Pour démarrer l’année 2024, l’agence 50A a rassemblé ses équipes pour le South Coworking dans le village provençal d’Aurons. Cette retraite, au cœur des collines, vise à fusionner travail collaboratif et moments de détente dans un environnement à la fois inspirant et apaisant.
Workshop IA : Innovation et collaboration
Le South Coworking a débuté par un workshop sur l’intelligence artificielle conversationnelle pour stimuler la créativité. En utilisant nos outils et notre base documentaire existants, nous avons créé un chatbot permettant aux utilisateurs de co-construire leur stratégie digitale, allant de la formalisation du brief des besoins au programme de contenu, et peut-être même à la rédaction des guidelines inbound. Le workshop a consisté à concevoir un assistant et à le « nourrir » avec nos documents et sources afin d’explorer le potentiel de l’IA conversationnelle. Nous avons examiné comment optimiser notre productivité en utilisant les assistants GPT, et lors de cette session, nous avons exploré les enjeux majeurs de l’intégration de l’IA dans nos processus de travail, en nous concentrant sur l’automatisation des tâches répétitives et l’amélioration de la communication interne.
Le point culminant a été la réalisation d’un prototype (POC) dirigé par notre intervenant, Yanis. Il a démontré comment un chatbot IA personnalisé pourrait efficacement gérer les demandes des clients tout en fournissant des analyses de données pertinentes pour affiner notre stratégie digitale. Cette expérience a non seulement mis en lumière les capacités étendues de l’IA, mais a aussi ouvert la voie à des applications plus novatrices au sein de notre entreprise. Cette session intensive a permis à nos équipes de s’engager dans des discussions stimulantes et de collaborer sur des projets innovants.
Cap sur 2024 : Balade, bien-être et Ikigaï
Pour réfléchir ensemble au concept d’ikigaï et se projeter dans l’avenir, nous avons organisé une séance dans la pinède pour ouvrir les chakras. L’ikigai, un concept japonais, représente la recherche d’un équilibre entre passion, mission, vocation et profession, un élément essentiel pour le bien-être personnel et professionnel. En partageant nos ikigais individuels, nous avons esquissé un avenir commun et aligné pour l’entreprise. Cette démarche a favorisé une compréhension profonde des aspirations personnelles et professionnelles de chacun, forgeant ainsi un lien plus fort et une cohésion d’équipe accrue.
Partage : Moments conviviaux et cohésion d’équipe
Au-delà du travail, le South Coworking a souligné l’importance du partage et de la convivialité. Les soirées étaient consacrées à des activités relaxantes ou à des dîners collectifs, offrant l’occasion de se détendre et de renforcer les liens avec les collègues.
Le South Coworking s’est avéré être une expérience marquant le début de l’année de manière positive et dynamique. Il a non seulement stimulé la créativité et la collaboration au sein de notre équipe, mais a également favorisé le bien-être et la cohésion. Forts de ce succès, nous envisageons d’organiser un nouvel événement au printemps.
Pas un jour sans entendre parler d’intelligence artificielle ou de chatGPT. Technologie fascinante et objets de tous les fantasmes pour les un.e.s ou terrifiante pour les autres.
L’Intelligence artificielle générative offre des possibilités incroyables dans les domaines de la création artistique, de la résolution de problèmes complexes et de l’innovation. Cependant, cette technologie n’est pas sans risques et soulève des questions éthiques et pratiques importantes.
* Comment pouvons-nous aider les entreprises à comprendre les avantages et les limites de l’IA générative ? Comment peuvent-elles l’utiliser de manière responsable pour améliorer leur activité tout en préservant les intérêts de leurs employés, de leurs clients et de la société en général ?
Afin de décrypter ce que signifie le terme de Web 3 nous avons décidé de vous proposer un format d’événement appelé WEB 3 & Friends. La thématique de notre première session était « Fouette-moi, je suis une IA ».
Pour l’inauguration de ce temps fort, nous avons eu la chance d’accueillir Vincent Pinte Deregnaucourt, Consultant, Chercheur et Conférencier dans le domaine de l’intelligence artificielle.
Lors de cette conférence, Vincent a clarifié la définition et expliqué ce qu’est l’Intelligence artificielle générative. Il a contextualisé l’écosystème technologique et a ensuite démystifié ce que ce n’est pas.
L’intelligence artificielle générative offre un vaste champ de possibilités en matière de création de contenu. Elle peut être utilisée pour générer des visuels réalistes, créer des vidéos synthétiques, produire des enregistrements audio, générer de longs textes de manière automatique, optimiser du code, et bien plus encore. Par exemple, dans le domaine de la création artistique, l’IA générative peut être utilisée pour générer des peintures, des compositions musicales ou des sculptures virtuelles. Dans le secteur du divertissement, elle peut être utilisée pour créer des personnages virtuels réalistes pour les jeux vidéo ou pour générer des scènes cinématiques immersives. De plus, dans le domaine de la conception, l’IA générative peut aider à générer des modèles 3D à partir de descriptions textuelles, à générer des animations vidéo à partir de scripts ou à synthétiser de la musique en fonction des paroles. Ces exemples illustrent la puissance créative de l’intelligence artificielle générative et son potentiel d’innovation dans de nombreux domaines.
Voici quelques exemples concrets d’utilisation de l’intelligence artificielle générative dans différents domaines :
Création artistique : l’IA générative peut être utilisée pour générer des tableaux, des compositions musicales, des sculptures ou des designs graphiques.
Jeux vidéo : elle peut être employée pour créer des environnements, des personnages et des scénarios générés de manière automatique, offrant ainsi une expérience de jeu plus immersive et variée.
Cinéma et animation : l’IA générative peut être utilisée pour générer des scènes visuelles complexes, des effets spéciaux ou des animations 3D, réduisant ainsi les coûts de production et accélérant le processus de création.
Design et architecture : elle peut aider à générer des modèles architecturaux, des plans de construction ou des designs de produits à partir de descriptions textuelles ou de contraintes spécifiques.
Musique et composition : l’IA générative peut être utilisée pour composer de la musique, générer des mélodies, harmonies ou rythmes originaux, ou encore créer des arrangements musicaux.
Rédaction de contenu : elle peut être utilisée pour générer automatiquement des articles, des descriptions de produits, des résumés de texte ou même des scripts de films.
Réalité virtuelle et augmentée : l’IA générative peut contribuer à générer des environnements virtuels réalistes, des personnages virtuels interactifs ou des objets virtuels pour des applications de réalité augmentée.
Modélisation 3D : elle peut aider à générer des modèles 3D complexes à partir de descriptions textuelles ou à partir de quelques croquis, accélérant ainsi le processus de conception et de modélisation.
Création de dialogue : l’IA générative peut être utilisée pour générer des dialogues ou des conversations naturelles, permettant ainsi de créer des chatbots ou des assistants virtuels plus sophistiqués.
Ces exemples illustrent la diversité des cas d’utilisation de l’intelligence artificielle générative et son potentiel à transformer de nombreux domaines créatifs et technologiques.
« Dans LLM, le M c’est modèle, pas Intelligence »
Vincent a évidemment rappelé les règles du prompt engineering pour devenir « dompteur » d’IA ;)
Rôle
Contexte & Objectifs
Tonalité
Cibles
Tâche à accomplir
Langue du résultat souhaité
Format du rendu
Framework de rédaction
Il s’agit d’une innovation technologique qui marque un changement de paradigmes. Nous assistons à une rupture technologique évidente qui combine les composants suivant : algorithme, technologie, architecture, data, et calculs !
L’écosystème de la tech est donc en ébullition, les créations d’entreprises explosent, les levées d’argent également. La vague de l’intelligence artificielle est lancée tous les secteurs seront impactés. Il s’agit désormais d’imaginer le champs des possibles pour trouver des cas concrets d’utilisations.
Vincent a conclu de la façon suivante « Avant on manipulait l’information désormais on manipule la connaissance ».
Chez 50A nous ne sommes pas des transhumanistes et ne pensons pas que la technologie règlera tout. L’intelligence artificielle générative est une solution, un « outil » technologique qui permet de faciliter et automatiser un grand nombre de tâches.
Depuis 18 ans nous partageons et décryptons avec notre écosystème les enjeux et défis liés à la technologie. Nous sommes des explorateurs, des marieurs entre le monde de la technologie et celui du CAC 40. Nous croyons profondément la créativité humaine et à son potentiel. À n’en pas douter les créatifs ont de beaux jours devant eux !
Nos sessions de conférences sur la thématique du web 3 reprennent dès septembre. Stay tuned !
Ikebana, un art floral réfléchi pour révéler votre vision, votre mission, vos valeurs
Qu’est-ce qu’un ikebana ?
La structure complète de l’arrangement floral japonais est axée sur trois points principaux symbolisant le ciel, la terre et l’homme à travers les trois piliers : asymétrie, espace et profondeur. Ces trois tiges représentaient le paradis, l’homme et la terre. Le ciel est toujours représenté par le point culminant de la composition, c’est notre vision, l’humain se trouve en deuxième position vers le centre, il représente notre mission, et le sol à l’horizontale et plus bas que les deux autres sont nos valeurs.
La philosophie
En philosophie, Ikebana signifie avant tout donner vie aux fleurs, les faire parler pour qu’elles nous montrent la voie vers la sagesse et la tranquillité. On appelle aussi l’ikebana le « kadô », c’est-à-dire le chemin des fleurs. (« ka », c’est les fleurs, « dô » c’est le chemin). À la différence de la forme décorative des arrangements floraux occidentaux, l’arrangement floral japonais crée une harmonie de construction avec les lignes, le rythme et les couleurs. Par exemple, les occidentaux tentent d’accentuer la quantité et les couleurs des fleurs, portant l’attention essentiellement sur la beauté de la fleur. Les Japonais accentuent l’aspect linéaire de l’arrangement. Ils ont développé un art qui valorise aussi bien le vase, les tiges, les feuilles et les branches que la fleur elle-même. chaque fleur est importante, et chaque fleur a une position bien définie. Pour composer un ikebana il faut se mettre à l’écoute de la nature, la ressentir pour l’imiter ; si une branche est penchée, c’est qu’une autre lui faisait de l’ombre. Il s’agit de rapprocher l’homme et la nature en jouant sur les formes et les volumes de la plante.
Vision
Votre vision représente le ciel, élément le plus haut de votre ikebana
La vision de l’entreprise, c’est votre phare, votre guide, c’est elle qui vous permettra de voir venir ! Derrière votre mission, qui décrit la promesse faite à vos clients, la vision est plutôt de l’ordre de l’imaginaire. En revanche, elle doit rester proche du réel ! La définition d’une vision d’entreprise requiert une réflexion en 4 dimensions dans l’espace et le temps, appuyez-vous sur le contexte et les changements à venir. Il faut faire preuve d’anticipation pour vous projeter le plus loin possible.
Mission
Votre mission représente l’humain, élément médian de votre ikebana
En d’autres mots, la mission c’est la raison d’être de votre projet d’entrepreneuriat. La définir est primordial, car la mission de l’entreprise se doit d’être compréhensible, prometteuse et réalisable. Une mission d’entreprise peut être sociétale comme organisationnelle. C’est la somme des actions de l’entreprise qui forme sa mission.
Valeurs
Vos valeurs représentent la terre, élément placé au plus bas de votre ikebana
Toute organisation, groupe de personnes, pays voire entreprise sont basés sur des mythes/valeurs qui influencent sur sa manière de travailler et de communiquer (lire l’ouvrage Sapiens de Yuval Noah Harari), et fondent ce qu’on nomme la culture et plus précisément la culture d’entreprise. Vos valeurs définiront l’ensemble des croyances communes développées dans votre entreprise. Des valeurs que vous transmettrez par la suite à vos collaborateurs/clients.
Retour sur l’ikebana party du 20 Octobre 2022
Nous avons accueilli nos amis et clients pour une activité Ikebana, suite à une initiation animée par Jérôme De Vries chacun a pu repartir avec son œuvre ! Merci pour votre participation, bonnes ondes et bonne humeur !
L’agence digitale 50A est là pour vous accompagner dans la création de votre site internet et réseaux sociaux de marque. Via nos ateliers de co-design et nos abonnements ! Tout comme l’ikebana votre communication d’entreprise doit se construire dans l’harmonie pour raconter son histoire selon des méthodes précises, n’hésitez pas à nous solliciter pour organiser une ikebana party chez vous à contact@50a.fr !
Le 14 octobre, nous avons participé aux Swello days 2022 à l’Opéra de Toulon. Un événement dédié au social media organisé par Swello. L’occasion de faire le plein d’astuces et de conseils pour augmenter notre productivité et créativité grâce aux nombreuses conférences de la journée.
Le moment photo et bouffe
9h30 – 10h30 : Konbini, Benoit Lebreau (Head of Social Media)
Keynote Konbini
La première conférence de la journée a été menée par Benoit Lebreau, head of social de Konbini, célèbre média précurseur de la vidéo de courte durée. C’était le sujet principal de sa conférence social media : les vidéos courtes, pourquoi et comment faire ?
Les vidéos courtes ont un meilleur taux de complétion que les vidéos longues où seules les 30 premières secondes sont visionnées. Une vidéo de 1 minute c’est déjà 160 mots qui peuvent être dits.
L’objectif est de captiver l’audience dès les 2 premières secondes. Alors pour un sujet qui nécessite plusieurs minutes, il vaut mieux faire plusieurs vidéos courtes autour du même thème.
Benoit Labreau nous a présenté l’exemple des vidéos sorties pour la campagne présidentielle social media. 10 candidats et chacun une thématique. Ils ont fait 10 vidéos longues avec chaque candidat + 30 vidéos courtes pour appâter l’auditeur.
L’important c’est l’adaptation et l’authenticité.
Adapter la durée de la vidéo selon la plateforme :
Format long Youtube
Format moyen IG et FB
Format court TikTok, Reels, Short (YouTube)
Adapter le format (et le texte) de la vidéo selon la plateforme :
Youtube : 16:9
Instagram : 9:16
TikTok : 9:16
Facebook : 16:9
S’adapter aux tendances des plateformes, elles changent souvent, il est donc primordial de se tenir informé.
10h40 – 11h40 : Meta, Clémence Dubois
La journée a continué avec Clémence Dubois qui travaille en tant que Responsable des partenariats avec le gouvernement, la politique et les organisations à but non-lucratif pour Meta.
Sa conférence était axée autour des nouvelles frontières de la créativité, développée notamment par les Reels d’Instagram.
Pourquoi est- il important de créer des Reels ?
La réponse s’aligne avec la conférence autour des vidéos courtes de Konbini : 70% du contenu des réseaux sociaux est consommé rapidement, alors autant se servir de cette fonctionnalité. 20% du temps passé sur Instagram est dédié au Reels. De plus, ils peuvent être recommandables.
De nombreux outils des Reels permettent de générer de la croissance et de pousser à l’intention d’achat:
Des filtres immersifs pour se sentir plus proche de la marque
“L’utilisation” de créateurs de contenu comme porte parole (permet de toucher des utilisateurs qui ne sont pas dans notre audience de base et d’avoir la confiance des utilisateur)
Comment créer un Réels ?
Les 3 mots-clefs de la création de Réels sont :
Divertissant : il faut raconter une histoire
Authentique : rester proche de son audience est primordiale
Digeste : rester concentré sur 1 seul message par vidéos
Il est nécessaire de s’adapter aux codes de la plateforme, le but est de se fondre dans le décor pour créer un Reel qui fonctionne. Il faut donc utiliser les outils adéquats :
Des transitions dynamiques
Des stickers (réponses à des questions par exemple)
Un fond vert pour illustrer son histoire
Des audio originaux (pour suivre les trends)
Les filtres et effets
Clémence nous a partagé des pratiques à éviter dans la création de Reels :
Vidéos visiblement recyclées d’autres plateformes (évitez les polices et watermarks tiers)
Musique qui ne provient pas de la bibliothèque
Audio que vous n’avez pas créé vous-même ou emprunté à d’autres Reels
La matinée s’est terminée avec une conférence de Anthony Munoz, co-fondateur de Meeriad, une application d’accompagnement pour la santé mentale en entreprise. Une conférence inspirante qui avait pour but de définir ce qu’est le bonheur.
Le bonheur est lié aux relations sociales, mais la perte d’intentionnalité mène au malheur. L’utilisation des réseaux sociaux doit se faire en pleine conscience, pour lutter contre le vortex du scroll infini !
Établir des limites et se déconnecter des pages clients le week-end et le soir pour garder le contrôle. La liberté (le fait de pouvoir aller vérifier la dernière notification) est l’ennemie de la satisfaction. Lorsque nous n’avons pas le choix, nous sommes satisfaits de ce qu’on possède. C’est le bonheur synthétique. La capacité humaine d’accepter ce qu’on a. Un état psychologique qui se rapproche de la recette du bonheur !
14h – 15h : TikTok, Mathieu Rampant
KEYNOTE DE TIK TOK
Après un bon repas sur le toit de l’Opéra de Toulon, et un interlude musical, c’est Mathieu Rampant, directeur des finances, apps et gaming de TikTok qui a repris la suite des conférences.
Après être revenu sur ce qu’était TikTok, l’objectif de Mathieu était de nous dévoiler quel était l’intérêt pour une entreprise de se lancer sur cette plateforme.
Tiktok donne une opportunité pour les marques de se présenter comme de vraies personnes, et d’être plus proche de son audience.
De plus, en termes de publicité, elle fait partie intégrante de l’expérience utilisateur, il existe différents emplacements pour celle-ci : Top feed, Top view, Compte à revoir, Super likes, Voting stickers…
Le taux de complétion d’une vidéo est de 75 % contre 45 % pour les autres réseaux sociaux, une publicité a toutes ses chances d’être vue sur TikTok. 50% des utilisateurs ont acheté un produit via TikTok, et 1 utilisateur sur 2 a une opinion plus positive d’une marque après l’avoir vue sur TikTok.
