Tous les postes de

Nicolas Bermond

TRANSITION NUMERIQUE

L’impact de l’intelligence artificielle sur notre société, entre révolution et disruption

L'impact de l'intelligence artificielle sur notre société, entre révolution et disruption

L’intelligence artificielle (IA) est devenue l’un des sujets les plus discutés et débattus de notre époque. Avec des avancées technologiques rapides, l’IA promet de transformer radicalement notre société. Fabrice Epelboin nous propose une analyse prospective de l’impact de l’intelligence artificielle sur divers aspects de notre vie, des entreprises à la politique, en passant par la culture et l’éducation. L’intelligence artificielle est en train de révolutionner notre monde à une vitesse vertigineuse. Ses implications touchent à la fois les entreprises, les nations, les citoyens, la sphère politique, et soulèvent des questions sur notre avenir. 

L’intelligence artificielle pour les entreprises : Révolution du travail et de la productivité

Aux États-Unis, on est déjà à 2,2% des annonces d’emplois qui ont un rapport avec l’intelligence artificielle.

Fabrice Epelboin

L’IA a déjà commencé à redéfinir le monde du travail. Les entreprises adoptent de plus en plus cette technologie pour améliorer leur productivité et leur efficacité. Comme le souligne notre expert, aux Etats Unis un peu plus de 2% des annonces d’emplois ont un rapport avec l’intelligence artificielle. En France, ce chiffre est de 0,84%. Cette tendance met en évidence un décalage dans l’adoption de l’intelligence artificielle entre les nations.

Le secteur privé investit massivement dans l’IA, tandis que l’investissement public diminue. Le budget de recherche et développement (R&D) des grandes entreprises technologiques dépasse largement celui des institutions publiques, créant ainsi un déséquilibre significatif. Cette transformation rapide du monde du travail soulève des questions essentielles quant à l’impact de l’intelligence artificielle sur l’emploi et les compétences requises. Fabrice epelboin

DÉCOUVRIR LA MASTERCLASS :

L’impact sur les nations : Inégalités économiques et souveraineté numérique

« Les nations, par nature, ont des gains de productivité différents à espérer de l’IA, en fonction de leur industrie et de leur tissu économique. »

Fabrice Epelboin

Les nations ont des économies diverses, et l’intelligence artificielle a donc un impact différent sur chacune d’entre elles. Les États-Unis sont en tête de ce mouvement, investissant massivement dans l’IA et menant la course technologique. La France se situe dans une position honorable, mais il y a encore beaucoup de chemin à parcourir.

L’Europe en général est à la traîne en matière d’investissement dans l’intelligence artificielle, ce qui soulève des préoccupations quant à la souveraineté numérique du continent. Fabrice Epelboin note l’importance du logiciel libre comme un atout stratégique pour l’Europe dans cette compétition internationale. Cette inégalité économique entre les nations laisse présager une redistribution massive des cartes dans les années à venir.

La confiance dans l’IA varie considérablement d’un pays à l’autre. Les Chinois et les Indiens ont plus confiance que les Occidentaux.

Fabrice Epelboin

L’impact sur les citoyens : Défis psychologiques et changement de perceptions

Les filtres d’images sur les réseaux sociaux ont des effets psychologiques néfastes, créant une dichotomie entre la réalité et la projection.

Fabrice Epelboin

L’intelligence artificielle a un impact profond sur la psychologie des individus, en particulier des jeunes générations. Les filtres d’images sur les réseaux sociaux créent une réalité altérée, où la projection de soi est façonnée par des normes inatteignables. Les conséquences psychologiques de cette distorsion entre la réalité et la projection de soi sont dévastatrices.

Les deepfakes et les images générées par l’IA remettent en question notre perception de la réalité.

Fabrice Epelboin

De plus, l’utilisation de deepfakes et de retouches d’images par l’intelligence artificielle complique davantage la perception de la réalité. La frontière entre le vrai et le faux devient de plus en plus floue, mettant en péril la confiance dans les informations visuelles. Les citoyens doivent apprendre à naviguer dans un monde où les images et les vidéos peuvent être manipulées de manière convaincante.

L’impact de l’intelligence artificielle au niveau politique

L’IA a des orientations politiques marquées, ce qui affecte les résultats qu’elle produit.

Fabrice Epelboin

L’intelligence artificielle a un impact sur le plan politique. L’utilisation d’IA étrangères expose les sociétés à une influence politique étrangère. Les différences politiques et idéologiques entre les intelligences artificielles peuvent être significatives. Par exemple, ChatGPT est conçu pour être « woke », reflétant ainsi des choix politiques et idéologiques spécifiques.

Fabrice souligne l’importance de comprendre que l’utilisation de l’intelligence artificielle n’est pas neutre du point de vue politique. Les choix technologiques que nous faisons peuvent avoir un impact profond sur notre système politique et nos valeurs.

DÉCOUVRIR LA MASTERCLASS :

L’impact de l’intelligence artificielle dans le futur : Trois scénarios possibles pour 2030

Scénario 1 : L’intelligence artificielle ne dépasse pas toutes les dimensions de l’intelligence humaine.

Le premier scénario, la révolution schumpétérienne, envisage une IA qui reste en dessous de l’intelligence humaine. Dans ce cas, il s’agirait d’une transformation similaire aux révolutions industrielles précédentes.

Scénario 2 : L’IA dépasse l’intelligence humaine, dans ses dimension intellectuelles et cognitives

Le deuxième scénario envisage une IA qui dépasse l’intelligence humaine dans ses dimensions intellectuelles et cognitives. Cela entraînerait une réorganisation complète de la société, mais sans garantie de maîtrise de la situation.

Scénario 3 : Nous atteignons la super intelligence artificielle (hypothèse de Sam Altman)

Le troisième scénario, le plus sombre, envisage une superintelligence artificielle dans 5 à 10 ans, une disruption anthropologique majeure. L’ensemble de la société serait marginalisé, remettant en question notre place sur Terre.

Conclusion : L’intelligence artificielle façonne un avenir incertain

En fin de compte, l’IA façonne notre monde de manière irréversible. Les entreprises, les nations, les citoyens et la politique sont tous touchés par cette révolution technologique. Les différences culturelles et économiques jouent un rôle majeur dans la manière dont l’IA affecte notre société. Face à un avenir incertain, il est essentiel de prendre des décisions éclairées pour façonner l’avenir de l’IA de manière éthique et responsable.

Pour en savoir plus sur l’Agence 50A et son expertise dans le domaine de l’intelligence artificielle : https://www.50a.fr

TRANSITION NUMERIQUE

Fabrice Epelboin : 20 ans de transformation numérique, de la bibliothèque virtuelle à la blockchain !

50A GALAXY, Le Podcast : Fabrice Epelboin : 20 ans de transformation numérique, de la bibliothèque virtuelle à la blockchain !

Face à des mutations sociétales et technologiques, être en mouvement est une nécessité de survie. Dans un podcast captivant avec Fabrice Epelboin, nous explorons les implications profondes de la transformation numérique qui façonne notre société. Cet entretien riche et sincère couvre une gamme de sujets : des algorithmes à la transformation des médias en passant par les cryptomonnaies et la culture digitale.

ÉCOUTER LE PODCAST :

L’ÉTAT DES LIEUX DU WEB DEPUIS CES 18 DERNIÈRES ANNÉES ?

“Deux grands bouleversements systémiques.”

Fabrice Epelboin

L’évolution d’Internet a connu deux bouleversements majeurs. Tout d’abord, le passage du Web 1 au Web2, qui a marqué la transition d’une “grande bibliothèque virtuelle” à un puissant moyen de communication entre individus, redéfinissant la nature même de notre société.

D’après Fabrice le Web3 est principalement impulsé par la blockchain et la crypto, avec l’intelligence artificielle générative en toile de fond. Cette nouvelle ère technologique pose des défis considérables, notamment pour l’éducation et les professions créatives, et nous rappelle la période tumultueuse du passage au Web 2, où de nombreux paradigmes ont été remis en question.

“Ce n’est pas tous les jours qu’on a ce niveau de disruption, mais on est dans cette phase qu’on a connue en 2004-2005 avec le Web 2 où tout d’un coup, beaucoup de choses sont remises en question.”

