentions.
La stratégie netlinking sans outils peut s’accompagner de la création d’un PBN ou « Private blog networks ». Cela consiste en la création d’un réseau de sites web qui sont tous destinés à pousser un site principal cible. Grâce aux liens créés, l’objectif est de permettre au site de référence de mieux se positionner dans les moteurs de recherche grâce aux autres sites web interconnectés, en majorité des blogs.
Le netlinking peut aussi se lier avec une stratégie de relations presse.
Un lien optimisé est un lien avec une ancre qui pointe vers une page précise de votre site.
Il est important de mesurer l’impact du netlinking (avec Google Analytics) pour suivre les positions, vues et conversions. Le netlinking s’accompagne de la rédaction d’articles, selon le cocon sémantique prédéfini, afin d’avoir des liens pertinents.
Facteurs techniques :
Structurer son site est nécessaire : attention à la profondeur de l’arborescence, chaque sous catégorie doit avoir du texte.
La structure passe aussi par l’adaptation de son site en format mobile. Faire son site responsive mobile grâce à la Search console qui permet de contrôler cette adaptation.
Pour une bonne structure technique, il est nécessaire de n’indexer que l’indispensable. Ne pas indexer ce qui est inutile pour le robot :
Sitemap
Robot TXT
Contenu dupliqué
Pour éviter le duplicate content, la balise canonical indique aux robots des moteurs de recherche que la page web est la seule, et qu’il s’agit bien de l’URL canonique à considérer dans un ensemble de pages.
Pour signaler les pages favorites, il suffit de placer la balise canonical dans la zone <head> du code source de la page désirée. Elle doit se présenter de la façon suivante :<head> <link rel= »canonical » href= »http://paged’exemple.fr/pageoriginelle.html » /> </head>
Les meilleures pratiques SXO en 2022
Laurent Ammazini de Medinsoft nous a rapidement présenté le SXO, et nous a donné des bonnes pratiques en termes d’UX, puisque rappelons-le, le SXO est une combinaison entre SEO et UX.
Avoir un design adapté
Optimiser le temps de chargement. Selon Google, la probabilité qu’un utilisateur quitte un site est de 90 % si le temps de chargement est de 3 à 5 secondes.
La navigation doit être fluide, d’où l’importance d’avoir une arborescence calibrée.
L’utilisateur doit trouver l’information rapidement
Créer des boutons visibles et des CTA (call to action)
Appliquer des contrastes pour une visibilité optimale
Le texte doit respecter une logique
Quels sont les outils qui permettent de booster sa stratégie SEO ?
Didier Sampaolo nous a partagé sa boîte à outils indispensable pour optimiser le référencement naturel :
Analyse de trafic :
Google analytics
Matomo
Plausible
Fathom Analytics
À l’aide de ces outils, nous pouvons suivre les performances de son site, d’où viennent les conversions et quelles sont les sources principales de trafic.
Mots clefs :
Google Search console
Bingo webmaster tools
Yandex webmaster
Keyword surfer
Ces outils permettent de suivre combien de fois chaque url a été affichée sur Google.
Savoir quel contenu rédiger :
Google keyword planner
Google trends
Keyword magic tool (Semrush)
Answer the public
Ubersuggest
En plus de ces outils, surveiller la concurrence pour s’inspirer est aussi une technique à adopter.
Pour déterminer les sujets sur lesquels se placer, ne pas oublier d’utiliser les bases comme les brainstormings, support clients, agents sur le terrain…
Rédiger le contenu :
Your text guru
Seo quantum
Générateurs IA (Jasper)
Structure interne :
Screaming Frog
Seolyzer
Oncrawl
Communication backlink :
Réseaux sociaux
Contactez les personnes proches de l’entreprise, les fournisseurs, revendeurs
Acheter des liens (privilégier les liens images : prend plus de place)
Develink
Optimiser les conversions :
Google Analytics
Hotjar (analyse le mouvement de la souris et du clavier)
Google Optimize (fait un rapport des boutons les plus cliqués, avec une analyse des couleurs et des aspects les plus performants)
Positionnement :
Monitorank
Yooda one
Automatisation et API, quels sont les outils ?
Pour terminer la journée, Paul Sanches nous a parlé d’automatisation de contenu, et d’API. Tout peut être automatisé, et Paul nous a présenté les outils pour le faire.