Le mot d’ordre à retenir pour se lancer sur TikTok, c’est “être authentique, brut et oser y aller”
15h – 16h20 : Table ronde autour de l’influence, Alexandre Calvez & Laura Hannoun
Alexandre Calvez et Laura Hannoun sont deux créateurs de contenus social media. Ils sont revenus sur leur métier et la vie qu’ils menaient maintenant qu’elle était “dictée” par le monde des réseaux sociaux et de l’influence.
16h40 – 17h40 : Universal Pictures, Julien Noble
La journée s’est terminée avec le retour d’expérience de Julien Noble, Président International Marketing à Universal Pictures. De belles anecdotes motivantes qui ont su faire sourire tout l’Opéra. L’histoire d’un jeune toulonnais fan de cinéma qui devient Président d’un département marketing de l’une des plus grosses sociétés américaines de production à Los Angeles nous a fait rêver !
Nous en conclurons que la communication en ligne s’annonce toujours plus brève, crue et authentique avec le développement exponentiel de la vidéo face à la photo. Votre agence 50A est là pour vous accompagner dans cette transition numérique à venir. Stay tuned!
L’objectif de ce premier évènement sur l’inbound marketing est de faire prendre conscience aux dirigeants d’entreprise, responsables marketing et communication, qu’il est possible d’avoir une stratégie « donnant donnant ». L’approche traditionnelle de la vente et du marketing de masse montrent aujourd’hui des signes d’essoufflement. Le client n’est plus un consommateur, c’est un utilisateur qui a besoin de s’informer et de se former avant toute chose.
« Je crée du contenu qui te rend service et en échange quand tu as ou auras besoin d’un produit ou d’une prestation, tu penses à nous »
On appelle cette méthode le marketing entrant / inbound marketing ou chez nous le marketing « donnant donnant »
Ce qui a changé ces 3 dernières années c’est la place de la stratégie éditoriale et du contenu dans la stratégie marketing et digitale d’une entreprise. Avant on se souciait d’acheter de l’espace, de se positionner dans google sans réelle tactique et de parler sans engagement à ses communautés.
De nos jours, chaque entreprise est devenue son propre média. Chaque entreprise doit définir sa mission, sa vision et ses valeurs. Plus que jamais, celles-ci travaillent leurs plate-formes de marque. Une plateforme qui n’est plus réservée uniquement aux grands comptes. De nos jours chaque entreprise doit mettre en place un planning éditorial avec comité éditorial. De nos jours ce planning éditorial est lié et linké afin de le rendre plus performant. De nos jours chaque entreprise doit être attirante et avoir un programme en relation qui lui amène naturellement des demandes.
Dans ce contexte nous vous proposons cet évènement masterclass pour vous mettre à jour et ne pas laisser passer cette opportunité.
Le déroulement (2h)
Un événement en simultané à Paris et Marseille , gratuit mais sur inscription of course !
Organisé par les passionnés de l’agence 50A, approfondissez vos connaissances sur cette nouvelle approche du marketing pour vous aider à moderniser votre acquisition de nouveaux clients / utilisateurs et développer votre business différemment.
Un programme exclusif concocté par nos expert.e.s, en simultané à Paris, Marseille et sur la toile ; comme on dit dans le jargon, un évènement phygital.
Introduction :
Nicolas Bermond, Druide digital et ambassadeur Hackeurs -> CAC40 et Thibaut Brousse House Protector feront une courte introduction sur le marketing digital en 2021, doit-on faire de la poésie pour se différencier de ses concurrents ? Doit-on automatiser l’ensemble du marketing grâce à des IA surpuissantes ? Doit-on forcement faire 3 pirouettes sur tik tok pour créer une communauté ? Faut-il être un joueur d’échec pour avoir une stratégie digitale digne de ce nom ?
Le client n’est plus un consommateur, c’est un utilisateur qui a besoin de s’informer et de se former avant toute chose. L’utilisateur souhaite accéder à un contenu personnalisé, de qualité sans que ce soit intrusif. Il veut se sentir unique, il déniche le contenu rare qui plus est gratuit !
On a trouvé une recette miracle qui permet de rester soi même sans agresser nos prospects en les attirant intelligemment, on a appelé cette stratégie le marketing « donnant donnant »
Le programme :
1 experte 50A vous parlera de stratégie inbound marketing, suivi d’un échange de questions et réponses (20 min)
1 experte 50A vous livrera les secrets pour construire son usine à contenu, suivi d’un échange de questions et réponses (20 min)
1 expert 50A vous présentera la méthode qui permet de consolider vos guidelines inbound marketing et mettre en place la roadmap adéquate (20 min)
Conclusion :
Nous avons conçu et nous mettons à disposition gracieusement des outils co-design pour vous aider à amorcer votre stratégie inbound. Nous proposons des formules d’abonnement pour vous accompagner. Enfin nous avons créé l’Academy 50A pour former des inbound master capables d’animer un programme d’inbound marketing.
Nous vous accueillons
50A PARIS – Espace Green Space 28, rue du chemin vert 75011
50A MARSEILLE – Espace Now Coworking 19 Quai de Rive Neuve 13007 Marseille
La formation est accessible à toute personne ayant déjà une pratique professionnelle dans le secteur du marketing digital. Un entretien téléphonique est réalisé en amont de toute demande de formation et permet d’évaluer le degré de maturité digitale de l’apprenant. Pour accéder à cette formation, chaque apprenant doit définir en amont un “challenge” professionnel. Ce challenge correspond au défi Inbound Marketing qu’il souhaite réaliser grâce à cette formation et qu’il sera capable de mettre en place dans son entreprise de manière autonome à la fin de ces deux jours.
Créé en 2013, l’adn est aujourd’hui le premier média en ligne sur les secteurs de la communication, du marketing et de l’innovation en France (source acpm 2018). Tendances, nouveaux usages, technologies à suivre, entreprises innovantes, mutation des médias, nouveaux mondes créatifs… L’ADN a été créé avec le désir d’aider les entreprises à s’orienter dans un monde en constante mutation, à traverser le bruit ambiant pour se connecter aux pôles d’énergie de l’époque. L’ADN raconte les innovations complexes qui façonnent en tout sens notre présent. Aujourd’hui, la rédaction fait avec passion un métier passionnant : celui qui consiste à porter un regard curieux sur une époque foisonnante.
Depuis 17 ans, l’agence 50A (Paris & Marseille) mixe communautés de l’open source, expert de l’économie numérique avec les acteurs de la communication et du marketing. Son portefeuille clients est éclectique : grands comptes, PME innovantes, associations, start-ups, qu’elle aide dans leur transition numérique et la mise en place de stratégies de développement. Elle utilise au quotidien avec ses clients une approche « design thinking » et « design sprint pour booster les projets et les équipes en privilégiant un état d’esprit du travailler « avec » plutôt que « pour ».
Siège Paris : 28 rue du Chemin Vert, 75011 Agence Marseille : 19 Quai de Rive Neuve, 13007
MERCI ! Vous avez été nombreux à avoir répondu présent à notre événement Blockchain & Friends organisé dans notre agence blockchain et nous vous en remercions.
Notre agence blockchain a eu le plaisir d’accueillir dans ses locaux des professionnels du secteur de la blockchain. Merci à Lucas Comparini d’IBM Blockchain, à Vidal Chriqui de BTU Protocol, et à Fabien Ducoudray de Daneel. Ainsi qu’à Emmanuel Gadenne de la SNCF et à Arnaud Cheyssial d’IPOCAMP.
Durant cette rencontre, ils ont eu l’occasion de nous présenter leurs entreprises, mais également la façon dont la blockchain intervenait dans leur processus de travail. Pour certains d’entre eux, elle fait partie intégrante de leur service.
Échanger avec eux autour de cette thématique était très enrichissant et formateur, tant sur le plan professionnel que personnel. Leurs interventions de qualité et la pédagogie dont ils ont fait preuve ont ravi le public.
Notre agence blockchain se réjouit de recevoir des experts dans le domaine de la blockchain et autres secteurs. On se retrouve bientôt pour un nouvel échange.
Vous n’avez pas pu assister à notre événement blockchain ? Vous pourrez l’écouter très prochainement en intégralité sur notre page podcast 50A Galaxy.
La nouvelle architecture technique d’Internet, « Internet 3.0 », sera une décentralisation totale : puissance informatique, échanges, protocoles… Aujourd’hui on se sert déjà de la blockchain pour plusieurs types d’applications (traçabilité, titrisation, sécurisation transaction, désintermédiation…). L’ensemble des acteurs sont d’accord pour dire que ce sera le socle technologique de l’ensemble de notre infrastructure, de nos réseaux et de nos supports informatiques.
Depuis 5 ans l’agence digital 50A.fr – en plus de ses activités de marketing et développement de services – explore, accompagne et développe des projets liés à la Blockchain et met en place des stratégies de crypto-communication (White Paper, CM, Tokenisation de projet…).
Blockchain & Friends réunit des projets avant tout de copains travaillant sur des problématiques grands comptes ou des start ups ambitieuses. L’objectif étant de fédérer un écosystème qui permette d’accélérer l’adoption de ce socle technologique.
L’événement aura lieu le MARDI 26 NOVEMBRE 2019 de 15h30 à 22h30 dans les locaux de l’agence digital 50A au 31 rue Blanche 75009 Paris.
L’inscription est gratuite mais obligatoire via le formulaire d’inscription. Les interventions seront réparties en slot de 1h. Nous préciserons la programmation sur la page Facebook de l’évènement et ici. À 20h comme d’habitude nous fêterons notre journée de travail avec un apéro enchainé ;). Tout au long de la journée, des interviews seront faites pour notre podcast 50A Galaxy. Suivez nous sur notre page Facebook pour une retranscription en live.
Nos invités
SNCF
La Société nationale des chemins de fer français (SNCF) est l’entreprise ferroviaire publique française. Elle est notamment présente dans les domaines du transport de voyageurs et du transport de marchandises. Elle réalise également la gestion, l’exploitation et la maintenance du réseau ferré national dont elle est propriétaire. E. Gadenne présentera les cas d’usage MaaS, KYC et discentralized identity.
Organisé par la Trusted Iot Alliance, le Blockchain and the City Challenge est axé sur les cas d’utilisation des transports urbains, de l’industrie urbaine, de la mobilité décarbonisée et de divers autres cas d’utilisation connexes associant blockchain, IoT et la vie urbaine dans les grandes régions métropolitaines. L’objectif principal du Challenge est de développer conjointement des solutions qui offrent une réelle valeur ajoutée aux nombreux aspects de la vie urbaine dans un proche avenir, y compris les services de la ville.
IBM Blockchain
La technologie IBM Blockchain permet aux entreprises de numériser le flux de travail de vos transactions grâce à un registre hautement sécurisé, partagé et distribué qui améliore l’efficacité et la transparence. Les entreprises du monde entier utilisent des solutions IBM Blockchain pour apporter une nouvelle confiance et une nouvelle transparence aux chaînes d’approvisionnement, au commerce mondial, aux paiements internationaux, à l’approvisionnement alimentaire mondial et bien plus encore. La plateforme IBM Blockchain repose sur la technologie Hyperledger. Cette solution de blockchain peut aider tout développeur à devenir développeur de blockchain.
IPOCAMP
Ipocamp est la première start-up française qui permet de protéger ses créations de manière simple, rapide mais surtout gratuite. L’entreprise propose un service de dépôt, de certification et de partage d’œuvres en ligne qui permet aux utilisateurs de déposer des créations et de garantir ainsi une preuve d’antériorité sur leurs créations. En s’appuyant sur la Blockchain ainsi que sur un système de dépôt facilité par un usage extensif du « drag and drop », Ipocamp fait de la protection un véritable réflexe.
DANEEL
Daneel aide les experts et les novices à se repérer en fournissant un flux d’information vérifié et fiable à ses utilisateurs. Renforcé par l’intelligence artificielle Watson d’IBM, Daneel compile toutes les informations en ligne et lui attribue un score basé sur la validité de la source, la vélocité de l’actualité. La solution Daneel permet de suivre les impressions des utilisateurs sur les crypto-monnaies sur les réseaux sociaux: cela donne un avantage considérable pour anticiper les mouvements en analysant les comportements de masse.
Daneel présentera également le produit CapBloc. CapBloc est un dispositif d’enregistrement électronique partagé pour la représentation et la transmission de titres financiers. C’est est un outil de gestion pour le registre de titres des sociétés non côtés en bourse. Développé sur un système blockchain, il permet une gestion simplifiée, digitale, décentralisé et surtout transparente de tous les mouvements de titres. Les experts comptables peuvent donc bénéficier d’un registre de mouvement de titres financiers stockés en temps réel sur la Blockchain, facile d’usage, sécurisé et avec une interface partagé avec le client.
BTU PROTOCOL
BTU Protocol est le premier protocole de transaction pair-à-pair et standardisé dans l’écosystème Ethereum sous le nom ERC-808. En mettant en œuvre la solution BTU, les entreprises disposent d’un circuit plus court de distribution de leurs produits, opérant ainsi à avec de meilleures marges. Le protocole BTU automatise l’on-boarding et le paiement des nouveaux partenaires ou revendeurs qui bénéficient ainsi d’une solution de monétisation innovante. Le modèle économique étant basé sur le jeton BTU, la solution reverse 100% des commissions aux utilisateurs ou aux entreprises. BTU est actuellement en production à grande échelle dans l’hôtellerie (2 millions d’hôtels connectés) et dans la location de voiture (90.000 véhicules en France) et plusieurs déploiements sont en cours.
Inscriptions et programme
Inscriptions à Blockchain & Friends via le formulaire d’inscription.
Partenaire de Femmes Entrepreneures sur différents événements depuis 2009, l’agence 50a a le plaisir d’accueillir l’association pour ses 10 ans d’existence.
Cette soirée, intitulée « Femmes Libérées ! » marque le dernier événement Femmes Entrepreneures de la saison.
Au programme :
18h00 – 18h45 : Accueil des participantes
18h45 – 19h15 : Intervention de l’équipe Femmes Entrepreneures
1/ Hayat Outahar, Présidente de Femmes Entrepreneures exposera les objectifs 2019/2020
2/ Jonathan Marois, Responsable événementiel fera le bilan des Lundis Paradis et de l’expansion du format de networking en région
3/ Céline Valensi, Responsable FE-94, présentera son ouvrage sur l’entrepreneuriat au féminin
19h15 – 19h45 : Échange avec les participantes
19h45 – 20h 00 : Synthèse des échanges
20h00 -21h00 : Femmes Libéréee, networking sur la terrasse de 50a !!!
L’équipe Femmes Entrepreneures et l’agence 50a se font un plaisir de vous rencontrer mercredi 24 juillet de 18h à 21h à l’adresse suivante :
Open Source Ecologie (OSE) est une association qui propose de la documentation et des plans open-source afin de créer des machines et des outils de façon autonome. L’ensemble des documents des 50 machines sont mis à disposition sur la plateforme « Global Village Construction Set (GVCS) ». De cette manière OSE œuvre pour une économie open-source.
Selon Wikipedia la désignation open source, « s’applique aux logiciels (et s’étend maintenant aux œuvres de l’esprit) dont la licence respecte des critères précisément établis par l’Open Source Initiative, c’est-à-dire les possibilités de libre redistribution, d’accès au code source et de création de travaux dérivés. Mis à la disposition du grand public, ce code source est généralement le résultat d’une collaboration entre programmeurs. »
Planter des graines c’est bien, avec des outils construits avec des plans en open-source, c’est encore mieux.
Pouvez-vous nous décrire ce que vous faites ?
Open Source Ecologie participe à un mouvement global qui souhaite faire émerger une sorte de wikipédia de la technique. Pour que les machines et les outils de production de base soient accessibles à chacun.
Plus particulièrement les machines sur lesquelles nous souhaitons travailler sont celles dont on aurait besoin à l’échelle d’un village pour assurer les bases d’une vie simple et écologique (machines agricoles, travail des matériaux simples, énergies renouvelables).
Concrètement, nous concevons des machines ou des objets, nous en faisons des prototypes pour les tester, puis nous publions les plans de façon librement accessible.
Qu’apporte votre solution aux autres ?
Nous essayons de travailler sur des projets qui seront utiles dans le monde même si ils sont considérés comme non rentables, et donc inutiles, dans le monde actuel.
Nous avons notamment beaucoup travaillé sur un concentrateur solaire qui fournit de la vapeur jusqu’à 200°C pour cuire, distiller, pasteuriser, mais aussi alimenter des moteurs ou des pompes. Il reprend un concept industriel, mais il est conçu de façon à pouvoir le fabriquer dans à peu près n’importe quel atelier de mécanicien avec des métaux simples et des outils assez courants.
Nous avons aussi par exemple travaillé à une ligne de défibrage de chanvre qui extrait la fibre de la plante afin de pouvoir en faire du textile technique et des matériaux de construction d’origine végétale.
Ce sont des projets d’ampleur industrielle, qui même lorsqu’ils sont menés en entreprise nécessitent des années de développement. Donc nous avançons comme nous le pouvons, à notre rythme et dans la bonne humeur !
Quelles sont vos aspirations sur du long terme ?
En effet, ce projet est essentiellement axé sur le long terme. Il y a une grosse charge de travail à fournir au départ. Mais nous pensons qu’une fois publiées ces informations se révèleront très utiles sur la durée. À terme, ce que nous souhaitons c’est que, sur la base de nos plans collectivement créés et partagés, des installateurs (mécanos, plombiers, etc.) puissent localement monter des outils de production de dimensions artisanales.
Ces outils seraient ainsi complètement adaptés aux énergies et aux matières disponibles localement. Et surtout nous espérons bien que cela pourra se faire à un coût final bien moindre. Car toute la conception initiale, habituellement couverte du secret industriel, aura ici été faite une bonne fois pour toutes, partagée librement, et collectivement améliorée au fil du temps.
Comment vous servez-vous du numérique pour faire la promotion de votre association ?