Fabrice Epelboin

Un constat qui démontre l’importance de savoir conduire la transformation numérique.

BLOCKCHAIN ET DÉMOCRATISATION DU WEB3

Vous dites que la blockchain est déjà bien installée, pas dans le grand public, si ?

Valérie Meret

“Si. On a quelque chose comme 10% des Américains qui sont déjà en train de faire plus ou moins du trading.”

Fabrice Epelboin

Malgré le fait qu’il trouve regrettable d’aborder la blockchain par le biais du trading, Fabrice estime que « ça permet de rentrer dans une technologie, puis ensuite de se poser des questions ». Il insiste sur l’importance de comprendre des concepts fondamentaux comme la décentralisation. Ces concepts sont essentiels pour mener au mieux sa transformation numérique.

«50A, C’EST AVANT TOUT UNE HISTOIRE HUMAINE»

Dans tout cela, 50A, ces dix dernières années, comment se fait le lien entre vous, vos pratiques et cette agence ?

C’est avant tout une histoire de potes. Ça, c’est plus qu’une histoire d’agence. On a eu de multiples occasions de travailler ensemble sur une multitude de choses, plus ou moins liées à la transformation numérique. On ne peut pas se cacher, c’est l’essentiel du business qui est en agence.”

LA RÉVOLUTION DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE GÉNÉRATIVE

“L’intelligence artificielle générative, symbolisée par des technologies telles que ChatGPT, est sur le point de provoquer des perturbations massives dans de nombreux secteurs.”

Fabrice Epelboin

Récemment, l’intelligence artificielle a engendré d’importants bouleversements, devenant ainsi l’illustration parfaite de la transformation numérique. Car elle met à l’épreuve l’aptitude des individus à s’adapter au monde digital.

« Le concept juridique de droit d’auteur, il est mort, c’est fini. »

Fabrice Epelboin

LOGICIEL LIBRE, UN FACTEUR PRIMORDIAL DANS LA TRANSFORMATION NUMÉRIQUE

“Quand vous allez sur un site web, vous avez 8 chances sur 10, par exemple, pour que vous soyez sur du logiciel libre”

Fabrice Epelboin

Fabrice Epelboin fait valoir que le web libre permet de créer un patrimoine commun, accessible à tous, à travers des logiciels et des technologies qui peuvent être copiés et partagés librement. De nombreuses technologies quotidiennes sont construites sur des logiciels libres, contribuant ainsi à une communauté mondiale de développeurs. Ce principe contribue à l’enrichissement du web et, par corrélation, il amplifie le phénomène de la transformation numérique.

“Le Mac que vous avez sous les yeux, il fonctionne sur un FreeBSD qui est un logiciel libre. Le cœur du système d’exploitation de ce Mac, c’est du logiciel libre. C’est un bien commun.“

Fabrice Epelboin

DEEP LEARNING, IA ET ALGORITHME !

Justement, où en est t-on sur les algorithmes ? Qu’est- ce que c’est la grosse tendance ? Qu’est-ce qu’il faut savoir ? Qu’est-ce qu’il faut vulgariser.

Valérie Meret

“En 2023 ? À mon avis, il faut vulgariser une chose essentielle, c’est qu’on a deux types d’algorithmes. Les algorithmes qu’on comprend, les algorithmes qu’on ne comprend pas.”

Fabrice Epelboin

”Le deep learning, ça observe une quantité d’informations inimaginable, impossible à appréhender pour un cerveau humain. Ça repère des itérations qui sont inimaginable et ça en « déduit » je mets des guillemets sur terme « déduire » des choses quand t’as une donnée précise.”

FABRICE EPELBOIN ÉVOQUE L’ACCULTURATION NUMÉRIQUE, ÉTROITEMENT LIÉE À LA TRANSFORMATION NUMÉRIQUE.

“D’un point de vue business, ce n’était pas leur enjeu, mais malgré tout, on a réussi à les acculturer au numérique”

Fabrice Epelboin

Comme Fabrice l’a exposé dans son discours, l’agence 50A s’investit pleinement dans l’accompagnement des personnes et notamment des entreprises qui ont des besoins de transformation numérique.

“Ça sert à rien si vous êtes dans une démarche qui est « Je veux 1,5% de productivité en plus. » Vous avez une myriade d’agences qui vous feront ça très bien et celles qui seront honnêtes, arriveront à faire 1,5% de productivité en plus. Mais vous ne toucherez pas du doigt la révolution numérique.

LA RECOMMANDATION DE FABRICE !

“Je vais recommander un pote, Thinkerview. C’est un format de média, là, pour le coup, qui ne sera jamais remplacé par du Chat GPT, qui transforme la façon de mener des interviews, essentiellement parce que la personne qui interviewe n’est pas filtrée, pose des questions qui peuvent être très gênantes et pousse dans les retranchements des gens qui ont le temps de développer des idées qui sont habituellement exposées en cinq minutes sur des plateaux télé. »

Pour en savoir plus sur l’agence 50A et son expertise dans la transformation numérique, visiter notre site web : https://www.50a.fr/transition-numerique

ÉCOUTER LE PODCAST :

Merci à Fabrice Epelboin pour son expertise et sa transparence dans ce podcast.

Article et Podcast made in 50A

EVENEMENTIEL

Les astuces social media de KONBINI, META et TIK TOK !

Le 14 octobre, nous avons participé aux Swello days 2022 à l’Opéra de Toulon. Un événement dédié au social media organisé par Swello. L’occasion de faire le plein d’astuces et de conseils pour augmenter notre productivité et créativité grâce aux nombreuses conférences de la journée. 

Photo de deux personnes sur un photo call lors de l'évènement.
Le moment photo et bouffe

9h30 – 10h30 : Konbini, Benoit Lebreau (Head of Social Media)

Un homme présentant trois étapes cruciales (stratégie social media Konbini) pour créer un contenu : présenter le context, dynamisme puis une fin impressionnante.
Keynote Konbini

La première conférence de la journée a été menée par Benoit Lebreau, head of social de Konbini, célèbre média précurseur de la vidéo de courte durée. C’était le sujet principal de sa conférence social media : les vidéos courtes, pourquoi et comment faire ? 

Les vidéos courtes ont un meilleur taux de complétion que les vidéos longues où seules les 30 premières secondes sont visionnées. Une vidéo de 1 minute c’est déjà 160 mots qui peuvent être dits. 

L’objectif est de captiver l’audience dès les 2 premières secondes. Alors pour un sujet qui nécessite plusieurs minutes, il vaut mieux faire plusieurs vidéos courtes autour du même thème.

Benoit Labreau nous a présenté l’exemple des vidéos sorties pour la campagne présidentielle social media. 10 candidats et chacun une thématique. Ils ont fait 10 vidéos longues avec chaque candidat + 30 vidéos courtes pour appâter l’auditeur. 

L’important c’est l’adaptation et l’authenticité. 

Adapter la durée de la vidéo selon la plateforme :

  • Format long Youtube
  • Format moyen IG et FB
  • Format court TikTok, Reels, Short (YouTube)

Adapter le format (et le texte) de la vidéo selon la plateforme :

  • Youtube : 16:9
  • Instagram : 9:16
  • TikTok : 9:16
  • Facebook : 16:9

S’adapter aux tendances des plateformes, elles changent souvent, il est donc primordial de se tenir informé. 

10h40 – 11h40 : Meta, Clémence Dubois

Photo sur scène d'une femme de chez meta présentant les 3 principes d'une stratégie éditorial / social media pour faire un bon REELS : Divertissement, authentique, digeste.

La journée a continué avec Clémence Dubois qui travaille en tant que Responsable des partenariats avec le gouvernement, la politique et les organisations à but non-lucratif pour Meta. 

Sa conférence était axée autour des nouvelles frontières de la créativité, développée notamment par les Reels d’Instagram.

Pourquoi est- il important de créer des Reels ? 

La réponse s’aligne avec la conférence autour des vidéos courtes de Konbini : 70% du contenu des réseaux  sociaux est consommé rapidement, alors autant se servir de cette fonctionnalité. 20% du temps passé sur Instagram est dédié au Reels. De plus, ils peuvent être recommandables.