L’arborescence : Open IA
Le contenu : Jasper, Site Dojo, Contenu unique (qui permettent de créer des synonymes)
Les images : DALL-E
L’audio : le plugin Amazon Poly pour transformer du texte en audio
De cette journée, nous retiendrons : l’importance de bien connaître ses internautes et de rester modulable selon les tendances du web en effectuant un suivi performance rigoureux !
Ikebana, un art floral réfléchi pour révéler votre vision, votre mission, vos valeurs
Qu’est-ce qu’un ikebana ?
La structure complète de l’arrangement floral japonais est axée sur trois points principaux symbolisant le ciel, la terre et l’homme à travers les trois piliers : asymétrie, espace et profondeur. Ces trois tiges représentaient le paradis, l’homme et la terre. Le ciel est toujours représenté par le point culminant de la composition, c’est notre vision, l’humain se trouve en deuxième position vers le centre, il représente notre mission, et le sol à l’horizontale et plus bas que les deux autres sont nos valeurs.
La philosophie
En philosophie, Ikebana signifie avant tout donner vie aux fleurs, les faire parler pour qu’elles nous montrent la voie vers la sagesse et la tranquillité. On appelle aussi l’ikebana le « kadô », c’est-à-dire le chemin des fleurs. (« ka », c’est les fleurs, « dô » c’est le chemin). À la différence de la forme décorative des arrangements floraux occidentaux, l’arrangement floral japonais crée une harmonie de construction avec les lignes, le rythme et les couleurs. Par exemple, les occidentaux tentent d’accentuer la quantité et les couleurs des fleurs, portant l’attention essentiellement sur la beauté de la fleur. Les Japonais accentuent l’aspect linéaire de l’arrangement. Ils ont développé un art qui valorise aussi bien le vase, les tiges, les feuilles et les branches que la fleur elle-même. chaque fleur est importante, et chaque fleur a une position bien définie. Pour composer un ikebana il faut se mettre à l’écoute de la nature, la ressentir pour l’imiter ; si une branche est penchée, c’est qu’une autre lui faisait de l’ombre. Il s’agit de rapprocher l’homme et la nature en jouant sur les formes et les volumes de la plante.
Vision
Votre vision représente le ciel, élément le plus haut de votre ikebana
La vision de l’entreprise, c’est votre phare, votre guide, c’est elle qui vous permettra de voir venir ! Derrière votre mission, qui décrit la promesse faite à vos clients, la vision est plutôt de l’ordre de l’imaginaire. En revanche, elle doit rester proche du réel ! La définition d’une vision d’entreprise requiert une réflexion en 4 dimensions dans l’espace et le temps, appuyez-vous sur le contexte et les changements à venir. Il faut faire preuve d’anticipation pour vous projeter le plus loin possible.
Mission
Votre mission représente l’humain, élément médian de votre ikebana
En d’autres mots, la mission c’est la raison d’être de votre projet d’entrepreneuriat. La définir est primordial, car la mission de l’entreprise se doit d’être compréhensible, prometteuse et réalisable. Une mission d’entreprise peut être sociétale comme organisationnelle. C’est la somme des actions de l’entreprise qui forme sa mission.
Valeurs
Vos valeurs représentent la terre, élément placé au plus bas de votre ikebana
Toute organisation, groupe de personnes, pays voire entreprise sont basés sur des mythes/valeurs qui influencent sur sa manière de travailler et de communiquer (lire l’ouvrage Sapiens de Yuval Noah Harari), et fondent ce qu’on nomme la culture et plus précisément la culture d’entreprise. Vos valeurs définiront l’ensemble des croyances communes développées dans votre entreprise. Des valeurs que vous transmettrez par la suite à vos collaborateurs/clients.
Retour sur l’ikebana party du 20 Octobre 2022
Nous avons accueilli nos amis et clients pour une activité Ikebana, suite à une initiation animée par Jérôme De Vries chacun a pu repartir avec son œuvre ! Merci pour votre participation, bonnes ondes et bonne humeur !
L’agence digitale 50A est là pour vous accompagner dans la création de votre site internet et réseaux sociaux de marque. Via nos ateliers de co-design et nos abonnements ! Tout comme l’ikebana votre communication d’entreprise doit se construire dans l’harmonie pour raconter son histoire selon des méthodes précises, n’hésitez pas à nous solliciter pour organiser une ikebana party chez vous à contact@50a.fr !