Assez classiquement. Nous avons les outils habituels : site web, réseaux sociaux, newsletter, et notre calendrier public sur Trello. Nous nous retrouvons également sur mumble puisque nous avons des membres aux 4 coins de la France. Ainsi nous nous efforçons de tout documenter sur notre wiki.
L’outil Trello est utilisé pour nous répartir les tâches. Nous avons également organisé une campagne de crowdfunding sur ulule.
Nous nous rencontrons également dans la vraie vie via les aperOSE qui nous permettent de rencontrer de nouvelles têtes intéressées. Nous publions nos manuels de fabrication sur divers sites participatifs de partage de projets similaires (wikifab, instructables).
Et si la campagne venait s’installer en ville ? C’est la folle idée de Cocott’arium qui souhaite installer des poulaillers au cœur des villes. Allier écologie et vie citadine est leur but.
Un projet très inspirant et prometteur que nous soutenons chez 50A.
Aurélie sera présente avec nous le 27 juin pour nous en dire plus sur Cocott’arium.
Pouvez-vous nous décrire ce que vous faites ?
Nous sommes un bureau d’étude dans l’innovation durable.
Qu’apporte votre solution aux autres ?
Cocott’arium est une solution de sensibilisation au tri des biodéchets à la source pour tous les particuliers et permet de répondre à la loi sur la transition énergétique de 2025.
Quelles sont vos aspirations sur du long terme ?
Ramener l’animal et le végétal dans nos villes et intégrer les poules dans les modes de vies des citadins.
Comment vous servez-vous du numérique pour faire la promotion de votre association ?
Les outils numériques nous aident à fédérer une communauté autour des valeurs que nous défendons, nous rencontrons également d’autre acteurs avec lesquels nous travaillons nous pouvons mener des actions communes.
Un festival accessible à tous alliant innovation numérique et durable ça vous dit ?
Retrouvez le festival de l’innovation numérique et durable Futur.e.s les 12 et 14 juin prochains à la Galerie des Gobelins ! Le festival annonce : « 80 démos innovantes rigoureusement sélectionnées pour leur caractère émergent, durable et leur excellence technologique. » Une occasion en or pour aller découvrir des acteurs de l’innovation Française et internationale !
Pour sa dixième édition, Futur.e.s veut faire bouger les choses à travers plusieurs problématiques sociétales d’actualité. Développement durable, inclusivité et mixité dans le monde de la tech !
Face au changement de paradigme suscitant le phénomène de transition numérique, on peut se demander si le secteur du numérique s’inscrit dans une réelle démarche d’inclusivité ? En effet depuis quelque temps pas une semaine sans entendre ou lire des articles au sujet des craintes évoquées envers les intelligences artificielles, les dangers des fake news, plus récemment les deep fakes, le vol de données, sans parler du sujet lié à la pollution numérique…
Le milieu de la tech souvent réputé pour ne pas être un milieu inclusif et égalitaire, ne concerne souvent que des niches d’initiés. Pour pallier à ses problématiques le festival Futur.e.s est le plus grand festival du numérique gratuit d’Île-de-France qui affirme son intention de s’adresser à toutes et tous, afin de « redonner aux citoyens la main sur leurs futurs ».
Allier numérique et développement durable
À l’heure où les préoccupations climatiques deviennent vitales, la technologie se doit de montrer l’exemple afin de relever les défis liés à la transition écologique.
Vous pourrez ainsi rencontrer des acteurs du développement durable numérique tel que : Dataveyes, Oniriq, Le Cnes et bien d’autres. Le festival sera également l’occasion d’assister à des démos, et d’essayer les solutions présentées.
Les tables rondes réuniront expertes et experts pour imaginer ensemble un futur plus vert : La ville durable est-elle une ville sensible ?, La data nouveau pétrole des villes durables ?
Un festival sous le signe du numérique inclusif et plus égalitaire
En 2018 Camille Pène (directrice du festival) avait annoncé « Nous sommes le festival du numérique post #MeToo ». Le festival FUTUR.E.S garantie donc une vision d’un futur inclusif et mixte !
C’est d’ailleurs un festival très paritaire. Futur.e.s accueille 80 conférences, masterclass, et ateliers sur deux jours, avec 50% d’intervenantes. Vous y verrez Marie Ekeland, l’une des premières femmes à avoir créé un fonds de capital-risque (Daphni), ou encore Marie-Virginie Klein Vice-Présidente de Willa un incubateur leader pour les femmes entrepreneures dans l’innovation en France et en Europe, qui nous parlera du plafond de verre dans l’investissement, l’entreprenariat et la tech.
Côté exposants, vous pourrez découvrir l’expérience éducative immersive en VR « La traque » une série d’expériences immersives pour sensibiliser et former au sexisme ordinaire ainsi qu’au harcèlement.
Toujours dans une perspective d’inclusion, le festival entend mettre en avant les innovations à destination des individus en situation de handicap, et souhaite également présenter des démarches de la Health Tech.
Les visiteurs pourront notamment découvrir N-Vibe, « le premier GPS vibrant pour aveugles et malvoyants. Cette application, est associée à deux bracelets vibrants. Elle permet à son utilisateur de se guider intuitivement dans les espaces extérieurs. » Défis VR « capitalisant sur la réalité virtuelle pour accompagner efficacement les personnes en situation de tétraplégie », ou encore l’équipe-projetCamin D’Irina travaillant sur la « conception de Neuroprothèses dans des contextes de déficiences sensori-motrices notamment pour l’assistance aux mouvements de membres paralysés. »
La mixité du festival s’inscrit également autour de l’initiative de la green tech sur le continent Africain. Avec notamment une discussion autour du futur de la ville durable en Afrique. Avec la participation de Cheick Cissé connu pour son travail d’urbaniste au sein de la Société Française des Urbanistes (SFU).
Enfin, la programmation OFF du festival s’étend aussi dans toute l’Île-de-France en proposant des expérimentations, performances, rencontres… Retrouvez tous les événements labellisés Futur.e.s OFF à retrouver du 13 au 23 juin, près de chez vous !
Futur.e.s Festival propose également une cartographie complète des tendances. Et montre bien comment les enjeux environnementaux doivent de?sormais inte?grer les challenges nume?riques de nombre de membres et experts de Cap Digital, consulte?s pour re?diger ce cahier. Guide à retrouver ici : Cap Digital Cartographie Des Tendances 2019-2020
Informations
L’évènement est totalement gratuit, mais pour participer l’inscription est obligatoire !
Pour vous inscrire c’est juste ici , et pour consulter le programme de ces deux journées innovantes rendez-vous sur cette page.
Avec la crise écologique menaçant nos modes de vie actuels, de nombreux citadins essayent de se tourner vers un mode de vie plus simple et axé sur un respect de la nature. C’est pourquoi en amont de notre évènement du mois, « Plante ta graine » nous avons voulu découvrir l’initiative de La suite du monde. Car nous sommes convaincus que planter des graines sur une terrasse parisienne, c’est bien, mais planter des graines de projets pour améliorer notre mieux vivre ensemble est encore plus important.
Face à l’urgence climatique La suite du monde a pour but de « libérer » des terres agricoles et biens immobiliers afin d’y déployer des activités rendant chaque acteur de ce changement, davantage autonome. À travers l’agriculture, l’organisation communaliste, l’éducation, et l’énergie, etc…
La suite du monde souhaite également « multiplier les activités de recherche, d’expérimentation et de conseil afin de rendre multipliables ces Communes Imaginées, connectées entre-elles.«
L’un des 13 co-fondateurs sera présent le 27 juin, pour nous présenter son initiative.
Pouvez-vous nous décrire ce que vous faites ?
Lasuite du monde acquiert des terres agricoles qu’elle met à disposition de collectifs via des coopératives locales, afin d’y faire communs et commune.
Qu’apporte votre solution aux autres ?
Nous soutenons les dynamiques vers plus d’autonomie et d’émancipation, par un support humain, technique, légal et financier (jusqu’à 50k€ sur 3 ans) et la location d’auberges et lieux communs permettant d’être rejoint, sans barrière du capital, à tout moment.
Quelles sont vos aspirations sur du long terme ?
Nous souhaitons initier une cinquantaine de Communes Imaginées (SCIC). Notre déclaration est disponible sur le site https://www.lasuitedumonde.com/ et ici en image.
Comment vous servez-vous du numérique pour faire la promotion de votre association ?
Nous documentons toutes les démarches et rencontres sur Telegram, Facebook et sur un wiki participatif: https://wiki.lasuitedumonde.com/ (les groupes de discussion y sont listés) et développons des outils de communication et de votation dans la blockchain.
Aujourd’hui, les grands organismes de biotechnologies agricoles ne doivent pas avoir le monopole du commerce des graines, il est important d’aller à la rencontre de ceux qui plantent et cultivent et de les soutenir.
C’est pourquoi, en amont de notre évènement du mois, « Plante ta graine », nous vous proposons l’interview d’Auriane. Auriane Bertrand, a entrepris un voyage aux quatre coins du monde de janvier à décembre 2018 afin de découvrir divers acteurs des semences paysannes. Elle livre un important constant à travers un documentaire : Seed Tour.
Auriane sera présente le 27 juin, elle nous partagera son expérience avec nous le 27 juin.
Pouvez-vous nous décrire ce que vous faites ?
Le Seed Tour est un voyage-documentaire que j’ai réalisé de janvier à décembre 2018 à la rencontre des producteurs, chercheurs, associations et entrepreneurs qui travaillent à reproduire et promouvoir les semences paysannes. J’en ai tiré des reportages (vidéos, photos et articles) que je publie sur seedtour.org. Pour porter le projet, j’ai créé l’association Qu’est-ce qu’on sème ?
Nous sommes actuellement une dizaine et nous visons l’implication de tous, de l’agriculteur au consommateur, dans le développement d’un modèle agricole favorisant l’utilisation de semences paysannes. Nous définissons les « semences paysannes » de la façon suivante : graines libres de droits que les paysans sélectionnent et reproduisent en adéquation avec le territoire et le climat.
Qu’apporte votre solution aux autres ?
Nous sommes convaincus qu’un modèle agricole favorisant l’utilisation de semences paysannes est un pré-requis essentiel à l’autonomie paysanne, le développement de la biodiversité, et d’aliments nutritifs qui ont du goût. Le Seed Tour, premier projet de l’association Qu’est-ce qu’on Sème ? vise à sensibiliser le grand public à la question des semences paysannes. Il vulgarise le sujet et met en avant ses implications : débat sur le bien commun, notre rapport à la terre, à la cuisine et à l’alimentation, à notre bien-être.
Quelles sont vos aspirations sur du long terme ?
Le consommateur est producteur, dans le sens où ses choix de consommation induisent des choix de production. Nous croyons que chacun à notre échelle avons la possibilité de participer au changement de modèle agricole. Nous souhaitons que demain, la dimension de la reproduction de semence soit prise en compte dans les modèles économiques des paysans. Cette reproduction doit être externalisée localement de façon à ce que les variétés cultivées (maraîchage ou grandes cultures) soient adaptées au territoire et au climat, condition essentielle pour renouer avec une agriculture libérée d’intrants chimiques, goûtue, nutritive et productive.
Comment vous servez-vous du numérique pour faire la promotion de votre association ?
Le Seed Tour se base sur les outils numériques pour la communication et la diffusion de ses idées. Le projet n’appartient à aucun média et est relayé uniquement grâce à la communauté qu’il regroupe sur les réseaux sociaux, principalement Facebook et Instagram. L’ensemble du contenu est en diffusion libre sur seedtour.org, dont les nouveautés sont relayées régulièrement dans une newsletter. Les prochaines actions de l’association « Qu’est-ce qu’on Sème ? », se focaliserons sur l’axe de sensibilisation grand public se traduit pour moitié par des actions en ligne.
Après 15 ans de digitalisation, pour se racheter et rappeler que le digital est avant tout une aventure humaine, nous avons décidé de revenir aux fondamentaux: de la terre, une graine, un pot pour partager les initiatives pleines de vie liées à la transition écologique. Pour cela nous avons convié 5 associations qui œuvrent pour le bien commun à notre évènement Plante ta graine 2019.
Nos invités
La suite du monde
Face à l’effondrement en cours, La Suite du Monde acquiert puis libère des terres agricoles et biens immobiliers afin d’y développer des projets liés à l’habitat, l’évènementiel, l’éducation, ou toute activité permettant davantage d’autonomie.
Kokopelli
Kokopelli est une association française qui distribue des semences libres de droits et reproductibles, issues de l’agriculture biologique et bio dynamique dans le but de préserver la biodiversité semencière et potagère.
Open Source Ecology
Open Source Ecology est une association française qui agit pour le développement du matériel open source, un ensemble de 50 machines destinées à permettre l’activité d’un village autonome et résilient, dans le contexte de la transition écologique.
Cocott’arium
Le collectif Cocott’arium propose de réintégrer le poulailler en ville sur une forme nouvelle. Le concept est simple : un poulailler urbain qui recycle. Le projet propose, en échange de vos déchets organiques, de vous fournir en œufs frais.
Seed Tour
Le Seed Tour est un voyage documentaire d’Ariane Bertrand a entrepris de janvier à décembre 2018, à la rencontre des producteurs, chercheurs, association et entrepreneurs qui travaillent sur les semences paysannes, Dans 4 pays : Mexique, Sénégal, France et Inde.
Chaque mardi matin à l’occasion de notre Tonic Tuesday nous partageons nos trouvailles : tendances web, nouveaux outils, applications, méthodologies de travail ou inspirations. L’occasion d’approfondir notre culture numérique, de décrypter et commenter les dernières tendances.
Chaque mois, vous retrouverez donc notre sélection !
Hourly, l’application de timesheeting
« Time sheeter » ou noter son temps est primordial lorsque l’on travaille. C’est la base de tout lorsque l’on vend du temps à nos clients. Hourly est une app qui permet de lancer un chronomètre dès que l’on commence une tâche un travail. L’application, très graphique permet de facilement se rendre compte du temps consacré aux différents projets. Très efficace pour l’efficacité et lutter contre la procrastination. À la différence d’un chronomètre classique, il faut noter la tâche que l’on effectue lorsque l’on lance le chronomètre (possibilité d’en lancer plusieurs en même temps).
Flutter, la conception d’applications multiplateformes
Flutter, le framework de Google permettant de concevoir des applications multiplateformes pour Android et iOS. Aujourd’hui Flutter se fait connaître pour sa capacité à concevoir des applications natives multiplateformes pour Android et iOS (Windows/Mac/Linux sont également supportés).
Google a opté pour Dart comme langage de programmation, faisant ainsi revivre cette technologies tombée (presque) dans l’oubli. Depuis 1 an l’application prend de l’ampleur, notamment grâce à sa version Release Preview en juin 2018 et sa mise à jour en septembre. À suivre de près…
Application dénichée par Clément
Coach me, atteignez vos buts personnels
Coach.me est une app qui va vous permettre de vous fixer un ou plusieurs buts à atteindre. Qu’est-ce que cette app a de différent ? Coach.me va vous permettre d’être encouragé et conseillé par des coachs et des membres de l’application. Parmi les tâches proposés le programme est varié : développement personnel, perte de poids, bonheur et relations, apprentissage d’une compétence, productivité ou défi à relever. Le tout sur une période à déterminer, et avec la possibilité de se faire rappeler fréquemment ses engagements.
La communauté d’utilisateurs vous conseille sur les bonnes méthodes à adopter, et l’enregistrement de vos performances vous permet de battre vos records.
Des félicitations encouragent aussi l’utilisateur à chaque objectif atteint. Un système payant de coaching individuel peut même pousser les plus déterminés à tenir leur cadence.
Un peu de lecture ! Écrit par le créateur de basecamp Jason Fried et son associé David Heinemeier Hansson, It doesn’t have to be crazy at work vous prodigue des conseils pratiques et positifs à adapter au travail.
La problématique du livre : comment construire une entreprise « calme » en suivant quelques règles simples.
225 pages, 66 thèmes = 3 pages par thème. Le but de cet ouvrage ? Démonter les stéréotypes liés aux startups et prouver que pour réussir il n’est pas nécessaire de travailler 80 heures par semaine.
Tout est une question d’organisation et d’efficacité. Cela passe par du calme et des règles simples à respecter. À l’agence nous travaillons ensemble pour appliquer certaines règles et optimiser notre temps afin de mieux servir le client.
Livre déniché par Thibaut.
Synomya, la data au service des entreprises
Élue comme l’une des huit startups Data clés pour l’année 2017 par Maddyness et le Hub Institute, Synomia est une agence de conseil spécialisée dans la data marketing et la création de stratégies innovantes pour aider les entreprises à atteindre leur croissance projetée.
Grâce à sa plateforme SaaS Tile, Synomia analyse facilement et simplement la demande du marché établie par des conversations ouvertes sur les forums, le web, les médias sociaux, les sondages et les sondages. Cela permet à Synomia de tirer des enseignements qui servent à définir la plate-forme de chaque marque et les stratégies de communication multicanaux, à mettre en évidence les opportunités de croissance du marché et à améliorer la satisfaction des clients.
Depuis quelques années les publicistes prennent la route de l’engagement social et politique. De ce fait on voit de plus en plus de campagnes au storytelling inspirant et aux messages politisés. (Gilette, Patagonia..)
La semaine dernière la nouvelle Nike a dévoilé sa nouvelle campagne, en partenariat avec la célèbre tennis-woman Serenna Williams célèbrant les femmes et le sport.
Nike n’en est pas à son premier coup d’essai avec les publicités politiquement ou socialement engagées rappelez-vous de la campagne des 30 ans de la marque « Just fo it ». Le PDG de Nike, Mark Parker, affirme que sa publicité controversée mettant en vedette le quart-arrière de la NFL, Colin Kaepernick, a suscité un » record ». Cette publicité a contribué à stimuler les ventes.