De nombreux outils des Reels permettent de générer de la croissance et de pousser à l’intention d’achat: 

  • Des filtres immersifs pour se sentir plus proche de la marque
  • “L’utilisation” de créateurs de contenu comme porte parole (permet de toucher des utilisateurs qui ne sont pas dans notre audience de base et d’avoir la confiance des utilisateur)

Comment créer un Réels ? 

Les 3 mots-clefs de la création de Réels sont : 

  • Divertissant : il faut raconter une histoire
  • Authentique : rester proche de son audience est primordiale
  • Digeste : rester concentré sur 1 seul message par vidéos

Il est nécessaire de s’adapter aux codes de la plateforme, le but est de se fondre dans le décor pour créer un Reel qui fonctionne. Il faut donc utiliser les outils adéquats :

  • Des transitions dynamiques
  • Des stickers (réponses à des questions par exemple)
  • Un fond vert pour illustrer son histoire
  • Des audio originaux (pour suivre les trends)
  • Les filtres et effets

Clémence nous a partagé des pratiques à éviter dans la création de Reels : 

  • Vidéos visiblement recyclées d’autres plateformes (évitez les polices et watermarks tiers)
  • Musique qui ne provient pas de la bibliothèque
  • Audio que vous n’avez pas créé vous-même ou emprunté à d’autres Reels
  • Contenu horizontal

11h40 – 12h40 : Meeriad, Anthony Munoz

Un homme sur scène présentant des techniques psychologiques

La matinée s’est terminée avec une conférence de Anthony Munoz, co-fondateur de Meeriad, une application d’accompagnement pour la santé mentale en entreprise. Une conférence inspirante qui avait pour but de définir ce qu’est le bonheur.

Le bonheur est lié aux relations sociales, mais la perte d’intentionnalité mène au malheur. L’utilisation des réseaux sociaux doit se faire en pleine conscience, pour lutter contre le vortex du scroll infini ! 

Établir des limites et se déconnecter des pages clients le week-end et le soir pour garder le contrôle. La liberté (le fait de pouvoir aller vérifier la dernière notification) est l’ennemie de la satisfaction. Lorsque nous n’avons pas le choix, nous sommes satisfaits de ce qu’on possède. C’est le bonheur synthétique. La capacité humaine d’accepter ce qu’on a. Un état psychologique qui se rapproche de la recette du bonheur !

14h – 15h : TikTok, Mathieu Rampant

Le directeur de Tik Tok France présentant sa stratégie digitale
KEYNOTE DE TIK TOK

Après un bon repas sur le toit de l’Opéra de Toulon, et un interlude musical, c’est Mathieu Rampant, directeur des finances, apps et gaming de TikTok qui a repris la suite des conférences. 

Après être revenu sur ce qu’était TikTok, l’objectif de Mathieu était de nous dévoiler quel était l’intérêt pour une entreprise de se lancer sur cette plateforme. 

Tiktok donne une opportunité pour les marques de se présenter comme de vraies personnes, et d’être plus proche de son audience. 

De plus, en termes de publicité, elle fait partie intégrante de l’expérience utilisateur, il existe différents emplacements pour celle-ci : Top feed, Top view, Compte à revoir, Super likes, Voting stickers…

Le taux de complétion d’une vidéo est de 75 % contre 45 % pour les autres réseaux sociaux, une publicité a toutes ses chances d’être vue sur TikTok. 50% des utilisateurs ont acheté un produit via TikTok, et 1 utilisateur sur 2 a une opinion plus positive d’une marque après l’avoir vue sur TikTok. 

Le mot d’ordre à retenir pour se lancer sur TikTok, c’est “être authentique, brut et oser y aller”

15h – 16h20 : Table ronde autour de l’influence, Alexandre Calvez & Laura Hannoun

Alexandre Calvez et Laura Hannoun sont deux créateurs de contenus social media. Ils sont revenus sur leur métier et la vie qu’ils menaient maintenant qu’elle était “dictée” par le monde des réseaux sociaux et de l’influence. 

16h40 – 17h40 : Universal Pictures, Julien Noble

La journée s’est terminée avec le retour d’expérience de Julien Noble, Président International Marketing à Universal Pictures. De belles anecdotes motivantes qui ont su faire sourire tout l’Opéra. L’histoire d’un jeune toulonnais fan de cinéma qui devient Président d’un département marketing de l’une des plus grosses sociétés américaines de production à Los Angeles nous a fait rêver ! 

Nous en conclurons que la communication en ligne s’annonce toujours plus brève, crue et authentique avec le développement exponentiel de la vidéo face à la photo. Votre agence 50A est là pour vous accompagner dans cette transition numérique à venir. Stay tuned!

TRANSITION NUMERIQUE

Comment préparer la fin des cookies en 2024 ? Retour sur la journée organisée par petit web où 14 experts ont tenté d’y répondre.

Le 28 septembre dernier, 50A s’est rendu à la VIIème édition de  l’évènement Jardins Ouverts / Jardins Clos « Les nouvelles frontières”. 

Quatorze experts du WEB et des médias se sont succédés sur scène pour s’exprimer sur des sujets d’actualités et partager des bonnes pratiques. Un rendez-vous, particulièrement important, cette année étant donné qu’un séisme se prépare sur Internet courant 2024 : la fin des cookies sur Chrome… Véritable changement de paradigme, puisque ces fameux cookies permettent de savoir d’où viennent les acheteurs d’un site WEB ou de pousser du contenu sur Facebook à des visiteurs de votre site. Alors comment préparer cette révolution de la donnée ? Quelles seront nos nouvelles normes ? 

Ce que nous avons appris lors de cette journée, c’est que nous allons devoir plus que jamais diversifier nos sources de données et les uniformiser un maximum (actuellement 1 vue sur netflix est comptabilisée à partir de 2 secondes alors qu’en télévision cela ne compte même pas comme une vue). Les médias classiques sont d’ailleurs en pleine évolution et convergent de plus en plus avec les médias sociaux, on pensera à l’association de M6 avec snapchat qui propose désormais des communications cross-plateforme sur le discover snapchat, la VOD et la télévision.

Chaque intervenant a abordé l’importance des données et les changements de paradigmes dans leurs analyses. Le “prix au kilogramme” de digital dit CPM (coût pour mille impressions) a été remis en question plusieurs fois pour son aspect trop quantitatif. L’attention de nos utilisateurs constitue le vrai défi de nos marques aujourd’hui ! Anne Thétier, Dg Omnicom Media Group s’en amuse également en déclarant “le mot impression est bien choisi, car on a l’impression d’avoir vu quelque chose quand on regarde 2 secondes de vidéo sur Netflix ! 

TF1 appelle à utiliser le taux de complétion d’un contenu comme indicateur de qualité, thèse soutenue par Yaron Galai, Co-Founder Outbrain qui s’est esclaffé avec ironie  “Quand je vais sur un site, je me dis wow leur CPM est superbe je vais revenir”, d’après Yohan la meilleure donnée est le nombre de visites par utilisateur parce qu’un internaute achète à sa 2ème ou 3ème visite sur un site Internet. Nous avons demandé à Outbrain si le marketing automation pourrait être la solution, il nous a répondu que oui et que d’ailleurs sa société était en train de développer un outil dans ce domaine ! Pour rappel le marketing automation se fait avec l’accord de l’utilisateur, lorsque celui-ci effectue une action sur le site tel qu’un achat ou une inscription… (invitation à une vente privée suite à un achat, relance pour un article après ajout au panier, prévenir lorsqu’une promotion sur un produit qu’il aime est en ligne…)

De plus nous avons à faire à une génération toujours plus gourmande de contenu : court, accrocheur et imagé, Rami Saad, directeur des partenariats médias a divisé les internautes en trois générations “..as you think about this generation they don’t use the same assets”

60 – 80 ans : Génération téléphone – ils ne vous répondront jamais par un SMS de plus de 3 mots.

30 – 40 ans : Génération clavier – ils aiment échanger sur des chats (messenger, IG, SMS)

16 – 30 ans : Génération caméra, ils communiquent par l’image et partagent des emojis, des photos et de courtes vidéos d’eux-mêmes.

*This generation is really visible, how does this generation want to be told a story ? 

*Cette génération est clairement visuelle, comment cette génération veut-elle qu’on lui raconte une histoire ? 

Trois choses à retenir pour une marque ou un média pour réussir sur snap d’après Rami Saad : 

#1 Willing to learn (l’envie d’apprendre)

#2 Good content (du bon contenu) 

#3 Obsession with data and KPI (savoir bien analyser les données et définir les objectifs) 

Nous retiendrons donc de cette conférence plusieurs hypothèses pour préparer la fin des cookies : 

  1. Se recentrer sur des contenus qualitatifs plus proches des besoins utilisateur
  1. Mesurer la qualité des interactions sur un contenu plutôt que la quantité de personnes atteintes
  1. Penser des mécaniques telles que le marketing automation pour faire revenir une cible qualifiée sur le e-commerce (on achète à sa 2ème ou 3ème visite) 
  1. Penser des stratégies de marketing automatisées très proches des besoins réels du consommateur (faire revenir ses internautes un maximum)
  1. Proposer des publicités sur des plateformes offrant plus de données qualifiées (Publicité sur Netflix dès novembre 2022, données des boxs opérateurs, snapchat, tik tok…) 

Pour le mot de la fin, je citerai OUTBRAIN qui a déclaré que “dans les moments de chaos viennent les plus belles idées”, nous tâcherons d’en prendre bonne note et de rester à l’affût des innovations pour les prochaines années qui s’annoncent excitantes ! 

DIGITAL

Outil SEO : Pourquoi utiliser un outil de référencement ?

Il existe de nombreuses façons d’augmenter le trafic sur votre site Web, l’utilisation d’un outil SEO est l’une d’entre elles.

Si vous cherchez à optimiser votre page ou votre site Web et à améliorer le classement général des mots clés de votre thématique, vous devriez utiliser un outil de référencement fiable.
Étant donné que la majorité des recherches sont effectuées sur Google, le plus grand moteur de recherche au monde, il est préférable de concentrer vos efforts sur cette plateforme.

Un outil de référencement peut être utilisé pour de nombreuses choses : recherche de mots-clés, analyse de mots-clés, amélioration du classement du site Web, marketing des moteurs de recherche, et bien plus encore.
En outre, un outil SEO vous permet une analyse détaillée des données de placement de vos mots-clés sur la page de résultat d’un moteur de recherche ou SERP.
Une analyse approfondie expose les points forts et les faiblesses de votre stratégie SEO afin de l’améliorer.

Améliorez votre référencement avec un outil de recherche de mots-clés

Un outil de recherche de mots-clés vous permet d’effectuer des recherches sur les statistiques de ces derniers, ce qui est la base du référencement et la première étape vers l’optimisation d’une page ou d’un site Web utilisant des mots clés pertinents.

Certains outils fournissent de nombreuses informations utiles et précieuses, comme le volume de recherche, les tendances, le coût par clic et le niveau de concurrence. Ce n’est qu’en connaissant ces données essentielles que vous serez en mesure d’optimiser correctement votre page ou votre site Web pour améliorer son référencement.
La recherche de mots-clés peut souvent être fastidieuse et prendre du temps, c’est pourquoi disposer d’un bon outil SEO peut vous aider à prendre l’avantage sur vos concurrents.
L’un des outils gratuits de référence est Google Keyword Planner.

Trouver des mots-clés de longue traîne avec un outil de référencement

Obtiendrez-vous plus de trafic sur votre site Web si vous utilisez des mots-clés à fort volume de recherche ?
Si cela est bien fait, c’est fort probable. Mais qu’en est-il des mots-clés de longue traîne ?

Beaucoup de gens négligent souvent le pouvoir de l’utilisation des mots-clés de longue traîne. Ils ont généralement des volumes de recherche beaucoup plus faibles. En comparaison aux mots-clés plus courts, les mots-clés de longue traîne ont des taux de conversion bien meilleurs.

Lorsque vous incluez des mots-clés de longue traîne dans votre contenu, vous attirez des visiteurs qui ont déjà l’intention d’acheter un produit ou de s’inscrire à une newsletter. Les mots-clés longs sont plus spécifiques et reflètent donc précisément l’intention de recherche des utilisateurs. Ce type de mots-clés est très utilisé dans un objectif d’acquisition.

Comment un outil de mots-clés peut aider à améliorer le référencement et le marketing par moteur de recherche

Certains pourraient confondre l’optimisation des moteurs de recherche (SEO) et le marketing des moteurs de recherche (SEM). Le SEO est l’exercice d’optimisation d’une page ou d’un site Web pour attirer du trafic organique, tandis que SEM implique des campagnes de recherche payantes comme Google AdWords ou Bing Ads.

Lorsqu’une campagne Google Ads utilise des mots clés très recherchés et pertinents pour la marque ou l’entreprise, elle attire davantage de clics sur les annonces de recherche. Cela se traduira par un taux de clic plus élevé (CTR). Un CTR augmente le potentiel de conversions et réduit donc le coût par clic (CPC) ou le coût d’acquisition du client.

Dans le même temps, un bon outil de recherche de mots-clés sera en mesure d’indiquer le CPC des mots-clés générés. Grâce à ces données, les professionnels du SEM ou les gestionnaires de campagnes Google Ads seront en mesure de trouver des mots-clés plus rentables à utiliser pour leurs campagnes publicitaires de recherche.

Tracker l’évolution de vos sites sur vos mots clés concurrentielle

La recherche de mots clés à fort potentiel fait partie des premières étapes lors d’une stratégie SEO. Il est ensuite très important de suivre les données de positionnement de vos sites régulièrement afin d’optimiser votre stratégie de référencement naturel.

L’arrivée de nouveaux concurrents sur votre thématique et l’amélioration de l’algorithme de Google implique des changements quotidiens dans le positionnement de vos sites web.
De ce fait, il est nécessaire de suivre l’évolution et d’optimiser le référencement de vos mots clés concurrentiels dans le temps.
Chez 50A, nous utilisons Monitorank pour suivre les performances de nos sites et de ceux de nos partenaires.

Suivi des performances de votre site

Il ne suffit pas de taper votre mot-clé cible sur Google pour voir où votre contenu est classé pour obtenir des résultats précis. En effet, en 2005, Google a lancé la recherche personnalisée.

Cela signifie que lorsqu’une personne tape un terme de recherche dans Google, les résultats qu’elle obtient tiennent compte de sa géolocalisation, de ses interactions sociales, de ses recherches précédentes, etc…

En raison de la recherche personnalisée, la seule façon précise d’obtenir des données sur le classement des recherches est d’utiliser une plateforme de suivi du classement. Ces plateformes sont conçues pour suivre le classement des mots-clés indépendamment de facteurs subjectifs tels que la géolocalisation

Un outil de suivi du classement est essentiel pour accroître le trafic organique d’un site web. Savoir comment un site Web se classe et comment ses classements ont évolué au fil du temps aide à comprendre quelles stratégies peuvent être utilisées pour augmenter à la fois le référencement et le trafic organique.

Veille sur la concurrence

Vous vous en doutez, le succès d’une stratégie SEO se résume à se placer plus haut que ses concurrents sur la SERP.
Un outil SEO vous permet également le suivi des performances de vos principaux concurrents, afin de garder une veille constante sur la concurrence.

Comprendre ce qui fait le succès des campagnes marketing des concurrents est une étape importante dans le lancement de toute campagne de référencement. La plupart des outils de suivi du classement fournissent ces données grâce à l’utilisation d’outils d’exploration de sites. Les outils de suivi du classement aident également les propriétaires de sites à découvrir des opportunités inexploitées en analysant où les concurrents ne sont pas classés grâce à l’utilisation d’outils d’analyse des lacunes du contenu.

Diagnostiquer les baisses de trafic

Certains outils comme le célèbre Google Analytics permettent de diagnostiquer les pertes soudaines de trafic et les tendances à la baisse du trafic. Un logiciel de suivi du classement peut être utilisé pour trouver les pages qui causent une perte de trafic et, si le logiciel de suivi du classement fournit des données historiques suffisamment précises, il peut aider permettre de comprendre la cause de la baisse de trafic et à résoudre le problème.