« Le marketing ne consiste plus à fabriquer , mais à raconter des histoires. »
Seth Godin
Est-ce donc pour nike un moyen de se positionner comme une marque féministe ou est-ce un cas de women washing ? De toutes évidences Nike clame haut et fort son habileté à taper juste avec des images puissantes.
Tendance dénichée par Anna
Tympanus, intéractivité is the key
Ce site interactif nous dévoile plusieurs portraits sous forme de particules. Lorsque l’on passe notre souris sur les portraits, tout s’anime. C’est un bon moyen de garder l’utilisateur sur le site et l’encourage à continuer à naviguer dessus.
Flint est votre robot personnel. Le but de ce robot est de vous proposer une newsletter personnalisée avec des articles de qualité et de vous surprendre dans vos lectures ! Avec Flint votre nouvelle profession : « éleveur de robots ». Créé par le journaliste et entrepreneur Benoît Raphaël, les bots deviennent indispensables.
Flint, une newsletter quotidienne dont les articles sont sélectionnés par des bots, sous forme d’intelligences artificielles entraînées et influencées par des experts et des communautés. Chaque jour Flint lit des milliers d’articles et vous envoie une sélection d’articles personnalisée dans une newsletter.
We act for good est une application qui va bouleverser votre quotidien. Aujourd’hui 87% des Français se sentent concernés par les problèmes environnementaux. On assiste à un véritable engouement dans le changement d’habitudes, et cela passe aussi par les app !
WAG est une application simple d’utilisation. Elle vous permet à travers des défis, des conseils et astuces à propos de votre alimentation, votre mode de transport, d’énergie etc…
L’app vous propose donc un programme sur-mesure ? L’utilisateur (Wagueur) est invité à relever des thématiques au quotidien. En naviguant dans l’application, l’internaute choisit alors un sujet qui l’intéresse, ouvre la fiche d’un premier défi, comprend pourquoi c’est important de le faire et s’engage à l’action !
Une fois par mois, nous vous ouvrons les portes de l’agence afin d’interagir ensemble sur les nouvelles pratiques à connaître et à exploiter afin de toujours mieux performer.
Le principe est simple : dans le cadre de ses sessions Tonic transition, nous vous présentons et vous sensibilisons aux sujets d’actualité de l’économie digitale et de la transformation numérique de 8h30 à 10h30.
Nos Tonic Transition se déroulent de la manière suivante :
5 minutes : 3 mots-clés pour se présenter
20 minutes : Présentation du sujet par l’intervenant
20 minutes : Présentation des ateliers co-design en lien avec les ateliers 50A
10 minutes : Questions-Réponses
Vous êtes à la recherche d’événements tech de pointe pour 2019 ? Vous souhaitez conclure l’année 2018 par une conférence exceptionnelle ? Ou vous êtes tout simplement curieux ?
Parcourir tout internet à la recherche d’informations sur les différents événements peut s’avérer être fastidieux. C’est pourquoi nous avons fait le travail pour vous ! Cet annuaire de conférences soigneusement préparées présente les 17 meilleurs événements tech de 2019.
Cette année encore, le programme des événements qui s’intéressent aux nouvelles technologies est bien rempli. Du Nord au Sud, vous trouverez votre bonheur parmi de nombreux évènements tous plus passionnants les uns que les autres.
• Le grand barouf numérique 20-mars CCI Grand Lille
Le Grand Barouf Numérique est de retour pour une édition plus innovante et ouverte que jamais !
Cette année le rendez-vous est fixé les 20 et 21 mars autour de trois thématiques : « la citoyenneté et la démocratie », « l’empreinte numérique et l’utilisation des données », et « la transition écologique ».
Le concept est simple et se définit en deux mots « Participatif » et « Prospectif », le grand Barouf Numérique s’organise comme une assemblée parlementaire où les participants qui deviennent députés sont réunis pour examiner et voter un projet de loi numérique d’anticipation.
Le Breizh Camp, c’est 3 jours de conférence autour du développement à Rennes, mais pas que !
Cet évènement rassemble une large communauté de développeurs et d’experts, avec près de 100 thèmes présentés. Crée en 2011 à l’initiative du BreizhJug cet évènement est de plus en plus populaire et propose du contenu à la carte sur plus de 100 thèmes présentés.
Chaque participant peut participer aux conférences qui ont retenu leurs attentions. Il est également possible d’assister à des ateliers et pour mettre en pratique les connaissances acquises.
Android, Java, PHP, C++, Go, Rust, Cloud, Ruby, .Net, GIT. Le breizh Camp est avant tout un mélange de technologies qui a réuni plus de 600 visiteurs par jour lors de la dernière édition !
N’hésitez pas à vous rendre sur le site officiel pour obtenir plus d’informations et accéder à la billetterie.
LavalVirtual 20-24 mars Laval
Qui a dit que la capitale de la réalité virtuelle était forcément aux États-Unis ? Du 20 au 24 mars le rendez-vous est donné à Laval !
Vous pourrez découvrir les dernières tendances technologiques, les applications les plus innovantes en réalité Virtuelle, ainsi qu’en réalité augmentée.
Laissez-vous guider par les contenus, les solutions de pointe, les techniques émergentes et les applications artistiques de VR/AR
Au cours de ces trois journées découvrez l’univers VR/AR. Au programme : conférences, Keynotes, Cas d’utilisateurs, Conférences techniques et Masterclasses.
Rencontrez les décideurs les plus avant-gardistes dans le domaine des technologies immersives !
L’émergence des réseaux sociaux et du big data à modifier notre perception de la vie privée. On partage tout, n’importe où et n’importe comment sans se soucier des conséquences. Certaines entreprises, à l’affût de nouvelles données pour hyper-personnaliser leurs offres utilisent parfois ces données à l’insu de notre bon vouloir. Quelles mesures doit-on prendre pour assurer la sécurité de nos données ? Dans cette optique, le Parlement Européen a récemment mis en place un ensemble de dispositifs : droit à l’oubli, limite du profilage, plus de transparence envers ceux qui possèdent nos données…
50A vous propose le temps d’un atelier de réfléchir ensemble sur les comportements à adopter pour une avoir une bonne hygiène numérique. Notre article.
N’hesitez pas à vous inscrire ici et rendez-vous le 26 mars !
Nord conversion day 4 Avril, Lilles
Nordconversion day est un événement dédié à l’UX et à l’e-commerce.
Ce salon s’adresse aux professionnels du digital, managers et opérationnels.
Au programme vous pourrez en apprendre plus sur le e-commerce(e-banking, e-assurance, retail, etc.) Design System, les Persona Design, la Data Vizualisation. L’IA, de la Data et encore plein d’autres choses.
L’atout majeur du nord conversion day est que le salon est entièrement gratuit ! Vous devez donc au préalable vous inscrire ici, et venir assister aux animations gratuitement.
Sido 10 et 11 avril, Cité Internationale Lyon
SIDO, l’événement révolutionnaire de l’industrie des nouvelles technologies ! Pour sa 5ème édition, les organisateurs annoncent un forum unique en Europe combinant IoT, AI & Robotique !
Des technologies habilitants aux solutions globales, SIDO est le moteur de l’innovation et réunit 3 écosystèmes convergents pour des projets connectés, autonomes et toujours plus intelligents.
Participez à cet événement majeur « Technologies & Marchés », qui se tiendra les 10 et 11 avril 2019 à la Cité Internationale de Lyon, France.
Une approche novatrice des nouveaux défis technologiques et organisationnels auxquels sont confrontées toutes les entreprises industrielles et des services.
Joignez-vous à l’aventure pour aborder l’avenir d’Android avec les experts les plus en vue dans le domaine.
Au programme, sessions techniques, ateliers, débats, du réseautage, ainsi qu’une chance de dévoiler votre projet dans l’Espace Fabricants devant des centaines de visiteurs.
La 3ème édition d’Android Makers rassemble 4 événements en 1 :
Conférences :
40 min de Tech Talks par des conférenciers experts et 20 min Lightning Talks sur l’avenir d’Android.
Ateliers :
apprenez de nouvelles méthodes, découvrez et construisez votre application pendant les ateliers.
Espace Fabricants :
promenez-vous, jouez et découvrez les dernières innovations matérielles et logicielles développées par les fabricants.
Fête :
Et pour finir en beauté rencontrez des gens avec la même passion que vous, et fêtez la conférence.
Formation en intelligence artificielle 14-15 mars Meudon
Vous vous posez des questions sur l’IA ? Comment fonctionne-t-elle ? Dans quel domaine l’utiliser ? Puis-je pratique l’IA quotidiennement ? Vous aurez vos réponses en vous rendant à la séance de formation avancée les 14 et 15 mars !
Que vous soyez simple débutant ayant entendu parler d’IA ou que vous possediez déjà de bonnes bases en développement technologique ou en informatique cette formation s’adresse à diverses cibles : entités publiques / Entités privées / Indépendants / Informaticiens / Développeurs confirmés ou non.
Viva Technology s’annonce comme LE rendez-vous mondial des startups et de l’innovation à ne pas manquer. Rendez-vous du 16 au 18 mai 2019 pour la quatrième édition qui se tiendra à Paris Porte de Versailles.
Évènement devenu incontournable en seulement 3 ans, le salon est co-organisé par Publicis Groupe et le Groupe Les Echos. L’évènement rassemble plus de 100 000 visiteurs dont 9 000 startups et 1 900 investisseurs de 125 pays.
Les 2 premiers jours sont dédiés aux professionnels : startuppers, chefs d’entreprise, cadres, investisseurs et medias. Le 3ème jour est ouvert au Grand Public.
Qu’il s’agisse de conférenciers de renom, d’expositions, d’innovations ouvertes ou d’expériences vécues, VivaTech célèbre les innovations d’aujourd’hui et les possibilités de demain pour tous ceux qui croient en la puissance de la technologie pour transformer les entreprises et la société.
Humain, vibrant et intense. Le Web2day, c’est le festival des professionnels et des passionnés des nouvelles technologies qui ont envie de s’inspirer, apprendre et networker dans une ambiance détendue et décalée.
Le Web2Day c’est 3 jours qui s’annoncent inoubliables, un village de 5500 m2, des animations, un concours de startups, et plus de 300 speakers nationaux et internationaux.
Vif et intense, mais toujours à taille humaine, Web2day se tourne vers les professionnels mais également pour les passionnés de nouvelles technologies à la recherche de connaissances, d’inspiration et surtout un bon moyen de se construire un réseau dans une ambiance détendue.
Ils vous promettent un séjour inoubliable dans un lieu atypique. Avec plus de 300 intervenants venant du monde entier le programme s’annonce.
Avec plus de 250 intervenants venus de France et du monde entier, un concours de création d’entreprise, un village de 5 500 m2, des événements et des nuits inoubliables (ou non), le tout dans un lieu insolite : ils vous promettent une expérience inoubliable de trois jours.
Leurs moto : La vie est trop courte pour ne pas s’amuser au travail.
Atelier cybersécurité le 17 Juin chez 50
Assurer la sécurité au sein de son entreprise représente un enjeu primordial pour son bon fonctionnement. Une prise de conscience s’impose donc pour tous. Si vous êtes dirigeant d’une PME ou un membre d’une DSI, cet atelier est fait pour vous.
Utiliser les failles humaines d’un système d’information comme effet de levier, connaissez-vous les rudiments du social engineering ? Une fois l’humain formé, avez-vous entendu parler de bug bounty, de pen testing ?
Conscient de cette problématique majeure, 50A organise un atelier consacré à la cybercriminalité et à la cybersécurité pour sensibiliser ses clients aux dangers qu’ils encourent et leur donner les armes nécessaires pour combattre ce type d’attaque. Notre article.
Sautez vers l’innovation agile, ouverte et allongée !
Au sein des entreprises, innover est devenu vital. Avantage concurrentiel, levier de croissance, améliorer sa réputation, conquérir des nouveaux marchés : toutes les raisons sont bonnes pour innover. Mais qu’est-ce qu’innover aujourd’hui ? L’innovation peut se faire sous plusieurs formes (produit, service, procédé, marketing ou social) et sous plusieurs degrés (innovation de rupture ou incrémentale). Différents types d’innovation se sont développés ces dernières années comme l’open innovation ou l’uberisation.
Chez 50A nous utilisons la méthode Design Thinking : en plaçant l’humain au centre, cette approche permet d’innover autrement en s’inspirant des méthodes des designers, comprendre les besoins du client, la faisabilité technologique et la réalité économique pour créer de nouveaux produits et de nouveaux services. Cette méthode stimule la créativité et développe l’esprit collaboratif au sein d’une équipe.
Lors de son prochain atelier, 50A vous éclaire sur les nouveaux types d’innovation et comment s’en servir à son avantage pour être plus compétitif sur le marché.
Intéressé ? Rendez-vous le 16 septembre 2019 prochain !
FrenchKit 7-8 octobre Paris
FrenchKit est la première conférence iOS et macOS en France. En se concentrant sur un large éventail de sujets, des API cacao à Swift, couverts par certains des développeurs les plus importants de la communauté internationale.
Faites partie des plus de 200 personnes qui participeront à la troisième édition de FrenchKit. Passez deux jours avec les meilleurs développeurs du monde entier. Apprenez, découvrez, échangez, discutez et surtout amusez-vous !
Apprenez des plus éminents développeurs impliqués dans les technologies Apple. Attention toutes les conférences seront données en anglais.
Le rendez-vous est donné du 20 au 21 septembre 2018, passez deux jours à écouter, apprendre et partager les meillures pratiques du développement iOS et macO.
Consultez leur site pour plus d’informations sur la prochaine édition.
DotJs 5-7 novembre Paris
DotJs est la plus grande conférence mondiale sur la Javascript rassemblant des développeurs de haut niveau à Paris.
Leurs buts organiser de développeurs avec le format et les standards de qualité de TED ?
Ils organisent aujourd’hui près de 7 conférences de ce type par an, invitant les meilleurs développeurs du monde entier à s’exprimer sur les plus belles scènes que Paris a à offrir.
Les développeurs s’y rendent afin de découvrir des sujets pointus inédits, d’apprendre et surtout voire les différentes directions prises par ce langage informatique majeur.
La première journée est plutôt axée sur le développement Front-end, puis sur les différentes évolutions du langage et son utilisation pour le Back-end le deuxième jour.
Un événement technique mais immanquable pour tout bon développeur Javascript !
Consultez leur site pour plus d’informations sur la prochaine édition.
Rent Real New Tech 6-7 novembre Paris
RENT Real Estate & New Technologies est un salon dédié aux professionnels de l’immobilier.
Aujourd’hui l’innovation et les nouvelles technologies sont au coeur de l’immo, cet évènement reservé aux professionnels de l’évènement de référence du secteur.
L’inscription se fait en ligne ici le forfait comprend une participation aux conférences et l’accès aux halls d’expositions.
Blend web mix 13-14 Nov Lyon
BlendWebMix c’est deux jours d’ateliers, workshops, conférences et rencontres s’adressant à une variété de public qui fait vivre l’écosystème web.
Entrepreneurs, business développeurs, recruteurs, investisseurs, designers, formateur, mais aussi publics type plus généralistes : étudiants, chercheurs, collectivités etc sont invitées à cet évènement !
BlendWebMix c’est aussi l’opportunité, pour les entreprises plus classiques, de rencontrer et comprendre l’écosystème web et ses acteurs.
L’évènement est organisé par La Cuisine Du Web et se déroule à la Cité Internationale.
Le SIMI, événement de référence pour les acteurs de l’industrie immobilière en France. Le salon rassemble plus de 30 400 professionnels et 470 sociétés et collectivité pendant trois jours.
L’évènement tient compte de l’évolution et de la mutation présente et à venir dans cet écosystème allié avec l’extension du digital dans le domaine du bâtiment.
Le salon présente donc les offres Françaises d’immobilier, de bureaux, de logistique etc…
Pour être alerté de l’ouverture de la billetterie, cliquez ici
En espérant que cette liste vous aura convaincu d’assister à un de ces évènements plus intéressant les uns que les autres !
Ne trainez pas trop pour prendre vos places pour les évènements qui vous intéressent, (certains se remplissent très vite) . Gagnez de nouvelles compétences, rencontrez de nouvelles personnes et surtout amusez-vous !
50A Galaxy est le nouveau rendez-vous mensuel au format podcast à ne pas manquer. Tous les mois pendant 10 à 15 minutes nous décrypterons la transformation numérique d’un secteur d’activité. Nous aborderons avec un expert du secteur les bonnes pratiques, les innovations et les ruptures liés aux mutations sociétales et technologiques. Le podcast 50A Galaxy a pour objectif de vulgariser ce sujet tout en abordant les solutions existantes.
Retrouvez-nous chaque 1er mercredi du mois et pour ne pas louper un épisode abonnez-vous !
Les extraits que nous avons mis dans notre podcast ne sont pas choisis au hasard vous pouvez retrouver Elon Musk, Charles de Gaulle ou bien encore Tim Bernes-Lee. Chacun de ces hommes a changé l’histoire de diverses façons possibles par leur courage, volonté, innovation et leur acharnement.
Charles de Gaulle – “Il faut le progrès, pas la pagaille” Tout le monde se souvient de certaines des « petites phrases » du Général Charles de Gaulle, beaucoup d’entre elles sont restées célèbres ! C’est lors de l’entretien avec Michel Droit entre les deux tours de l’élection présidentielle que Général de Gaulle en prononce une nouvelle.
Julian Assange Fondateur de Wikileaks Suite à ses révélations le célèbre hacker est poursuivi en justice et trouve refuge à l’ambassade d’Équateur où l’asile lui sera accordé. En ayant inventé Wikileaks Julian Assange a créé le moyen de mettre en lumière des parts d’ombre que personne ne voulait voir sortir au grand jour comme il a pu le faire avec le Kenya ou bien encore au Moyen-Orient.