Il existe de nombreux autres outils, notamment pour l’optimisation technique de votre site web, facteur très important en SEO.
Ces nombreux outils permettent de faciliter et de rendre une stratégie de référencement naturel performante mais ils ne remplacent pas des compétences solides et une étude minutieuse de ces statistiques.
Chez 50A, agence de communication digitale depuis 17 ans, nous utilisons une multitude d’outils afin de s’adapter aux enjeux et aux spécificités de chaque projet Web.

DIGITAL

Newsletter 50A Décembre 2021 : Finissons l’année en beauté

Bonjour à vous,

Il est temps d’accueillir le dernier mois de l’année. Celui qui clôture les objectifs que nous nous sommes fixés.. Et pourtant, « nous sommes au début du prochain chapitre pour Internet » comme le dit si bien Mark.

En attendant d’intégrer la Metaverse, nous lançons la 50A Academy. Deux jours pour vous donner toutes les clés pour concevoir et déployer votre stratégie inbound marketing, mais aussi vous aider à maîtriser les outils et techniques pour attirer, convertir et fidéliser vos clients.

Nicolas

Devenez expert en Inbound Marketing !

Découvrez avec cette formation, certifiée Qualiopi comment acquérir les fondamentaux d’une démarche marketing digital. À vos agendas, réservez votre prochaine session 8 & 15 mars ou 8 & 15 juin 2022.

Je m’inscris !

Tonic Event #1: Inbound Marketing

50A remercie les participants au TONIC EVENT #1 « MARKETING DONNANT DONNANT ».
Nous sommes heureux d’être allés à votre rencontre et espérons que l’événement était à la hauteur de vos attentes ! Pour les autres si vous n’avez pas pu assister à l’événement, accédez à la vidéo du live en replay.

Je streaaaaaam !

Qu’est-ce que le Future of work

La COVID-19 a accéléré le processus de transformation pour les entreprises. Quelles que soient leurs tailles, les entreprises ont dû s’adapter aux nouvelles restrictions et à une nouvelle manière de penser le travail.

Lire la définition

Ils nous ont choisis !

Nous accompagnons :

  • Neoma, Ecole de Commerce et Management, dans leur stratégie d’inbound marketing
  • CEGID, éditeur de solutions de gestion, dans la mise en place d’une enquête satisfaction client
  • Eknos, plateforme de livres numériques dédiée aux études supérieures, dans la mise en place de campagnes médias sponsorisées
  • AFD, Agence France Développement, dans la mise en place d’un quizz pour évaluer sa maturité entrepreneuriale.

Quoi de neuf sur la sphère #SocialMedia ?

Retour en image sur notre Tonic Event#1… Soyez prêts pour le #2 ;)

Pour vous inscrire à notre newsletter, c’est par ici inscription-newsletter

DIGITAL

Le Nudge Marketing est-il éthique ?

Qu’est-ce que le nudge marketing ?

Le nudge marketing, appelé aussi marketing incitatif ou marketing de suggestion, est l’art d’agir volontairement sur le comportement des consommateurs à travers les biais cognitifs.

Traduit de l’anglais, nudge signifie “coup de pouce”.

Le but de cette discipline est d’agir sur les différents éléments liés au processus décisionnel du consommateur afin de provoquer un changement de comportement à très faible coût, sans jamais chercher à contraindre.

Popularisé par Richard Thaler et Cass Sunstein dans leur ouvrage : “Nudge, la méthode douce pour inspirer la bonne décision”, le nudge marketing se démocratise en 2008 aux Etats Unis puis en 2010 en France

Notre définition du nudge marketing

Dans les transports, au travail ou alors au supermarché, la théorie du “coup de pouce” est expérimentée un peu partout. Voyons comment il est appliqué dans notre quotidien.

Incitation aux comportements ou manipulation douce ?

nudge manipulation

Peu importe votre positon, vous pouvez transformer les comportements de votre cible même si vous agissez de manière mineure dans leurs habitudes. Tout le concept repose sur une compréhension évidente des prises de décisions de vos consommateurs pour élaborer une stratégie efficace.

Pour modifier les habitudes d’une personne, il faut qu’il y trouve un bénéfice personnel. Il doit sentir un bien-être et alors bénéficier d’un avantage(s) réel(s) et mesurable(s). Pour cela, il existe différentes stratégies :
La première consiste à offrir une récompense immédiate plutôt que de la repousser une date postérieure. En jouant sur la gratification instantanée, le consommateur sera plus enclin à modifier son comportement. Le second levier est d’insister sur le fait qu’un produit ou un service soit déjà utilisé et apprécié par d’autres consommateurs. Enfin, le dernier levier consiste à changer le contexte dans lequel une information principale est présentée afin d’agir sur la perception.

Ce qu’il faut retenir, pour une stratégie efficace, est que l’absence d’obligation et la transparence sont la clé du succès. Votre cible doit être en mesure de refuser sans culpabilité.

Souvent utiliser au sein de projets citoyens, l’utilité du nugde marketing peut être remise en cause. En France, l’exemple le plus parlant s’illustre lors de la pandémie de COVID-19 avec les masques “grand public” pour nommer les masques en tissu. Un nom qui n’a pas été choisi au hasard alors que la France se trouvait en pleine pénurie des masques. L’idée était d’inciter l’utilisation de masques en tissus (moins efficace) avec un nom en référence à quelques choses potentiellement utilisable par tous.

Le nudge ne doit pas être trompeur. Il ne doit pas uniquement servir vos intérêts encore moins lorsqu’il s’agit d’intérêts commerciaux sans quoi le risque de se rapprocher du “dark nudge”, ou “sludge” est possible.

Le Dark nudge : vers une utilisation négative

Le nudge marketing semble être à la mode alors qu’il ne s’agit parfois qu’une simple modification dans le parcours client. Différentes perceptions du nudge marketing peuvent se confondre lorsqu’on évoque une stratégie de ce type. Certains parlent d’influence et d’autre parlent de manipulation. D’après Richard Thaler et Cass Sunstein, il existe une ambiguïté entre l’éthique et les bienfaits. Parfois, influencer les choix des individus provoque des comportements inattendus.

Les sludges

sludges marketing

Il y a ce qu’on appelle les “sludges”, ou “boue” en français, des processus qui contraindraient la cible à obtenir un avantage auquel il aurait droit.
Manipuler le comportement d’un client en ajoutant des barrières inutiles pour le décourage à effectuer des actions coûteuses pour l’entreprise…
Encourager les comportements égoïstes en facilitant le processus d’achat d’un article supplémentaire pour vous faire acheter sans réfléchir.

Plusieurs exemples de nudge tendent à penser que cette stratégie s’assimile à une manipulation psychologique lorsqu’elle s’exerce sur la base de fausses informations. Les détournements à des fins marketing l’illustrent bien.


Par exemple, un site marchand comme Amazon va mettre en avant de manière insistante le faible stock d’un produit à un visiteur pour le pousser à passer une commande plus rapidement : “Il ne reste plus que 4 exemplaire(s) en stock”. Une information qui n’est pas forcément réaliste étant donné qu’elle va s’appliquer à l’ensemble des produits sur le site. Un cas de détournement psychologique comportementale qui profite à l’économie de l’attention.

Un autre bon exemple de sludge est la résiliation à un abonnement. Les démarches sont souvent longues avec l’envoi de différents courriers à différentes adresses le tout sous lettre recommandé. Tout l’intérêt est de faire renoncer l’utilisateur, qui est totalement dans son droit.

Le bon nudge ?

Ethnique ou non la pratique du nudge marketing va dépendre de qui pratique l’influence et à quelle fin.
Le bon nudge ne s’applique pas uniquement dans le secteur public. Un nudge peut permettre de faciliter l’utilisation d’un nouveau produit ou le cheminement d’un client. Il peut aussi permettre d’aider un comportement transactionnel ou relationnel à se dérouler dans de meilleures conditions.

Chez 50A nous pouvons vous aider à mettre en place des nudges notamment sur votre site web afin d’améliorer le parcours utilisateur grâce à nos dispositifs digitaux : conception UX, webdesign, personae, storyboard UX… L’objectif, imaginer une expérience utilisateurs orientée autour des besoins de vos clients pour transformer durablement leurs comportements.

DIGITAL

Agence de communication versus Agence digitale

agence de communication

Les agences de communication travaillent sur l’image de l’entreprise, plus souvent sur la communication off line. les agences digitales sont les chefs d’orchestre de la transformation numérique des entreprises. Elles ont orienté leurs expertises sur le web par la mise en place d’une stratégie bien huilée. Malgré tout, la communication traditionnelle permet toujours de toucher un large public. Voyons ensemble ce que fait une agence digitale versus une agence de communication.

Qu’est ce qu’une agence digitale ?

Les agences digitales comme leur nom l’indique sont des agences qui proposent des prestations spécifiques à Internet bien au-delà des services proposés par les agences de communication. Les agences digitales se sont adaptées aux techniques du marketing moderne et aux nouvelles technologies. Elles associent la conception graphique, la rédaction publicitaire aux nouvelles technologies et aux techniques modernes de marketing. Le résultat est un mélange très créatif d’art, de science, d’ingénierie et de détermination à résoudre les problèmes et à trouver des solutions dans un paysage qui évolue très rapidement.

Quels sont les prestations offertes par les agences digitales ?

Sollicitées en premier lieu pour l’élaboration de sites internet, les agences web se sont maintenant diversifiées dans la continuité des spécificités d’Internet. SEO, publicité en ligne, réseaux sociaux, expérience utilisateur… Les agences digitales vous accompagnent sur tous les plans de votre stratégie web.
Les agences digitales ont fait naître de nombreux nouveaux métiers comme le community manager, web designer ou encore traffic manager. Les agences digitales s’inspirent du marketing traditionnel pour appliquer les bonnes pratiques sur le web. 

Les agences numériques apportent une gamme de solutions multidisciplinaires à chaque problème et fournissent des solutions pour l’ensemble de l’expérience client, y compris les ventes et le marketing, les achats en ligne, les services d’abonnement, la facturation et la livraison. Ils embrassent la réflexion stratégique, l’innovation technique et le développement de la narration et de la marque pour atteindre les objectifs du client.

Agence de communication traditionnelle vs agence de communication digitale ?

Depuis plusieurs années, les agences de communication traditionnelle ont été relayée au second plan en raison du web. Or, les outils de communication sont aussi bénéfiques pour les entreprises puisqu’elles continuent d’être efficace pour atteindre un large public. La télévision, le cinéma ou encore l’affichage font encore leur preuve aujourd’hui. La communication traditionnelle utilise des outils qui ne passent pas du tout par le digital. Ils possèdent chacun leur propre spécificité.
Il est indéniable qu’une entreprise ne peut pas se contenter de la communication traditionnelle pour développer sa notoriété, mais peut-elle tout miser sur le digital ?

Les agences digitales peuvent être amenées à combiner les deux pour développer votre stratégie. Par exemple, une agence web peut créer un logo et une identité visuelle pour une marque. Elle peut aussi créer du contenu déclinable sous les différents supports « mass media ».

Mais logiquement, la communication traditionnelle ne fait pas partie de ses missions principales. Si une agence web décide de vendre des prestations non-digitales qui se rapprochent de communication off line, elle devra intégrer les compétences en brand building et connaitre les contraintes et savoirs faire du print, des stands ou de l’évènementiel. 

Chez 50A nous proposons des prestations de communication traditionnelle (offline) par exemple des stands / catalogue / carte de visite / évènementiel… Le plus de notre agence digitale, nous sommes formés à l’expérience utilisateur, à la réflexion user centric (l’utilisateur au centre de la réflexion) et nous maitrisons les méthodes intelligence collective (co-design, design thinking etc).

DIGITAL

Newsletter 50A Août 2021 (certification Qualiopi)

digital everywhere
Bonjour à vous,

Après des mois de bouleversement galactique,  les étoiles s’alignent à nouveau pour réinventer une énième fois la Galaxy 50A.

On appelle ce processus la «galactogenèse » les galaxies changent avec le temps, fusionnent et améliorent leurs structures.

Chez nous Paris fusionne avec Marseille pour définir les nouveaux contours de la nébuleuse 50A.

Ce n’est pas une digression cosmosophique, c’est un réel avantage pour tout notre écosystème. Un camp de base parisien consolidé et un vaisseau phocéen qui nous bascule enfin dans l’univers hybride que nous souhaitons vivre et partager depuis tant de temps.

Dernière grande nouvelle beaucoup plus concrète pour la plupart d’entre vous, nous venons de recevoir la certification QUALIOPI.
Désormais vous pourrez être formés ou intégrer l’academy 50A pour devenir des experts de l’inbound marketing, du SEO, de la gestion de projet, du design thinking, du CX (Customer expérience)… Retrouvez le site de l’academy.

Nicolas

Le camp de base consolidé Parisien 

Les nouveaux, notre boss de la technique et de la Data, Nicolas qui a l’outrecuidance d’avoir le même prénom que le boss est quand même un as de la technologie, il jongle avec le code comme un plombier ou un électricien qui doit connecter l’ensemble du réseau… sans fuite, sans court-circuit et avec toute la documentation nécessaire. Un métier à risque qui demande beaucoup de sang froid !

Notre vaillant chef de projet et social media manager Baptiste, il n’a peur de rien et fait rouler une dizaine de projets. Sa devise « pour la patrie, l’honneur et le droit » tous  mes projets seront livrés dans les temps avec un PV… de livraison.

Enfin pour consolider notre équipe de développeurs nous avons choisi Elodie pour sa polyvalence, son franc-parler et sa capacité à intégrer la nouveauté. Bienvenue Elodie chez les Ok boomer digitale du web.
 
L’agence 50A Marseille 

Niché dans la City marseillaise du vieux port, 50A Marseille développe un pôle de production digitale et travaille sur un réseau social local accès sur la protection de la vie privée. 

Les nouveaux membre de la Team PACA sont Mame, notre chef de projet 360, experte du « fais le toi même car si tu dois dois attendre le créa tu l’auras quand le client n’en voudra plus » et Paulnotre ingénieur data Analyst qui fouille les données de son école pour trouver la faille et demander une ristourne. Paul s’occupe de la fouille data pour affiner nos stratégies digitales et d’entreprise. 
 
Heureusement on a aussi des nouveaux clients 

Nous accompagnons le groupe EXEL Industries – le leader industriel dans l’agriculture, Ecofi – la société de gestion du Groupe Crédit Coopératif et T2M – la coalition pour la transition écologie et énergétique du maritime dans la refonte de leur site internet en utilisant les dernières technologies open source (WordPress, Drupal, Laravel). 

UNSS et Bureau Vallée ont quant à eux choisi l’agence pour animer leur stratégie socialmedia.
 
Rejoignez 50A Academy et devenez Inbound master

Devenez en 2 jours expert en Inbound Marketing. Maîtrisez toutes les clés pour concevoir et déployer votre stratégie inbound marketing. 
Cette formation certifiée Qualiopi vous permettra d’acquérir les outils et techniques pour attirer, convertir et fidéliser vos clients.

Inscrivez vous à notre prochaine session de formation
 
 
Vous savez que nous avons un programme d’apport d’affaires

Non !!! C’est normal on en parle pas beaucoup mais oui nous donnons des mallettes de billets aux personnes qui nous apportent des leads. Sans rigoler un lead sera toujours bienvenu et rémunéré si nous le transformons.

Pour plus d’information, contactez le service cadeau d’affaires PME Multimedia.

Contactez-Nous
 
L’expertise de notre team 

Chez 50A nous préférons utiliser le terme de transformation numérique plutôt que celui de transformation digitale.

Pour comprendre il est essentiel de bien appréhender les mutations sociétales et technologiques quelque soit le secteur concerné. Certains évoquent l’«uberisation » ou la plateformisation. Nous partons du besoin de l’utilisateur pour mieux en cerner les usages et donc mieux y répondre. 