Richard Stallman – Le logiciel libre et votre liberté Le logiciel libre respecte les droits de l’homme via 4 libertés essentielles :
Liberté 1 : « exécuter le programme comme tu veux »
Liberté 2 : « liberté d’éditer les ressources du programme et les changer pour que le programme face ce que tu veux »
Liberté 3 : « aider les autres et redistribuer des copies exactes »
Liberté 4 : « contribuer et diffuser des copies modifiées aux autres »
Peter Thiel – Libertarian Island Le créateur de PayPal Peter Thiel a pour volonté de créer une île libre sans aucune contraintes ni lois.
Louis Pouzin – “La technologie va disparaitre un jour ou l’autre” Il est celui qui a inventé le datagramme et il a contribué au développement des réseaux à commutation de paquets, précurseurs d’Internet.
Craig Wright le créateur du Bitcoin ? Satoshi Nakaoto est celui qui a inventé le Bitcoin seulement aujourd’hui personne ne sait qui il est. Craig Wright dit être Satoshi Nakaoto.
Vannevar Bush Chercheur au Massachusetts Institute of Technology (MIT) il est surtout connu pour être un des précurseurs d’internet et un chercheur scientifique pendant la Seconde Guerre mondiale.
Elon Musk – “Crazy things are possible” Fondateur de SpaceX, PDG de Tesla Motors, inventeur de l’Hyperloop, le milliardaire Elon Musk suscite beaucoup d’interêt. Son prochain but est de réaliser des voyages spatiaux interplanétaires.
Tim Bernes-Lee – “ Le web que nous voulons” Considéré comme le principal inventeur du Web Tim Bernes-Lee nous donne son diagnostic sur les dangers qui arrivent. Le web est devenu avec le temps beaucoup moins visuel et ajoute « C’est à nous tous, désormais, de construire le Web que nous voulons. »
Laurent Alexandre – Débat « Google fait-il main basse sur la médecine? » Invité d’une grande émission de radio Laurent Alexandre le fondateur de Doctissimo parle du fait que Google rachète les meilleures sociétés de biomédecine. Le but du géant Google est de rallonger la vie en améliorant l’intelligence artificielle et son second but et de repousser la mort de 20 ans au 21ème siècle.
Le projet 50A Galaxy
Depuis 2004, 50A propose son savoir-faire autour de 3 expertises :
50A est un lieu d’innovation où l’on travaille sur les nouveaux usages technologiques, humains et entrepreneuriaux parce que chaque personne est le maillon d’une réflexion. Son souhait : être un acteur du changement et de remettre l’humain au coeur de la technologie.
La transhumance n’a rien à voir avec le trans-humanisme. Vous vous demandez donc pourquoi et comment 50A en est-il arrivé là !?
L’histoire est longue à raconter, je vais donc m’atteler à vous expliquer comment une entreprise de petite taille a initié en 2 ans un changement de cap (lieux, secteurs, modèle économique, de gouvernance… )
Il y a 2 ans, les pâturages d’en haut, qui avaient donné un maximum de nourriture à tout notre écosystème, commençaient à montrer leurs limites, tant en variété qu’en quantité…
On se disait entre nous: “il est temps de trouver de nouvelles pâtures à notre troupeau et de descendre de la montagne à la plaine ”
La métamorphose était de rigueur. Partir vers de nouvelles terres et de nouveaux territoires pour explorer, partager, ébaucher, échanger… afin de trouver notre destinée.
Aider les artisans et les commerçants à distribuer leurs produits, faire connaître leurs savoirs-faire et leurs territoires.
La vente est le support indispensable de l’artisanat et du commerce. Vaste mission à la mesure de nos valeurs, de notre engagement et de notre identité. Nous avons choisi de relancer les maisons de commerce et de redorer le blason de l’agent Commercial.
Dans une société qui ne crée plus d’emplois, nombreux sont ceux qui vont devoir inventer le leur.
Nous avons donc décidé d’ouvrir un lieu, afin de ré-enchanter la vente et glorifier nos territoires.
Pour le moment, nous ne vous donnons ni le nom, ni l’adresse.
Nous conservons un peu de mystère sur ce nouveau projet, mais nous nous pouvons d’ores et déjà vous annoncer que nous allons déménager…#teasing
En attendant, nous vous invitons dans notre transhumance qui commencera le 14 septembre et finira en fanfare le 30.
Inscription sur Facebook pour les différents événements. Ceux qui détestent Facebook, appelez nous au 0140330065 et tapez 3.
Le 1er évènement le 14/09 à 19h https://www.facebook.com/events/1766053340276127/
Votre dévoué directeur de l’Amusement.
Nicolas ex druide, futur agent Co !
#Transition #Pathfinder #Local
Vous connaissez probablement Twitch, la plateforme de streaming consacrée principalement aux jeux-vidéos et au sport électronique (“e-sport”). Si ce n’est pas le cas, voici en quelques mots un résumé ;
Twitch est la première plateforme de streaming dédiée au jeux-vidéos et aux gamers.
En effet 45 millions de joueurs sont connectés chaque mois pour diffuser en live leurs parties de jeux-vidéos, avec ou sans webcam, ces joueurs sont parfois des professionnels (“pro-gamers”) ou simplement des gens comme vous et moi souhaitant partager et proposer en live du contenu tout en interagissant avec ses spectateurs (“viewers”) grâce au tchat, tout comme un chanteur se donnerait en concert, chacun a son style et sa communauté en fonction du jeu. Twitch reprend une partie du concept de twitter ou chaque streamer peut-être suivi par n’importe qui possédant un compte. Vous pouvez donc identifier assez facilement les streamers « populaires » par leur nombre de followers et leur nombre de vue.
On y retrouve non seulement les gamers mais aussi tous les acteurs de l’industrie du jeu vidéo cela inclus les boites de productions de jeux-vidéos, les développeurs, les conventions, les conférences de presses et aussi des lives de charité pour récolter des dons afin de rendre le monde encore plus merveilleux.
L’ensemble forme une très très grande communauté aux statistiques démesurées, pour le coup on pourrait parler big data mais ce n’est pas le sujet, (pour avoir un aperçu des chiffres clés de Twitch en 2015 cliquer ici )
A savoir également que le 18 mai 2014, Google avec YouTube a négocié le rachat de Twitch pour un milliard de dollars, mais c’est Amazon qui a remporté la mise en achetant Twitch pour 970 millions de dollars. Emmett Shear, le PDG de Twitch, explique ce choix en précisant qu’Amazon est une entreprise qui partage les mêmes valeurs que Twitch, avec une vision sur le long terme quant au futur du site”. Youtube finira par lancer sa propre plateforme avec https://gaming.youtube.com/ qui n’a pas tant décollé malgré de nombreux avantages, il reste pour le moment le google+ du streaming.
Mais quel est donc le rapport avec le co-design me direz-vous ?
Et bien parmi tout cet écosystème qui ne cesse de se développer, une petite bulle est apparue et commence à grossir de plus en plus au sein de la plateforme. Il s’agit de la catégorie “créative”. De base Twitch est catégorisé par jeux vidéos, ce qui vous permet de choisir ce que vous souhaitez visionner, mais pour diversifier son offre et son contenu Twitch a remarqué qu’une partie non négligeable de sa communauté était composée d’un grand nombre de créatifs Illustrateurs, dessinateurs, designers, graphistes 3D, sculpteurs, peintres, cosplayer, animateurs et même des couturiers en herbe !
Cette catégorie a été créée pour les créatifs et tous les curieux qui souhaitent admirer leur travail en direct et intéragir avec eux. Pour cela il n’y a qu’une adresse => la catégorie créative de Twitch vous y trouverez une centaine de streams catégorisés par hashtag et des milliers de spectateurs. Certain streamers sont d’avantage tournés vers les interactions grâce au tchat dans lequel vous pouvez communiquer (à condition de s’inscrire gratuitement), le spectateur pourra donc directement influencer le travail de l’artiste via ses demandes et ces interactions ce qui rejoint en quelque sorte le Co-design et la co-création. Il ne vous reste plus qu’à trouver un créatif à l’écoute pour tenter de co-designer une oeuvre pour ma part je vous recommande le stream officiel d’Adobe ci-dessous :
Cette chaîne Adobe fait tourner différent streamers créatifs avec beaucoup de talent et d’écoute, il ne vous reste plus qu’à ouvrir chaque stream tel un calendrier de l’avent et d’en prendre plein les yeux. Le créatif reste dans la plus part des cas le seul maître de sa création et met en avant son projet et son talent d’autres sont plus tournées vers les interactions et le co-design. À défaut de co-designer vous pourrez en apprendre beaucoup simplement en regardant leurs travaux en live. Le co-design c’est aussi le partage du savoir, à vous de découvrir cette communauté grandissante et pourquoi pas d’en faire parti.
Il y a deux ans, Chris Anderson annonçait une nouvelle révolution industrielle. À savoir le pouvoir de faire des trucs ! Plus prosaïquement, … transformer le pouvoir des bits électroniques dans le pouvoir des atomes… Qu’en-est il aujourd’hui ? Point à date sur un mouvement émergent et effervescent.
Un Héritage de la Culture Punk-DIY
Hérité de la contre-culture du mouvement punk du DIY associé aux zines et plus généralement au rejet de la nécessité d’acheter des objets ou d’utiliser des systèmes ou des procédés existants, le mouvement des Makers fait ses premiers pas en France.
Mais Qu’est-ce Qu’un Maker ?
Un bricoleur des temps modernes, social, curieux et enthousiaste pour réaliser et partager sur une communauté de passionnés. Maker c’est un état d’esprit, à mi-chemin entre la tradition du faire soi-même et des nouvelles technologies qui offrent un éventail de possibilités pour créer et inventer.
Dans le monde entier, des passionnés se définissent eux-mêmes comme “makers” : ils auto-apprennent ensemble, s’éduquent les uns les autres et partagent ouvertement leurs idées innovantes afin que d’autres puissent construire sur leurs innovations. Ces actions ont abouti à des améliorations rapides d’outils comme les imprimantes 3D, la conception de nouveaux outils dans toutes les catégories et la création de nouveaux business.
De nos jours les makers fournissent la connaissance, les talents et outils pour tous ceux qui veulent reprendre le contrôle de leur avenir.
En 2014, le phénomène underground des bricoleurs et hackers joyeux contestant l’ordre économique existant sort de l’ombre pour créer de nouveaux lieux, inspirer les enfants et adultes à l’apprentissage et à la quête de solutions innovantes et durables pour se faire plaisir, repenser la production locale et participer à un projet social.
Les Leitmotivs : Inventer et Prototyper
En somme une agrégation de valeurs sous-jacentes autour du développement personnel, du succès professionnel, de la gestion de communauté et d’innovations continues.
Les points communs : exploration, encourager l’innovation, la créativité, le prototypage, l’apprentissage et… tout ça dans le fun !
Les centres d’intérêts des makers nés initialement autour de l’imprimante 3D et de l’Arduino s’ouvrent désormais à tous les champs des possibles : arts, travail du bois, robotique, typographie, biologie, cuisine, jardin… pour n’en citer que quelques-uns.
Tous Makers ?
Selon Chris Anderson,
“Nous sommes tous des Makers. Nous sommes nés Makers.”
La multiplicité des loisirs numériques, n’a pas changé la fascination d’un enfant pour le dessin, les briques de Lego ou les maquettes.
Les anciens vous raconteront qu’on refait du neuf avec du vieux… Oui, les makers s’inscrivent dans le prolongement des premiers clubs de radio-amateur, micro-modélisme ou des clubs de geeks historiques comme le célèbre Homebrew Computing Club.
Les makers sont des gens normaux baignés dans la culture web du partage et de ses fondements libres : inventivité, indépendance, passion, optimisme, orientés-action, exécution… Et tous convaincus que cette révolution digitale de l’atelier de Papa va changer le monde.
L’usinette : futur conducteur de notre croissance.
La culture maker est étroitement liée à l’émergence de tiers-lieux communautaires (hackspaces, makerspace, coworking, fablabs) désormais présents dans le monde entier.
Depuis la sortie du livre, c’est indéniable, le mouvement est amorcé : 50 makerspaces ont vu le jour en France pour plus de 350 dans le monde.
Le Maker fait définitivement tomber en désuétude le nolife ou bricoleur solitaire. La culture maker hérité de l’open-source et du libre est nativement ancrée dans les réseaux, le fun, les échanges informels de pair à pair, bref une culture participative et collaborative où tout le monde est invité à participer.
Si vous vivez en France et si vous vous reconnaissez dans les valeurs d’un “Maker”, nous ne pouvons que vous encourager à visiter un de ces lieux. Vous y rencontrerez des gens merveilleux et trouverez quelques pistes géniales pour y connecter vos passions.
Après le trop-plein d’enthousiasme du post précédent sur l’actualité du CES 2014 concernant l’internet des objets, l’acquisition du thermostat Nest par Google… (pour un montant record de 3.2 milliards de dollars afin de s’emparer des meilleurs designers mondiaux), il est temps de conclure par quelques recommandations de sagesse… dans cet engouement général.
Olivier Ezratty : “cela prise parfois l’absurde”
Difficile d’être passé à côté de la profusion attendue des objets dits “intelligents” contée par Olivier Ezratty dans son compte-rendu à chaud des Premiers Retours du CES 2014
Tout est potentiellement connectable au point que cela frise parfois l’absurde : la brosse à dents (chez le français Kolibree), le distributeur de médicaments, le lit, l’oreiller, la raquette de tennis (chez le français Babolat, ci-dessus, équipé du SDK de Movea), le ballon de foot, les chaussures, les vêtements, le Voyce qui vous permet de comprendre les humeurs de votre animal domestique ou le détecteur de bed bugs. Le CES démontrait cette frénésie un peu délirante consistant à connecter un peu tout et n’importe quoi avec au passage, de nombreuses redondances entre objets.
Un point de vue critique recevable. Cette première vague de babioles connectées ne doit pas nous faire perdre de vue qu’hormis quelques rares success-stories se dénombrant sur les doigts d’une main, les chiffres d’adoption grand public sont toujours attendus.
Et pour l’avoir vécu avec la communauté des quelques 500 utilisateurs pionniers du Quantifed Self, nous pressentons que le modèle “un objet = une app = un usage” risque de se fatiguer. La première raison étant que le porte-monnaie du consommateur n’est pas extensible. Parmi les 40 objets attendus par consommateur, nous doutons fortement que le panier puisse se maintenir autour d’une moyenne de 100 euros par objet/app ?
Maison intelligente, voiture et plus largement “routines” connectées, les startups pionnières ont placé la barre très haut. Mix astucieux de design hardware/UX, savoir-faire industriel et marketing sont les clés du succès pour se positionner au plus vite sur ces marchés émergents.
Fondamentalement, le défi n’est pas de repérer un usage précis pour fabriquer un objet ad-hoc mais de concevoir un environnement flexible où chaque usage peut trouver une place.
Nous n’avons pas dix poignets. Le marché n’est pas extensible à l’infini. Les premières remontées empiriques reçues des early adopters font apparaître un phénomène de lassitude face aux premiers gadgets. Bracelets soigneusement rangés dans le tiroir, piles usées des station météo et j’en passe. La sélection est darwinienne avec un mot-clé : “Friction-less”. Si l’usage n’apparaît pas indispensable dans la routine, l’objet tombe vite en désuétude. Ai-je réellement besoin d’un capteur de sommeil au quotidien ? D’un point de vue personnel, je serais ravi de pouvoir essayer, louer, voire échanger facilement ces devices.
Une courbe en U : du low-cost au très haut de gamme
Aucune prétention d’analyse vis à vis de ce marché naissant et tiré par l’offre, mais mon premier ressenti est l’évolution d’un marché réparti sur une courbe en U.
Courbe en U (crédit https://3ri.free.fr/)
À savoir à gauche de l’abscisse, une répartition des produits connectés allant du low-cost pour les babioles et objets les plus courants sujets à la copie. Je pense notamment aux “actionneurs” divers pouvant subir une guerre de prix de la part d’assembleurs de composants. Par curiosité, jetez un coup d’œil à l’étendue de l’offre et aux tarifs sur une simple requête « pedometer » chez Alibaba : près de 75000 produits pour 1000 fournisseurs.
Le i-grill chez i-devices pour les geeks du BBQEt de l’autre côté, le haut de gamme, l’innovation extrême où la magie du design, la qualité du service, l’UX font la tendance et pourront justifier des prix élevés assortis de services récurrents.
Cette courbe bien connue dans le monde de l’automobile – pensez aux gammes des Véhicules Electriques vs low-cost – préfigure l’évolution de ce marché. Et pour les marques, les défis à relever sont passionnants pour imaginer de nouvelles relations clients et reconfigurer la part d’attention.. Banque, assurance, food, santé,… l’internet des choses est en marche pour de nouveaux paradigmes.
Pour conclure, retrouvons-nous le 26 mars prochain pour un 8ème meetup “quantified self” dédié au design. Nous comptons sur votre présence pour rencontrer un panel d’experts du design, d’entrepreneurs aventuriers et de chercheurs.
Vous remerciant d’avoir lu jusque là. Faites-vous un nez. Nous sommes convaincus que ces objets représentent une opportunité extraordinaire pour réfléchir sur le renouvellement de services qui disrupteront tous les marchés sans exception. Parlons-en quand vous voulez lors d’un walking-meeting de 5000 pas ?
Après une première partie consacrée à un rapide retour en arrière dans l’histoire de l’internet des objets, retour dans le flux, la vraie vie de l’agence pour tenter de vous conter le pendant du marché tel que nous le percevons aujourd’hui.
Veille matinale dans les « objets »
Quelques vagues de somnolence ce matin à tenter de suivre le mot-dièse #CES2014 sur Twitter.
En attendant une Mother bienveillante apte à mesurer ma dopamine, je penserai dès ce soir à rebrancher les objets de contrôles de sommeil + régulation de température /qualité d’air. Et faute de disposer d’un visio-actionneur d’ouverture de porte sur le téléphone, retour dans la vraie vie (hors de l’écran) pour quelques allers et retours à la porte afin d’accueillir nos visiteurs.
La « French Touch » qualifiée d’ingénieuse et créative par les pros du CES
Faute d’avoir pu rejoindre l’ami Jean-Michel Billaut pour sa visioconférence live quotidienne en direct de Villiers le Maheut pour un point avec Olivier Ezratty et d’autres compères de la French Touch, quelques éléments retenus sur l’effervescence du jour.
(…) Deuxième tendance, les objets connectés (à Internet, NDLR). Certes, tout le monde en parle depuis déjà un certain temps, mais ici, on ne parle presque que de ça ! Deux phénomènes caractérisent ces objets ici : premier phénomène, on relève un nombre très importants de « copy cats » (produits qui imitent des produits à succès, NDLR). Par exemple, j’ai compté entre 15 et 20 bracelets connectés du même type que celui de Fitbit (…).
Deuxième phénomène : la variété incroyable des objets connectés, apparemment, aujourd’hui, on peut connecter à Internet un peu tout et n’importe quoi… Par exemple, j’ai vu une raquette de tennis de Babolat qui est connectée au Web et qui vous permet de connaître vos statistiques de jeu ! J’ai vu aussi un thermomètre destiné à mesurer la cuisson de la viande : plus la peine de rester près du four, les données de température sont envoyées directement sur votre Iphone. J’ai vu aussi une bague qui mesure votre exposition aux UV : elle vous indique si vous êtes resté trop longtemps au soleil.
Si ce marché semble en plein essor, attention cependant à la fragmentation : car chacun propose son objet et son application, qui fonctionnent quasiment en autarcie. Du coup, j’imagine que dans le futur, tous ces objets connectés, tous ces capteurs, seront reliés ensemble grâce à un logiciel chargé de leur gestion, afin que l’utilisateur puisse s’y retrouver et garder la main. En gros, un logiciel pour « connecter les objets connectés »…
99% de nos objets restent à connecter
Pour revenir sur quelques chiffres abordés hier, les démographes prévoient 7.7 milliards d’humains pour 2020 à mettre en perspective avec 200 milliards de choses connectées selon les analystes. Ce qui nous donnerait une moyenne de 28 choses connectées par humain !
Faites le calcul : combien cumulez-vous de box, téléphones, télévisions, automobiles voire podomètres ou autres bracelet-gadgets (peut-être en train de dormir dans vos tiroirs) ? 5, 10, ou 20 objets tout au plus, non ?
Nous sommes encore loin du compte et pouvons sans nous tromper affirmer que 99% de nos objets du quotidien ne sont pas encore connectés.
Un Paysage Économique Encore Bien Distribué
À la différence de notre web féodal ultra-concentré entre trois opérateurs US mondiaux, l’architecture de l’internet de tout devrait -nous l’espérons- évoluer vers un marché plus équitablement distribué.
Matt Truck a conçu ce tableau pour nous aiguiller au sein de ce secteur. Sa classification qui risque d’être chamboulée, a le mérite de nous exposer clairement les défis de ce marché complexe et atomisée, réparti en trois champs :
les plates-formes
les apps : quantified self, vie, maison connectée, industries et internet industriel
les blocs de construction.
Guerre de standards en vue
Le premier défi (reconnu) à cette heure relève de l’absence de standards d’interconnexions.
Et face à l’urgence de connecter cet ensemble, les constructeurs ont souvent lancé des produits et plates-formes chacun dans leurs coins. Faute de standardisation, l’interconnexion au tout et sans couture risque de relever du parcours du combattant et à un empilement de box et d’interfaces-utilisateurs. Pensez au nombre de télécommandes cumulées sur la table de votre salon. Même si les terminaux mobiles s’imposent de facto comme les principaux « hubs » ou terminaux de connexion associés aux premiers objets, aucun leader ne s’est encore imposé sur ce marché grand ouvert.
Parmi les efforts récents de standardisation, nous pourrons suivre l’annonce de l’Alliance Allseen menée par la Fondation Linux emmenant une belle brochette de partenaires prestigieux dans un consortium à but non lucratif très américain. (LG, Panasonic, Sharp, Silicon Image… évoluant sur la plateforme opensource AllJoyn de Qualcomm.)
La suite demain et à discuter à notre prochain Meetup…
Demain j’essaierai de vous décrire nos intentions de production éditoriale pour notre prochain meetup du Quantified Self consacré au design et programmé pour le 26 mars prochain.
À ce titre, je suis déjà ravi de vous confirmer que Xavier Houy, designer industriel de nombreux objets de notre futur quotidien (Mother, COOKOO, Cogeeto, ….) nous aidera à co-produire ce meetup. Pensez à réserver !
Depuis quelques années, nous regardons avec envie les festivals de Hacker. Le plus connu étant le rassemblement du Chaos Computing Club à Berlin. Cette année, pas de CCC mais le OHM (Observe, Hack & Make) à 50 km de Amsterdam.,
C’est donc Thibaut et Nicolas, via Xavier, qui ont eu la chance d’être choisis par 50A pour s’immerger et découvrir cet événement. Imaginez un gigantesque camp, plus de 115 campements, 3000 personnes venues du monde entier, 5 jours de conférences et ateliers en plein air, des idées, projets, connaissances qui fusent et qui se partagent. Rythmé par des règles et codes de vie communautaires à la hauteur des rencontres tribales, féodales, OHM démontre que l’organisation classique existera à jamais.
[OBSERVE]
« déambulez dans le campement pour sentir le vent des idées »
A notre arrivée, nous cherchons où planter notre tente, nous faisons connaissance avec les membres d’un hackerspace, mais pas n’importe lequel : le premier hackerspace français, créé en 2007, le tmplab. Ils nous accueillent dans leur campement – merci à eux – et c’est le début de l’aventure !
Chaque campement est rattaché à un clan. Certains se déplacent avec des drapeaux pour revendiquer leur appartenance. Des workshops sont proposés dans certains hackerspaces. Justement, un hackerspace, qu’est-ce que c’est ? C’est un peu comme un laboratoire de hackers, un lieu de collaboration. Des hackerspaces se développent d’ailleurs partout dans le monde.
OHM 2013 : de quoi en finir avec l’image du hacker geek planqué derrière son ordinateur.
Le but, nous l’avons bien compris, c’est de partager des connaissances, de débattre de problèmes rencontrés, de s’inspirer les uns les autres, de communiquer sans limites autour des technologies et de leur importance dans le monde contemporain.
Nous allons de découverte en découverte. La vitesse du réseau wifi est impressionnante, 5 GO. On croise toutes sortes de personnes : des jeunes, des moins jeunes, femmes, hommes, de tous styles possibles, des familles venues avec leurs jeunes enfants même. Sans doute est-ce parce que ce festival prouve que le hacking ne se limite pas à l’informatique pur et dur et qu’aujourd’hui tout se hacke… Et surtout le réel, au delà du virtuel.
[HACK and MAKE]
Clarifions immédiatement: Hacker = Bidouiller. Enlevons nous de l’esprit la connotation négative associée au terme de « hacker ». Tous les hackers ne sont pas des pirates ! L’idée est bien celle que le hacking ne se limite pas aux ordinateurs : tout se hacke puisque le hacking consiste en un processus de déconstruction et de reconstruction.
D’atelier en atelier, nous allons découvrir plusieurs facettes du hacking. A peine la tente montée, nous voila en train de nous confectionner des crèpes en 3D ! C’est simple, une imprimante 3D est hackée et son usage devient tout autre !
Nous croisons la route de l’infatigable Mitch, Maltman23, du hackerspace NoiseBridge, inventeur de cette fameuse télécommande, capable d’éteindre les téléviseur dans les lieux publics.
#Lockpicking
Xavier nous avait conseillé d’assister au Workshop de #Lockpicking animé par Jos Weyers. Tout se hacke et nous voilà en train de hacker le réel… Si on y réfléchit bien, crocheter une serrure, c’est la détourner, et c’est justement cette idée de détournement d’un objet, d’un système qui est contenu dans le hacking. Dans son sens le plus répandu, le hacker détourne des systèmes de sécurité virtuels, alors pourquoi pas en revenir au réel et hacker une serrure… Après tout, c’est la même logique, cette logique de liberté, adaptée à du concret.
C’est donc au FRUBAR que nous nous sommes initiés à cette discipline. Rapidement deux sympathiques hollandais nous montrent quelques techniques. Il parait que c’est le IT du hacker.
Fiers d’avoir su saisir la chance du débutant après avoir ouvert 3 cadenas*, nous filons naturellement nous procurer le kit, puis passons un bon moment entre #lockpickers.
Pour se remettre de ces émotions (ça creuse d’ouvrir des serrures!) nous nous rendons au stand d’ICMP, Intergalactical Club-Mate Party, pour savourer le coktail des hackers, le Tschunk et hacker notre pizza (tu paies, tu choisis tes ingrédients, tu prépares et tu chauffes ta pizza). Oui parce qu’hacker peut aussi s’appliquer à la nourriture. Si l’on y réfléchit bien, cuisiner du fait-maison, c’est un peu hacker, tout est dans la transformation !
Nous avons également croisé sur notre route la Food Hacking Base où un homme du nom d’Algodor prépare des boissons par fermentation et formation de bactéries. Et aujourd’hui, entre la montée en puissance de nouveaux types de cuisine comme la cuisine moléculaire et le retour du fait-maison et du consommer local du fait des récents scandales sanitaires, plus que jamais, le food hacking est une tendance indéniable !
Hacker les animaux aussi, ça paraît étrange… Pourtant, c’était bien une autruche que nous avons vue, transformée en hélicoptère. Une autruche volante, donc, qui, empaillée, a été hackée et transformée pour lui donner un tout autre usage.
Puis, intrigués par des bruits métalliques, nous observons des participants à un workshop de ferronnerie.
Direction ensuite le stand des petits frenchies de l’Electrolab, un hackerspace basé à Nanterre où les jeunes esprits qui y officient mettent leur imagination au service de moyens de transport écologique. Nous y rencontrons Samuel dit « Crafty » et toute sa bande.
Quelques imprimantes 3D et une organisation irréprochable, venus à une vingtaine, tout est impeccable… #respect
Après toutes ces geekeries nous ne pouvions rater la conférence d’Eleanor Saitta qui a engagé un débat sur la surveillance et la sécurité. Elle questionne notre manière de raisonner en précisant que la société actuelle a un etat d’esprit similaire à la CIA. Elle decrit l’espionnage comme un moyen de controller et de surveiller l’Etat et explique l’evolution de l’espionnage à travers le temps. Aujourd’hui, alors que nous avons les moyens d’espionner, de tout savoir, le hacking est devenue monnaie courante. Au passage, on nous explique et démontre comment il est possible d’intercepter et scanner toutes les communications mobile et web.
Nous ne pouvions ensuite pas manquer la séance de Hacking massage dans la secte Baba Peace Love de la Quadrature du net. Le hacking massage, ça peut paraître bizarre, mais la base même du hacking, c’est la libre circulation de l’information, comme celle du massage est la libre circulation des énergies dans le corps. Eh oui, revenir au toucher ! Quoi de plus réel dans ce monde digital ! Nous rencontrons Karine Rathle, danseuse et chorégraphe.
Puis la nuit tombe, les LED s’illuminent, le son et les basses s’allument et c’est parti pour une party à ciel ouvert. A ce petit jeu des clans se détachent assez nettement l’Ambassade italienne et les pionniers allemands GERAFFEL. Pour des raisons que vous comprendrez, l’intégralité de la soirée ne sera pas résumée ;)
Au lever du jour, l’odeur du café réveillent les hack-campers. Les yeux légèrement froissés, on nous conseille fortement de participer aux RMLL, rencontres mondiales du logiciel libre, qui se dérouleront à Montpellier l’été prochain !
C’est décidé, l’année prochaine, on emmène tout le monde hack-camper!
Lorsque Nicolas m’a demandé d’aller dans les locaux de We Demain pour rencontrer François Siegel, je n’étais pas très confiante, n’étant pas journaliste ! Mais 50A m’a fait confiance, et m’a donné les moyens de réaliser cette mission en restant sereine. Belle expérience, et une très belle rencontre.
50A et We Demain veulent faire émerger des idées mais aussi créer une communauté fidèle. Nous avons cette volonté de faire, en nous. Mais souvent, nous voulons bien faire, mais nous ne faisons jamais rien…
Avec la culture du « Home Made », le développement du « Home Brand », du « Home Business » ou encore les « Home Studio » dans l’audiovisuel , la production devient abordable. L’agence digitale 50A souhaite partager cette philosophie du pas vite et pas cher, pour agir mieux ensemble.
François Siegel a eu l’idée de créer We Demain suite aux changements dans notre société. L’idée est survenue lors de la crise de 2008 : en plus des actions de ceux qui s’engagent pour les autres, c’est toute notre société qui change : notre façon de penser, de consommer, nos rapports à l’énergie et à l’économie …
Désirant raconter cette révolution à laquelle on assiste, il a acquis au fur et à mesure de la matière pour réaliser un magazine complet : We Demain.
Le métier de la presse, selon François Siegel, se doit de raconter et de sentir les changements d’époque. Au départ, d’un site internet créé par leurs propres moyens, We Demain s’est muté en magazine.
François Siegel a réussi son pari. We Demain est parvenu à exister dans la communauté des gens qui sont et font le monde de demain : des ONG en passant par les entreprises et les grands salons internationaux. Avec très peu de moyens publicitaires, en existant sur les réseaux sociaux et grâce à son site, We Demain attire un public divers et varié.
Les contenus des magazines naissent d’un travail collaboratif de plusieurs journalistes qui proposent des articles répondant aux problématiques de We Demain.
En plus d’être un raconteur d’histoires et de changements, We Demain doit se positionner lui-même en tant qu’acteur du changement. C’est le sens du Manifeste, signé par différents acteurs du changement. Une belle idée collective qui interpelle les médias publics : une nouvelle économie arrive, soyez attentifs et prenez en conscience.
Malheureusement en France, nous sommes dans un pouvoir pyramidal et centralisé au niveau de l’État, des grands groupes gravitent autour de l’État, ne lâchent pas la pression (énergie, nucléaire …) et ont du mal à admettre la réalité. Contrairement à d’autres pays, comme l’Allemagne, avec les sociétés décentralisées où il y a plus d’argent en régions et qui permettent plus d’initiatives.
En France, nous vivons dans le passé, mais le monde change et évolue, les consciences aussi, il faut arrêter de s’accrocher sur ce qu’a fait le XXème siècle mais voir ce que l’on peut faire au XXIème siècle. Alors oui, notre pays est en crise mais le changement d’époque est bien là, il faut maintenant et rapidement le mettre en pratique.
Pourquoi avons-nous décidé de nous rapprocher de We Demain ?
C’est bien simple, notre galaxie est liée à l’intelligence collective et We Demain embarque cette thématique pour créer le futur de demain. Barcamp, Atelier Distill, Brainstorming, déplacement en Tunisie en plein Printemps Arabe pour comprendre l’usage de réseaux sociaux, l’Auberge – sas de décompression pour créatif, 50A est sur tous les fronts pour renforcer l’idée de partage et d’échanges entre les personnes qui participent au monde de demain. 50A, c’est de l’entreprenariat positif comme le souligne We Demain. La troisième révolution que nous vivons nous amène à revoir nos manières de travailler et de concevoir. Alors pour avancer, rien de mieux que le « bottom up » : que chacun s’unisse pour travailler ensemble et que l’initiative individuelle se répercute sur le collectif !
Basé sur des valeurs proches de l’économie positive, 50A et We Demain veulent donner un sens au monde de demain. Promouvoir une économie au service de l’homme, en prenant conscience des limites du système actuel dont notre individualisme. L’économie positive c’est une manière de faire du business avec des gens qui partagent les mêmes idées et les mêmes valeurs : « faire du business en s’amusant ». Il faut se décomplexer : je peux conduire un 4×4 mais ce 4×4 est hybride, je suis pour sauver la planète et faire du business mais agir avec des gens qui pensent comme moi. Mes croyances ne sont pas incompatibles avec le monde dans lequel je vis.
Mais pour faire émerger cette économie, nous avons besoin du digital, et plus particulièrement d’une neutralité du net. Pour François Siegel « 50A est un ovni ». Pour lui, l’agence peut être un vaisseau pilote pour guider un développement commun.
Comme le BarCamp, actuellement en prévision : « 50A peut être un avion de notre galaxie qui maîtrise ces nouveaux réflexes vis-à-vis du net basés sur une économie collaborative et où l’on trouve des solutions ensembles ». Il faut se réapproprier les données (cf. MyDataLabs). Mais comment ? Pourquoi pas les solutions proposées par IndieWeb. Surfer sur l’économie positive, c’est surfer sur la vie positive. Un autre monde est possible et est en marche.
Immersion urbaine, créative, digitale et naturelle.
Un périple de dix jours, où les temps forts se sont enchaînés : inauguration de l’Auberge, conférence du LIFT, Hackathon et SouthCoworking.
LIFT est devenu un rendez vous habituel pour 50A, déjà en 2010 nous avions relifté.
Comme nous pensons, vivons l’agilité et l’optimisation du temps et des plaisirs, cette année nous avons profité de l’événement pour inaugurer notre SAS de décompression marseillais : L’Auberge.
A / L’Auberge : immersion urbaine & créative
L’Auberge a plusieurs cordes à son arc, elle permet d’héberger simplement (location de 3 nuits minimums via le site AirBnB) mais aussi de mettre à l’épreuve des nouveaux modèles de gestion d’entreprise.
travailler différemment pour faire des affaires en s’amusant
Un croisement entre différents écosystèmes et un terrain de jeu urbain propice aux rencontres, à l’échange et à la créativité.
Pour son inauguration, l’Auberge a tenu toutes ses promesses, un endroit fédérateur de bonnes ondes et d’énergie, en plein coeur de Marseille.
Une spéciale dédicace à Albertine Meunier pour sa finesse et sa créativité, à ValX pour sa fougue créative, à Cyril et son concept de CVStreet, Eric et ses bons plans via love-spots sur Marseille.