Lire la suite
 
Le mot clé du mois : astroturfing

L’astroturfing désigne la mise en place de campagnes de manipulation de l’opinion censées faire croire à l’émergence d’un mouvement populaire spontané. En réalité, ce mouvement d’opinion est piloté de manière artificielle en vue de donner encore plus d’importance à un sujet. 
Lire la suite 

Lire la suite

Pour vous inscrire à notre newsletter, c’est par ici inscription-newsletter

DIGITAL

La team 50A s’est formée au Design Sprint

Dans l’univers du digital, il est très probable que le mot design sprint vous évoque quelque chose. Utilisé pour accélérer la résolution des problèmes et de créativité dans l’entreprise, le design sprint a pour objectif de répondre aux besoins de la cible rapidement à des coûts raisonnables. 

C’est une idée totalement novatrice qui permet d’imposer aux équipes une contrainte temporelle. Cette contrainte temporaire permet de limiter les incertitudes que peuvent rencontrer les équipes participantes. De cette manière, pas de place au doute ou à la trop grande réflexion. Il faut être immédiatement dans l’action et le prototypage. 

Comme pour toutes méthodes, il est nécessaire de se former pour être performant et appliquer cette méthode lors d’ateliers avec des clients. Avec plus de 16 ans d’expérience passées à accompagner leurs clients dans le domaine du numérique, que retiennent Nicolas, Thibaut et Jérôme associés de l’agence 50A de leur formation au design sprint et de leur animation d’atelier ? 

Pourquoi proposer le design sprint à nos clients ?

On a connu la méthode agile, on a pratiqué le design thinking et finalement on nous a dit que c’est du DESIGN SPRINT Merci GOOGLE ;)

Nicolas Bermond digital druide chez 50A

Une formation qui donne les bases

Thibaut, Directeur des opérations chez 50A a eu l’opportunité de suivre une formation au Design Sprint avec des experts certifiés Google. Cette formation lui a permis d’approfondir et d’enrichir ses connaissances grâce à des travaux collectifs sur des cas concrets et réels. 

“Le design sprint diminue la complexité, et permet de créer de la valeur rapidement.”

Le design sprint s’articule autour de cinq grandes étapes clés. Chacune de ces étapes est constituée de modules qui permettent d’alterner entre sessions de travail collectif et individuel.

Le jour 1 est consacré à la formalisation du challenge ainsi qu’à la compréhension de la problématique. Le jour 2 consiste quant à lui à diverger et décider. “Le matin nous attaquons par un benchmark, puis une phase que j’adore le crazy 8’S, il s’agit de trouver et d’expliquer ou dessiner 8 idées en 8 minutes. Ensuite chacun doit formuler une « Big idea » comme on dit en 5 minutes. On attaque ensuite la phase de Design Studio qui permet de formaliser les user flow. Cela permet de comprendre et d’anticiper les comportements des utilisateurs  afin de créer des expériences en accord avec leurs comportements.” Vient ensuite le jour 3 où l’objectif est de prototyper en esquissant les wireframes puis en produisant le prototype statique et l’animer par la suite. Le jour 4 est le jour du test : “Tout d’abord on rédige le protocole de tests, ce qui permet d’ajuster le prototype pour qu’il soit testé”. Enfin le dernier jour, l’objectif est de prioriser : “Dans un premier temps on raconte en cartographiant toutes les étapes qui nous ont permis d’aboutir un prototype. On prépare son pitch et on le restitue au client”. 

Le design sprint est une méthode qui nécessite énormément d’organisation au sein des membres de l’équipe. “Le design sprint est une méthodologie assez décoiffante. Les ingrédients clés sont : intelligence collective et créativité. Le Design Sprint permet de tester sans développer en s’appuyant sur le prototypage pour désigner un produit ou un service rapidement.” Le design sprint est le graal de la customer experience CX.

Grâce à une semaine intense, voici les ingrédients que Thibaut à juger essentiels pour un design sprint efficace : 

“- Les icebreakers qui facilitent chaque matin la cohésion de groupe et permettent une certaine harmonie

– Les facilitateurs qui permettent de produire et de formaliser des idées

– Une acculturation matinale dispensée par un expert chaque jour permet d’ouvrir les chakras

– Un gardien du temps facilitant l’émulsion et donc un rendu. 

– Des règles (voir ci-dessous) puisque pas de liberté sans cadre !” 

En conclusion le design sprint est une méthode qui permet de résoudre un problème de créativité et de répondre aux questions les plus critiques de l’entreprise de manière efficace. Je ne peux que recommander cette méthode à toutes les entreprises ou organisations qui souhaitent innover, créer, mener des projets de design de produits ou de services. D’ailleurs nous nous inspirons de cette méthode pour animer tous nos ateliers avec nos clients.”

ARCHITECTURE SOCIALE

We love Microsoft

Le monde change et nous devons à un moment choisir le camp des gagnants. On a décidé de retourner notre veste, on a longtemps fait la promotion de l’open source qui représente un modèle pérenne de gestion des communs, une philosophie du partage de la connaissance… On a aussi voulu défendre la souveraineté numérique, se battre contre les GAFAM qui violent notre intimité… On a cru au relent du souverainisme et de la réindustrialisation de notre cher pays.

L’état français va faire du cloud souverain Microsoft pour l’ensemble des services. Pour les hôpitaux le Health Data Hub fait appel à une société étrangère, tiens, encore Microsoft pour héberger des données médicales (les données les plus sensibles) !

Ce qui est encore mieux c’est le cloud act, suite du patriot act qui donne un peu les pleins pouvoirs à nos amis les yankees permettant aux forces de l’ordre ou aux agences de renseignement américaines d’obtenir des opérateurs télécoms et des fournisseurs de services de Cloud computing des informations stockées sur leurs serveurs… Que ces données soient situées aux États-Unis ou à l’étranger.

Comme finalement ça n’aboutit pas et que tout le monde s’en fout, on a décidé de changer notre mindset. Nous n’utiliserons plus que des services GAFAM et nous réfléchissons à transférer le siège de l’entreprise dans un paradis fiscal. Car là encore, ils ont raison pourquoi payer plus d’impôts…

Just a boutade to introduce notre nouvelle définition sur la souveraineté numérique car même si le « game » est quasiment perdu. Il faudra encore quelques irréductibles gaulois pour essayer de défendre la cause.

S’informer :

Définition et enjeux de la souveraineté numérique
Ils règnent sur l’espace numérique, décident de supprimer des contenus, de vendre les données personnelles… Depuis les années 2000, le pouvoir des GAFAM concurrence celui des États et affecte la liberté d’autodétermination des individus, faisant émerger la notion de souveraineté numérique.

Le Cloud Act, un texte sécuritaire américain qui inquiète
Le Cloud Act, la nouvelle loi sécuritaire des Etats-Unis, a de quoi inquiéter les autorités, les entreprises et les citoyens de l’Union européenne. En quoi consiste ce texte et pourquoi est-il à craindre ?

Bleu : renouveau ou mirage du cloud souverain 2.0
L’annonce surprise conjointe de Capgemini et Orange de créer la co-entreprise Bleu pour servir de tête de point aux services cloud de Microsoft répondant aux enjeux de souveraineté des données pose question. Les ambitions sont pourtant réelles.

Health Data Hub : 6 questions sur la plateforme de données de santé et sa polémique
Le Health Data Hub est une nouvelle plateforme française destinée à croiser les bases de données de santé existantes, à des fins de recherches médicales. Lancé l’an dernier, le projet monte en puissance, mais la manière dont il a été pensé fait polémique.

Souveraineté numérique : parier sur le « made in France »
Face au Cloud Act américain, les entreprises françaises ont une carte à jouer en proposant un modèle de gouvernance des données vertueux, estime Yves Garagnon, PDG de DiliTrust.

DIGITAL LES CONTRIBUTIONS

Chiffres clés et tendances digitales en 2021

2020 est une année qui a changé le cours de notre histoire et accéléré la transformation numérique de tous les secteurs d’activité. Les organisations, les entreprises et les marques ont dû réapprendre et revoir leur façon de communiquer dans un mode de travail devenu très virtuel, parfois trop ! Le marketing digital est une industrie en constante évolution qui ne cesse de réinventer pour surprendre ses utilisateurs. Dans cet article, nous avons consolidé un certain nombre de sources pour vous présenter les tendances digitales de cette année 2021.