Finalement l’Auberge se veut un lieu de création de contenu innovant et exotique.
B / LIFT : immersion créative et digitale
Lift est une conférence prospective « A l’intersection des innovations techniques, des mutations économiques et des transformations sociales, cette conférence pose les grandes questions numériques qui marqueront les temps à venir ».
Que nous réserve le futur ?
Pour cette 4ème édition du Lift, il s’agit de rappeler la technologie à ses prouesses, tout en imaginant celles qu’elle pourrait, devrait ou ne devrait surtout pas formuler pour répondre aux défis ou rêves de notre temps.
6 intervenants de qualité, visionnaires et innovateurs exposent un sujet.
« Les villes sensibles ou villes connectées » par Nigel Gift
En guise d’introduction, Nigel Thrift professeur d’université à Warwick nous parle de « réalisme spéculatif » et de « sentient cities* » (*villes sensibles).
Pour Nigel Thrift, le XXIème siècle est le siècle des données et de la cartographie,
Pour Nigel Thrift 5 tendances se dégagent :
– le marketing devient une activité axée sur la science
– les données deviennent autoréférentielles « self referential »
– les machines parlent aux machines (M2M ‘ machine to machine)
– profusion de sens : les objets deviennent esprits et inversement
– attribution de l’emplacement des données
Les « sentient cities »
Bienvenue dans la ville du futur !
Il présente ces « villes sensibles » comme étant une collection d’objets qui occupent l’espace urbain aux cotés de l’humanité.
Vous avez certainement déjà entendu parlé de « l’internet des objets » il s’agit d’objets communicants. Imaginez des villes connectées, où se mélangent données et services. Un vrai défi pour nos collectivités non ?
Dans ce débat il ne s’agit pas de rendre les bâtiments plus intelligents, ou de s’adapter mieux à nos routines quotidiennes’au contraire il s’agit plutôt de repenser certains concepts de base pour mieux apprécier la vie / l’expérience urbaine.
Désormais les applications « intelligentes » sentent ce qu’il se passe autour d’elles, et peuvent réagir.
La ville est devenue sensible !
D’un coté les feux de circulation intelligents et les caméras qui analysent les comportements suspects, de l’autre les dispositifs de localisation tels que les téléphones cellulaires.
La collecte des données recueillies par la ville sensible permet au public de s’engager sur des questions importantes de notre temps, comme par exemple la lutte contre la pollution, l’optimisation de nos ressources énergétiques, ou la régulation intelligente du trafic’
La biologie 2.0 : une révolution sociale et technologique
Thomas Langrain, Co-Fondateur de la Paillasse (1er laboratoire communautaire de biotech en France) nous parle de génomique personnelle.
Il nous explique qu’il est désormais possible de designer des systèmes vivants de biologie synthétiques.
DiyBio = biohack + innovation
Les chercheurs savent aujourd’hui écrire sur demande des programmes génétiques.
D’ici 2020, on arrivera à écrire « from scratch » le génome humain.
A l’image des hackerspaces, les geeks deviennent des biologeeks entre openlab & hackerspace.
Les geek feront de la biologie dans leur garage, ils ne feront plus du code.
Thomas Langrain fait un parallèle entre la biologie synthétique et les débuts de l’informatique où les composants sont peu chers. Les équipements sont désormais facile d’accès, on parle de DiyBio (le Do it Yourself dans le domaine de la biologie).
D’ailleurs il existe une organisation et un site officiel qui fédère cette communauté.
« Le vivant est une technologie en soit »
On peut visualiser l’ADN avec 10 ‘ ou imprimer des organes.
A l’image de Amplino qui est un appareil qui permet de détecter des éléments pathogènes dans le sang.
A l’heure où les biologistes amateurs ont rattrapé les scientifiques, il est important de ne pas laisser la biologie aux seules mains des industriels.
Heureusement il existe le DiyBio code of Ethics pour « cadrer » ces biologistes 2.0 en herbe http://diybio.org/codes/.
Nous verrons peut être un jour l’apparition d’un Genstore pour télécharger et synthétiser ses propres gènes.
Tiana Delhome ‘ responsable innovation & création au CEA
Après l’appropriation des technologies numériques, le cerveau : prochaine terra incognita, selon T.Delhome (CEA). Promesse ou réalité ?
Les objets ne seront pas seulement communicants, ils seront également émouvants
Focus synthétique sur son intervention :
– Le détournement des technologies renouvelle leurs promesses
– Les technologies avancent trop vite pour la chaîne économique et sociale
– Nous sommes tous auteurs créateurs innovateurs producteurs
– L’être humain n’est plus le seul acteur, le monde des objets prend une place centrale
– Il n’y aura pas seulement des interactions, mais aussi des interrelations
Le « Just Fuck around » par Douglas E Stanley
La méthodologie du « just fuck around » : une approche créative pour les nouveaux medias et le design.
Selon Douglas E Stanley « la technologie n’abaisse pas le statut de l’artiste » au contraire !
Pour visualiser ses travaux, voici son site officiel.
Géopolitiqueet Big Data
Stéphane Grumbach ‘ directeur de recherche à l’Inria
Pour parler BigData, Stéphane Grumbach pose le décor : la taille de l’univers digital est estimée à 2,7 zettabytes (10 puissance 21).
A quoi sert l’open data ?
à la publicité pour profiler les utilisateurs
à la science et aux institutions humanitaires pour mieux connaître les populations exemple Google Flu « service de Google qui cartographie l’évolution de la grippe en puisant dans les requêtes associées aux symptômes de la maladie que les utilisateurs font sur le moteur de recherche »
et surtout à la sécurité ! et oui les données servent d’abord à faire la guerre
La NSA américaine, l’agence de sécurité nationale a récemment annoncé investir dans un centre pour traiter des YottaBytes de données
Quels sont les défis ?
exploiter les données en échange d’un service (exemple facebook souvent peu connu en ce qui concerne l’exploitation’)
extraction de la connaissance
D’ici 2020, 1/3 des données seront stockées dans le cloud.
Après cette mise en bouche, Stéphane Grumbach nous explique le concept de l’asymétrie de l’information.
Quant on regarde la géopolitique des BigData, le top 5 est le suivant : USA, Chine, Russie, Israël, UK. Et l’Europe continentale ?
85% des données (personnal data inclues) sont détenues par les entreprises, majoritairement américaines.
En France Google représente 92% des recherches sur Internet et 65% aux Etats Unis.
Comme l’expliquait le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz (Wikipédia) : ‘L’asymétrie de l’information correspond à une asymétrie de pouvoir économique sur le marché’.
« Google en sait plus que l’insee »
Cette asymétrie de l’information soulève un problème majeur de sécurité économique puisque nous dépendons d’une puissance étrangère.
L’Europe est absente sur le sujet, nous devons faire preuve de « dataoptimisme, et croire aux pouvoirs publics’l’Europe doit s’impliquer dans la société de l’information et regarder vers le futur ».
Gudrun Pétursdottir, Présidente du « conseil constitutionnel » qui a conçu le processus ouvert et collaboratif de révision de la constitution islandaise après la crise de 2008, nous raconte le processus d’écriture collaborative d’une nouvelle constitution en Islande. Passionnant et riche d’enseignement !
3 ingrédients : technologie / confiance / organisation
Pour comprendre n’hésitez pas à relire cet article.
Art / Technologie / fictions
Honor Harger ‘ Artiste et curatrice nouveaux medias ‘ Directrice de la lighthouse à Brighton
Honor Harger nous parle de Media Art set qui est un éventail de pratiques qui tentent de comprendre les nouveaux outils. Comment les artistes explorent les nouvelles technologies pour repousser les limites de la création ?
Plutôt qu’un long discours de jolies images, je vous invite à vous rendre sur le site de la LightHouse qui est un régal pour les yeux.
Pour approfondir l’intervention de Honor Harger, vous pouvez vous rendre sur cet article.
Au programme le lendemain, les ateliers de coproduction dédiés aux « Questions Numériques », il s’agit de challenger et choisir LA promesse parmi les 21 proposées pour laquelle on serait prêt à se battre pour les prochaines années. Les travaux seront prochainement restitués sur le site du LIFT.
> Bonus : le HackDataPaca
Parce que nous avions encore soif de rencontres créatives et marseillaises, nous n’avons pas pu nous empêcher de rendre visite au HackDataPaca, deux jours pour fabriquer collectivement les nouveaux services numériques en PACA avec l’Open Data.
C / Le SOUTHCOWORKING : immersion digitale dans la nature
Depuis 3 ans (édition 2010, édition 2011) 50A immerge son équipe dans les collines du Var.
Plongée dans un cadre 100% naturel, 50% travail – 50% ateliers créatifs.
Cette année nous avons décidé d’utiliser nos jouets (smartphone, caméra GoPro, appareil photo, applications et autres gadgets pour geeks) et le terrain de jeu des collines pour organiser une chasse aux trésors réelle et digitale.
Ensuite nous avons tracé et délimité (notre druide s’est sacrifié) un parcours avec l’application RunKeeper. Une application qui mixe QuantifieldSelf & Géolocalisation.
Nous avons constitué 3 équipes chacune chargée de produire du contenu vidéo, photos et texte en navigant dans le périmètre durant 3 heures.
L’objectif est de co-créer du contenu en s’appropriant un environnement inhabituel. Chaque contenu a été gélocalisé et est récupéré sur une carte google map customisée.
Nos amis, clients et prospects pourront alors s’immerger dans notre terrain de jeu, nous publierons cette carte interactive cette semaine.
La boucle est bouclée, 10 jours d’immersion dans le sud nous ont permis de recharger nos batteries, de jouer avec l’environnement, de re-penser notre cohésion et surtout d’affiner la stratégie et l’ambition de 50A.
article rédigé par Thibaut, pimenté par Nicolas, et pushé par David.
C’est fait, le premier atelier Distill’ s’est tenu à la distillerie 50A ce mercredi 29 mai.
Proposée par 50A et 1001 idées, cette formation propose aux participants (chef d’entreprise, responsable communication, DRH) de jouer à innover.
De jouer, oui ! Avec des cartes, des fiches, des QR codes…
Aucun des ateliers ne sera identique car le jeu est évolutif et n’aura de cesse de s’agrémenter de nouvelles cartes, de nouveaux personnages, de nouvelles innovations…
??chauffement créatif
Arrivés à 9h, les participants ont fait un petit échauffement pour préparer le cerveau à innover.
Viennoiseries et jus d’orange étaient à disposition car c’est bien connu, l’innovation ça demande des forces (non, bon…).
Les cartes idées
9h30, début de l’atelier
Le maître du jeu fait tirer des idées parmi les cartes « Idées ».
L’un après l’autre, les participants notent de 0 à 5 les innovations tirées et s’exprime sur la note attribuée.
Recyclage créatif
Après 7 à 10 idées parcourues et notées, celle recueillant la meilleure note et celle recueillant la plus mauvaise sont conservées pour passer à l’étape suivante du jeu : La mise en situation.
Chaque participant tire une carte « rôle » : maire, enseignant, chef d’entreprise, routier, chien (!)…
Associés par équipe de 2, les participants ont 10 minutes pour proposer une application de l’innovation retenue et l’adapter, la transformer au bénéfice du rôle qu’ils ont endossé : C’est le recyclage créatif.
Après ce délais, chaque équipe présente l’idée qu’elle a confectionné. Les présentations achevées, chaque participant vote individuellement pour l’idée la plus originale/efficace/innovante.
Bientôt, une nouvelle session sera ouverte sur le thème « Du coté de chez soi ».
Consommation collaborative, nouveaux rapports de voisinage, partages… 10 innovations montreront comment des pionniers sont en train de créer de nouveaux emplois et révolutionner les produits et services de la vie quotidienne.
N’hésitez pas à nous contacter pour participer à notre deuxième édition des Ateliers Distill’ feat. 50A & 1001 idées ;)
– « Du côté de chez soi » (consommation collaborative, partages’)
– « Par ici les monnaies » (crowd-founding, monnaie, nouveaux modèles économiques’)
Depuis la prise de fonction du nouveau président des français, et l’engagement du premier ministre (open-data, déontologie, choix numérique … l‘article de Numerama), nous avions envie de vous expliquer simplement en quoi consiste le concept d’ « Open Gouvernance ».
(Les anglo-saxons parlent d’« Open Gov », et nos cousins canadiens parlent eux de Démocratie Ouverte).
Nous découperons notre article de la manière suivante :
– Un peu d’historique en 3 dates clés
– L’émergence d’une démarche
– Je partage, je participe, je coopère donc je suis !
– Quelques exemples concrets
3 dates clés
1966 : Vote d’une loi sur l’accès libre aux Etats Unis (Freedom of Information Act) pour répondre aux exigences de transparence demandée par le public dans le contexte de la guerre du Vietnam.
1999 : Dick Morris publie Vote.com. Cet ancien conseiller de Bill Clinton prédisait qu’Internet allait bouleverser la manière de pratiquer la politique.
2009 : « Open Governement Initiative », l’un des grands projets de l’administration du président Barack Obama. Cette « initiative » vise à créer un niveau sans précédent de transparence et d’ouverture du gouvernement. Cette initiative engage le gouvernement et ses agences à travailler avec les citoyens.
De la révolution sociale à la révolution politique
En 1968, nos parents partageaient un rêve d’Utopie de partage du pouvoir et de gouvernance. A l’époque les nouvelles technologies de communication n’existaient pas encore, aujourd’hui ont elles le potentiel de changer la donne ?
Pas besoin d’avoir fait l’ENA pour percevoir une perte de confiance assez flagrante des citoyens envers les politiques et les médias.
Comment rendre compréhensible des décisions prises par des entités complexes ? Comment rendre des comptes à nous autres citoyens, qui élisons ceux qui sont à la tête d’un parlement ou d’un gouvernement, censés être des outils du peuple ?
Nul ne peut ignorer ou dénigrer l’impact des nouvelles technologies au lendemain des Révolution arabes, ou celui du mouvement des indignés considérablement amplifié et renforcé par Internet.
Nous avions parlé à l’époque de Révolution Assistée par Ordinateur.
Avec les élections présidentielles, nous avons pu constater des prises de parole engagées, parfois militantes sur les réseaux sociaux.
Quand 80% des français se déplacent pour voter, on ne peut s’empêcher de penser qu’une nouvelle forme de politique est possible. En tous les cas et c’est indéniable le citoyen influence, et celui ci DOIT participer aux prises de décision du gouvernement et du parlement.
Nous assistons à une nouvelle façon de faire de la politique, mais aussi une nouvelle manière d’écouter les politiques et de vérifier ce qu’ils nous racontent avec le « fact-checking ».
« Cela suppose que les citoyens fassent usage de leur nouveau pouvoir, non pas uniquement pour exprimer leur indignation à l’égard de leurs élites, mais également pour participer à la construction de solutions nouvelles en collaboration avec ceux qui les portent. »
« POWER TO THE PEOPLE »
Comment impliquer les citoyens, et le replacer au c??ur du processus démocratique pour favoriser l’action collective ? Comment rendre plus accessible la politique ?
Comment lutter contre les privilèges ? La corruption ? Les dépenses publiques qui sont parfois indécentes et hallucinantes ?
« Je partage, je participe, je coopère, donc je suis ! »
« Cette « initiative » vise à créer un niveau sans précédent de transparence et d’ouverture du gouvernement. Elle se situe dans une tendance émergente qui est celle de l’Open source governance, qui prône l’application en politique et dans la gouvernance des démocraties de philosophies telles que l’open source et les « contenus ouverts » (Open data), pour permettre à tout citoyen intéressé de contribuer à créer les contenus de la Politique, et pour permettre aux gouvernements de mieux bénéficier des savoirs et des savoir-faire locaux »
Ce schéma permet de comprendre que la notion d’Open Gouvernance s’appuie sur 3 fondamentaux : Transparence, Coopération et Participation
A. Etre transparent, pour créer la confiance
open data + processus de gouvernance + dataViz
a) Open data
Il s’agit d’une démarche qui consiste à rendre les données numériques accessibles et utilisables par tous.
Au lieu d’un long discours, une vidéo qui explique l’Open data
« L’information doit circuler librement »
Open Government Data Definition: The 8 Principles of Open Government Data Opengovdata.org
Government data shall be considered open if the data are made public in a way that complies with the principles below:
1. Data Must Be Complete All public data are made available. Data are electronically stored information or recordings, including but not limited to documents, databases, transcripts, and audio/visual recordings. Public data are data that are not subject to valid privacy, security or privilege limitations, as governed by other statutes.
2. Data Must Be Primary Data are published as collected at the source, with the finest possible level of granularity, not in aggregate or modified forms.
3. Data Must Be Timely Data are made available as quickly as necessary to preserve the value of the data.
4. Data Must Be Accessible Data are available to the widest range of users for the widest range of purposes.
5. Data Must Be Machine processable Data are reasonably structured to allow automated processing of it.
6. Access Must Be Non-Discriminatory Data are available to anyone, with no requirement of registration.
7. Data Formats Must Be Non-Proprietary Data are available in a format over which no entity has exclusive control.
8. Data Must Be License-free Data are not subject to any copyright, patent, trademark or trade secret regulation. Reasonable privacy, security and privilege restrictions may be allowed as governed by other statutes. Finally, compliance must be reviewable. A contact person must be designated to respond to people trying to use the data. A contact person must be designated to respond to complaints about violations of the principles. An administrative or judicial court must have the jurisdiction to review whether the agency has applied these principles appropriately.
b) Processus de gouvernance
Etre clair et précis pour être compris ! Qui gouverne et comment ? Quelles sont les règles du jeu ?
c) DataViz
Nous assistons à l’émergence de plus en plus d’infographies. En effet quand des graphiques ou les camemberts sont peu sexys et ternes une mise en forme de données esthétique garantit une compréhension immédiate.
B. Participer pour agir
Il s’agit de (re)placer le citoyen au c??ur du processus démocratique.
Comment le sensibiliser ? Comment susciter son interêt ? Comment recueillir les critiques et les avis ?
Pour cela il doit être consulté régulièrement, via les nouvelles technologies, via des réunions publiques, des débats.
Il ne s’agit plus de réunions uni-directionnelles, mais bien plus d’échanges transversaux. Les élus ne viennent pas uniquement avec leurs réponses, mais sont là aussi pour écouter et construire avec leurs concitoyens.
Les citoyens accèdent aux données publiques, libres et ouvertes, ils peuvent contrôler et évaluer l’action des représentants, on les qualifie dorénavant de « portes paroles ». La démocratie représentative laisse place à une démocratie d’expression, comme les réclamations des mouvements des indignés ou Occupy Wall Street. L’éthique Hacker du jeu se transforme en élément clé de la vie collective. Le monde se « gamifie ». Les bons citoyens sont récompensés de leur effort’ (Ubsek & Rica numéro 02 ‘Printemps 2012)
C. Coopérer pour construire
Il n’est plus possible de fonctionner en s’appuyant sur le modèle pyramidal. D’attendre que tout parte d’en Haut, ce modèle de direction connaît ses dernières heures.
La transversalité est une valeure sure, tout en s’appuyant sur une méthode agile.
Il s’agit de véhiculer les informations de manière plus efficace. Chacun peut interagir quelque soit sa place. J’ai une idée, une envie, un besoin je peux l’exprimer sans peur de réaction hierarchique.
Les organisations mêmes si elles sont différentes dans leur structure : associations, collectivités, entreprises ont besoin les unes des autres. Aussi il est fondamental de créer des passerelles et des liens beaucoup plus fort entres elles.
Grâce aux nouvelles technologies, les citoyens peuvent se retrouver au c??ur des décisions locales et à la production des lois.
Quelques exemples
Une première démarche de démocratie ouverte et le GouvCamp
Pour le fonctionnement du mouvement, certains principes fondateurs ont même été posés :
Produire du savoir, de la connaissance et des contenus pédagogiques (en français) autour du principe de démocratie ouverte. Diffuser aux politiques, sur internet et dans les médias ces contenus, notamment à travers la plateforme democratieouverte.org
Appliquer au mouvement les principes d’ouverture, de transparence, de participation et de collaboration qu’il promeut. En particulier en documentant ses actions et en publiant les comptes du collectif, en toute transparence.
Collaborer entre acteurs francophones de la démocratie ouverte (OpenGov). Partager une réflexion commune, une entraide et une mutualisation d’actions et de moyens.
Viser et promouvoir un idéal démocratique tout en se plaçant dans une démarche d’action concrête, dans une logique constructive d’expérimentation et d’avancées itératives.
Rester ouvert à toutes les bonnes volontés et aux différentes énergies de la société tout en restant indépendant, non-partisan et non-coloré politiquement.
Concevoir, promouvoir et tester des dispositifs techniques en OpenSource et répondant à la logique du libre.
Une seconde démarche de OpenGovTN
OpenGovTN est un groupe de travail pour la transparence et l’OpenGov en Tunisie.
Leurs Objectifs :
– Favoriser l’inscription dans la constitution de la transparence totale comme règle de gouvernance ainsi que les lois relatives telle que le droit de l’accès à l’information
– Réforme de l’administration tunisienne par l’adoption de l’OpenData et l’OpenGov
Transparence, Participation et Collaboration sont 3 piliers fondamentaux chez 50A.
Quelque soit ses couleurs politiques (tant qu’elles restent démocratiques bien entendu), il nous semble évident de participer à l’ évangélisation de cette démarche.
Comment ??uvrer pour la rendre compréhensible et accessible à chaque citoyen ? Celui ci est au c??ur des décisions, et finalement responsable de la politique pratiquée. Dans tous les cas une chose est sûre il est le gardien et le constructeur d’une démocratie d’expression qui s’appuie sur le partage et l’échange. Pour cela les pouvoirs publics doivent proposer et mettre à disposition des espaces citoyens.
A l’heure où certains états amorcent cette démarche via notamment l’Open Governement PartnerShip (http://www.opengovpartnership.org/), les états francophones sont relativement discrets’ Toutefois, nous pouvons noter l’amorce de cette démarche dans la charte signée récemment par nos ministres.
Voilà pourquoi nous proposons de se retrouver en septembre autour d’un #gouvcamp, barcamp dédié à l’Open Gouvernance.
Cet événement rassemblera pouvoirs publics et citoyens afin d’échanger autour de cette démarche qui permet de renouer avec les valeurs fondamentales de la politique.
Le concept est simple : une rencontre entre 1001 idées et 50A et PAF ça fait les ateliers Distill’ !
50A, agence fondamentalement attachée à la pratique du co-working, compte aujourd’hui une dizaine de collaborateurs pour mener à bien le consulting. L’agence se lance une nouvelle fois dans un projet collaboratif sous forme d’ateliers ludiques.
Késako ?
Distill’ est un dispositif ludique basé sur des idées innovantes repérées au niveau mondial dans tous les domaines d’activité. Le principe du jeu est d’interroger une idée en se positionnant de différentes manières et de voir comment on peut s’en inspirer ou pratiquer le copier-coller intelligent.
Anne-Caroline Paucot est la fondatrice de 1001 idées(ainsi que de dico du futur ), véritable distillerie d’idées novatrices.
Abordant des sujets divers comme la communication, l’immobilier, l’alimentation, la finance, l’écologie ‘ Anne-Caroline explore l’innovation ainsi que l’attitude des individus en fonction des nouvelles technologies (stressique : stress provoqué par les nouvelles technologies ), et va ainsi faire part de ses avis sur différentes idées abordées au cours des ateliers.
Les ateliers Distill’ ont donc pour objectif de réunir des professionnels de la communication, des chefs d’entreprises, des acteurs du digital et de tergiverser de façon ludique sur des sujets qui bercent le monde d’aujourd’hui : la viralité, les réseaux sociaux (évidemment) mais aussi le crowd-founding ou encore les nouveaux modèles économiques…
Les évènements sont au nombre de trois et seront chacun constitués de la découverte de 10 innovations.
Ils auront lieu fin mai et courant juin, et vous pourrez découvrir le résultat de ce co-working en reportage après ces rendez-vous de brainstorming !
Si vous êtes intéressés et acteur actif de la communication (chef d’entreprise, responsable communication, DRH…) n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse contact@50a.fr pour recevoir une invitation !
Les évènements se dérouleront les :
– 30 mai : « Très net » (viralité, open-source, co-conception…)
– 13 juin : « Du côté de chez soi » (consommation collaborative, partages…)
– 27 juin : « Par ici les monnaies » (crowd-founding, monnaie, nouveaux modèles économiques…)
Personne n’a pu y échapper, nous vivons un exemple d’engagement citoyen historique : les révolutions arabes.
Au lieu d’en rester simple spectateur, 50A avait décidé d’être acteur et de se rendre directement sur place, en Tunisie, afin de mieux comprendre les enjeux autour du rôle des médias sociaux dans l’organisation des manifestations.
Nous vous avions fait le récit ici-même des aventures de 50Aen Tunisie et de ses nombreuses (et fructueuses) rencontres. Mais l’un des objectifs principaux était d’organiser un Barcamp suite à ce voyage d’étude.
C’est donc maintenant officiel : l’ EvolutionCamp se tiendra en simultané à Paris et Tunis le weekend du 18 juin.
« Evolution en mode (R)evolution »
50A est l’initiateur et co-organisateur de cet évènement participatif. En effet le principe même d’un Barcamp est que tout le monde doit amener sa pierre à l’édifice : « pas de spectateurs, tous participants ! ».
Les deux « équipes », une à Paris et une à Tunis, pourront partager, échanger et communiquer en direct grâce à tous les outils disponibles.
Au programme : deux jours d’échanges et de co-création sur les thèmes de l’Open Gouvernance, des nouveaux métiers digitaux, des nouveaux médias et des femmes entrepreneurs. Et toute autre proposition de thématique est bien sûr la bienvenue !
L’ EvolutionCamp continuera le 19 juin avec une Hacking Party (plus de détails à venir sur ce sujet). Les lieux parisiens et tunisiens seront dévoilés très prochainement.
Pour participer et retrouver toutes les informations concernant l’ EvolutionCamp, rendez vous sur : http://barcamp.org/Barcamp(r)
Coworking in progress
L’ EvolutionCamp est encore en phase de développement, et en tant qu’évènement participatif, n’hésitez pas à venir manifester votre intérêt ou apporter votre soutien : vous pouvez d’ores et déjà bloguer, twitter, liker, linker ! Nous sommes également en recherche active de SPONSORS pour Tunis et Paris, toute contribution sera donc plus qu’appréciée.
Lors de son passage en Tunisie, Thibaut, notre reporter sans frontières estampillé 50A, a eu le privilège de rencontrer Haythem El Mekki, également connu sous le pseudo ByLasko.
C’est ainsi qu’ils ont pu longuement discuter de la révolution tunisienne mais surtout de ses perspectives, à savoir la démocratie 2.0. Vous pouvez découvrir aujourd’hui les meilleurs moments de cet entretien en vidéo sur le Blog 50A.
Haythem est un journaliste indépendant qui officie sur le web bien sûr, mais également à la télévision et à la radio. Il présente une revue de presse satirique sur Mosaïque FM, il est chroniqueur sur Nessma TV et collabore également avec divers médias internationaux francophones, comme sur le blog ReadWriteWeb France.
Haythem s’est tout d’abord fait connaître grâce à son propre blog : ByLasko. Comme il l’explique lui même : « C’est surtout depuis la Révolution Tunisienne que ma carrière n’a plus rien à voir avec ce qu’elle était avant le 14 Janvier 2011″.
Il est également très présent sur les médias sociaux qui ont contribué à la révolution tunisienne, via sa page Facebook et son compte Twitter.
Retrouvez prochainement la version intégrale de cette interview 50A.
Un GRAND merci @bylasko! Et comme il le dit lui même : Peace, Power & Respect !
Lors de son voyage en Tunisie, la team 50A a pu étudier de plus prêt l’apport des médias sociaux dans les plans d’action de la révolution 2.0.
Mais un voyage est également synonyme d’ouverture culturelle, c’est pourquoi 50A tient à vous présenter l’Etoile du Nord, compagnie théâtrale tunisienne. Car même en pleine révolution, le peuple tunisien est toujours très tourné vers les arts et la culture.
Comme l’explique son site internet, le théâtre de l’??toile du Nord, situé en plein coeur de Tunis, est un lieu unique dans sa conception architecturale. C’est le seul théâtre en Tunisie qui dispose d’une salle de spectacles à rapport air de jeu / public variable (qui peut accueillir des pièces de théâtre, concerts, conférences, projections, danse, formation). Ce concept lui permet de répondre efficacement aux exigences de la création théâtrale contemporaine.
Au delà de simples représentations, L’Etoile de Nord à pour vocation de soutenir et pousser à la création artistique, c’est pourquoi la compagnie invite des troupes aussi bien tunisiennes qu’étrangères et a même permis à des dizaines de jeunes musiciens, écrivains, poètes tunisiens de s’exprimer devant un public tout en les aidant dans leur insertion dans la vie sociale et professionnelle.
Cet espace dédié à l’art et la culture propose également un foyer d’accueil pour le public ainsi qu’une bibliothèque très orientée sur les arts de la scène, l’architecture, la peinture et le cinéma et qui permet aux visiteurs d’effectuer des recherches sur Internet.
Et il est important de noter que le théâtre de l’??toile du Nord travaille désormais avec l’aide du ministère de la culture et de la sauvegarde du patrimoine.
Le théâtre proposera le mois prochain un spectacle intitulé 4.48 Psychose dont le pitch est le suivant :
4.48 Psychose est une pièce sur le suicide mais pas uniquement. Elle parle de dépression, elle parle du corps et de l’esprit qui ne peuvent être mariés. Elle parle de l’être aimé qui n’existe pas. Elle parle de théâtre et d’écriture. Sachant que l’auteur Sarah Kane s’est suicidée après avoir écrit la pièce et avant de la voir sur scène…
Une pièce qui semble lourde de sens et très conceptuelle.
En tout cas au fil de ses aventures, la 50A team a pu découvrir du partage, de la co-création, de la culture. Qu’on ne s’étonne pas que « 50A Love Tunisia » !
Cela fait maintenant plusieurs mois que le débat fait rage autour du rôle des médias sociaux dans les manifestations en Tunisie et Egypte, où on a pu voir des réseaux comme Facebook et Twitter jouer un grand rôle dans l’organisation des manifestations et dans la transmission des informations. On a entendu parler de Citizen Power, de Démocratie 2.0, d’Hacktivisme Citoyen…
Sur 10 millions de Tunisiens, 2 millions possèdent un compte Facebook.
Alors faut-il s’arrêter à ce simple constat ou en tirer des enseignements ? Vous me direz sans doute que la meilleure chose à faire serait de se rendre sur place et en parler directement avec les acteurs de cette révolution 2.0. Et bien c’est exactement ce qui va se passer :
50A part en Tunisie !
Que les choses soient claires, les membres de la 50A Team ne s’improvisent pas journalistes, le but n’est pas de revenir sur les événements qui ont déjà été traités dans les médias (cf. notre sélection d’articles).
Ce sont justement les citoyens qui sont devenus journalistes lors de ces événements. 50A part en Tunisie pour les rencontrer, échanger, apprendre, toujours dans une logique de Co-Working, de Co-Learning.
3 objectifs clairs :
– Trouver un lieu pour le Barcamp E-réputation #EreputationCamp3
– Trouver des partenariats pour monter une Community Management School
– Rendre réel l’expérience de (r)évolution
Au programme, des rencontres, des interviews, des vidéos. Chaque jour vous pourrez suivre les aventures tunisiennes de la 50A Team sur ce blog et sur notre page Facebook.
Petit avant goût : vous pourrez découvrir très prochainement l’interview de Sami Ben Hassine, co-fondateur du PaCTE Tunisien.
50A <3 Tunisia
Pour plus d’infos sur les événements Tunisiens, voici notre petite sélection d’articles :
Si Brooklyn et San Francisco sont un peu vides en ce moment ne cherchez pas ! Le South by Soutwest est LE Festival interactif qui se déroule à Austin du 11 au 20 mars. Il réunit la crème de la crème mondiale des univers musique, vidéo et nouveaux medias.
Comme l’explique très bien l’article sur le blog du Monde, « A l’origine, SxSW, né en 1987, était un festival de musique, occupant tout le centre-ville pendant cinq jours et cinq nuits. En 1994, les musiciens ont été rejoints par la tribu des gens d’images : cinéastes indépendants, vidéastes expérimentaux, scénaristes engagés. A l’aube du troisième millénaire, les prophètes de la cyberculture, les geeks et les patrons de start-ups Internet ont à leur tour commencé à envahir le festival.
Aujourd’hui, SxSW est devenu un lieu unique de rencontre et de fusion’.Il y a les débats sages (les usages éducatifs de la réalité augmentée), terrifiants (les armes du futur imaginées par les chercheurs de l’armée américaine) ou conceptuels (l’influence à la civilisation Maya sur l’Internet de la prochaine décennie) »
Le programme est d’une richesse incroyable, plus de 150 confs par jours’jugez par vous même
Pour vous plonger dans l’ambiance, une vidéo très sympathique en haut de la page.
L’année prochaine 50A sera là bas !
Pour plus d’informations, je vous invite à cliquer ici pour consulter l’article (en version originale) du blog Keylimetie.
Hacking party chez 50A pour recruter un développeur
50A, l’agence de communication digitale appelle les candidats au poste de développeur à venir participer à une Hacking Party, le samedi 19 février à Paris, sur le thème des Open Data et API.
Paris, le 19 février 2011 – 50A, agence de communication digitale et spécialiste de l’intelligence collective, organise une après-midi de recrutement à l’occasion d’une Hacking Party baptisée F*** ME, I’M AN OPEN API !. Les participants réfléchiront sur deux questions relatives à l’usage des réseaux sociaux : « Jusqu’où peut-on consolider les données utilisateurs entre plusieurs sites ? Pour extraire de l’information «intelligente» de son propre réseau social ? ». A l’issue de l’atelier, la meilleure copie se verra remettre une promesse d’embauche pour rejoindre l’équipe de la Galaxie 50A.
Dans le cadre du plan de développement initié fin 2010, l’agence entend une nouvelle fois accélérer sa croissance et affirmer son expertise en conseil et en création comme en technique. Pour son programme de recrutement, 50A a naturellement choisit un format original, participatif et ouvert à tous, à l’image de sa méthode de travail fondée sur le co-working et l’intelligence collective.
Découvrez notre revue du coworking spéciale Hacking Party.
Informations pratiques
Samedi 19 février à 14h chez 50A
32 rue de l’échiquier – 75010 Paris
Métro Bonne Nouvelle / Strasbourg St Denis
A propos de 50A
Fondée en 2005 l’agence a pour vocation l’accompagnement des entreprises dans la définition et la mise en oeuvre de nouvelles méthodes et bonnes pratiques de communication. Grâce à un fonctionnement basé sur le co-working (travail collaboratif), les équipes de 50A font cohabiter les différentes expertises métiers autour d’un même projet. L’agence compte aujourd’hui une dizaine de collaborateurs pour mener le consulting, les projets technologiques et créatifs comme par exemple la création de site, élaboration de planning stratégique, dispositif de community management, applications Facebook, applications iPhone et iPad. D’autre part, le pôle événementiel de 50A, organise des événements participatifs, tels que les ateliers de travail appelés « Barcamp ». Au coeur de la stratégie de Galaxie 50A, le pôle « Coworking Lab » (laboratoire R&D) permet à l’agence de partager ses locaux avec différentes start-up et sociétés de services. Cette approche offre ainsi à 50A comme à ses clients (Dom Perignon, Total, SlowFood, Silic, Union des Maisons Françaises’) le bénéfice de nouvelles expériences, des savoir-faire supplémentaires et un réseau accru.