Les chiffres clés du digital en 2021  

We are social & Hootsuite ont concocté un état des lieux des usages du numérique dans le monde. On retiendra qu’en 2020 c’est un demi-milliard de nouveaux utilisateurs sur les réseaux sociaux et des billions de dollars dépensés dans l’e-commerce, aux dépens des commerces de proximité.

Changement des comportements, évolution démographique des audiences en ligne, ou encore l’importante croissance de l’e-commerce et du mobile, sont des thèmes que vous retrouverez dans le Digital Report 2021.

Quelles sont les tendances en 2021 ?

Les étudiants de l’ECV Digital de Aix-en-Provence de Bachelor 1, accompagnés par Thibaut Brousse, directeur général de l’agence 50A ont analysés les tendances 2021. Voici leur état des lieux

Elles s’articulent autour de 5 grandes tendances :

  • Les tendances Graphiques
  • Les tendances Webdesign
  • Les tendances Marketing
  • Les tendances Socialmedia
  • Les tendances Technologiques
  • Les tendances graphiques : 

    Pour cette nouvelle année, le graphisme sera porteur de valeurs humaines, de sincérité, une grande pincée de créativité  et d’originalité. 
  • Les tendances web design : 

    En 2021, les tendances webdesign ont pour but d’injecter un peu de vie, de mouvement et d’humain dans ce monde devenu totalement virtuel parfois presque déshumanisé ! 
  • Les tendances en marketing : 

    Cette année, les tendances s’articulent autour de deux concepts : humanisation des campagnes marketing en abordant des problèmes réels et une optimisation beaucoup plus technique et mécanique. Les experts marketing devront faire face à des comportements qui manquent de « prévisibilité ». Car comme l’indique le rapport Tendances digital 2021 d’Adobe, c’est plus de 50% des personnes interrogées qui indique de nouveaux parcours de recherche et d’achat.
  • Les tendances Social Media : 

    La crise sanitaire à laquelle nous faisons face a accru l’importance des réseaux sociaux et a redistribué les cartes en matière de marketing digital. Il est vrai que durant le confinement, les consommateurs ont cherché à créer des connexions et liens virtuels. De ce phénomène, on a vu l’émergence de certaines plateformes comme Tik Tok, Twitch ou même Zoom. Les marques, les entreprises et les organisations ont compris qu’elles devaient désormais encourager les consommateurs à s’approprier leurs produits de par des challenges TikTok ou des lives Twitch où elles propulsent des événements virtuels. En 2021, l’objectif est de créer un engagement fort en créant une véritable connexion avec les utilisateurs.
  • Les tendances technologiques :

    La technologie se réinvente à un rythme si rapide qu’il faut garder la cadence pour suivre toutes les nouveautés. On notera que la Covid-19 a fortement impacté et influencé la technologie : masque technologique, équipement pour le télétravail, accélération de l’arrivée de la 5G. De plus, l’IA, technologie très populaire ne cessera de s’accroitre en 2021. Enfin, la VR et l’AR sont et resteront très plébiscitées cette année.

Le rapport Tendances digital 2021 d’Adobe conclut que les entreprises qui ont su s’adapter le plus rapidement au télétravail sont celles qui en tirent les meilleurs bénéfices en 2021.

En conclusion

Dès à présent l’approche et l’usage des technologies se doivent d’intégrer des paramètres tels que la sobriété numérique, la sécurité et l’éthique. Chez 50A nous pensons qu’il est fondamental de continuer à interagir avec des vrais humains avant l’arrivée massive des « metahumans/digital humans ». La réalité a en effet de plus en plus tendance à rattraper la fiction mais on vous parlera dystopie la prochaine fois !

Contributeurs :
Ludivine Porte – Maëlys Sanchez – Morgane Cocchia – Elie Fitoussi – Julie Torre – Baptiste Mondonnet – Grégoire Bascou – Océane Chevalier – Fiona Cucchiara – Théo Chaput – Gabriel Voissiere, étudiants à l’ECV Digital Aix-en-Provence, sous la supervision de : Thibaut Brousse, directeur opérationnel de l’agence web 50A.

DIGITAL

Le développement natif va t’il reprendre la main sur les CMS open source ?

Le développement Web est un domaine en perpétuel changement depuis la commercialisation d’internet, qui a commencé au début des années 90. Au départ, le design avait très peu d’importance et le code était privilégié. En 1997, on assiste à une première disruption grâce à Dreamweaver éditeur WYSIWYG n’importe qui maîtrisant le logiciel peut construire son site. Ce qui est bien pour les étudiants et moins bien pour les entreprises. C’est aussi le début d’un code généré donc moins optimisé, donc plus lourd et moins fiable.

Quelques années plus tard, les développeurs co-construisent des systèmes appelés CMS (WordPress, Drupal etc) grâce à la philosophie de l’open source. Il arrive à devenir leader du marché. C’est une très bonne chose pour l’accès à la technologie et à l’entrepreneuriat.

Du coup, aujourd’hui, les sites ont la même architecture technique, ce qui pose problème pour 2 raisons principales. La sécurité, pour un hacker c’est beaucoup plus intéressant de trouver une faille qui va permettre de hacker 1 million de sites en même temps. Le code généré est lui aussi non optimisé. Google devient de plus en plus intransigeant et pénalise ces sites face aux sites développés avec des technologies natives ou framework de type Laravel, Symfony etc.

Enfin, je me sens obligé d’en parler, le no code ou agence no code est le fruit même de toutes ces incohérences, l’unique avantage du no code est de présenter un powerpoint en ligne, faire des tests ou valider un POC. Vous ne positionnerez jamais un no code dans les résultats des moteurs de recherche.

Nous avons synthétisé 4 articles afin d’approfondir le sujet.

WordPress : les attaques les plus courantes et les principales menaces de sécurité

Les types d’attaques les plus courantes sur WordPress en 2020. © Wordfence

Wordfence a publié un rapport présentant les principales attaques et menaces auxquelles les sites WordPress ont été les plus confrontés en 2020. Il est noté que plus de 4,3 milliards de failles exploitées ont été décelées par le scanner de Wordfence en 2020. L’attaque qui a le plus ciblé le CMS est la tentative de connexion malveillante. Plus de 90 milliards de tentatives de connexions mal intentionnées ont été bloquées par le plugin de sécurité. C’est-à-dire qu’en 2020, 2800 attaques par seconde visaient un site WordPress. Bien d’autres attaques ont été enregistrées comme les attaques par traversée de répertoires, les injections SQL et les téléchargements de fichiers malveillants. Pour empêcher qu’un site soit infecté il est nécessaire de le protéger face à tous types d’attaques. Il est donc pleinement recommandé d’utiliser des plugins disposant d’une bonne réputation, les mettre à jour régulièrement et mettre en place une authentification multi facteurs.

Migration de YubiGeek, de WordPress à Laravel

Maxence Rose, fondateur de YubiGeek travaille depuis quelques semaines sur une toute nouvelle plateforme de blogging inspirée de WordPress. Cependant, pour le développement de son site, il utilise le framework Laravel. Il considère que c’est l’outil le plus complet pour développer des applications. Il est nécessaire de souligner que de nombreuses personnes qui utilisaient WordPress considèrent qu’il n’y a pas assez de fonctionnalités qui permettent d’avoir un outil complet et de ce fait se tournent vers Laravel.


Lors de la création d’un site internet, beaucoup se questionnent sur l’outil qu’ils vont utiliser pour celui-ci. Deux noms ressortent en permanence : WordPress et Laravel. Cependant, beaucoup disent qu’il est impossible de les comparer, ces deux-là sont complémentaires. Si vous souhaitez bénéficier des fonctionnalités de WordPress, vous devez l’écrire entièrement vous-même avec l’aide de Laravel. 

  • Quel est l’outil le plus facile à entretenir ?  WordPress

Le problème d’utiliser un framework est que si le site se développe, Laravel créera un surplus de travail. Cependant, si vous maîtrisez parfaitement Laravel, le site sera facile à mettre à jour et à entretenir. Sur WordPress, il existe également des outils faciles à utiliser pour régler tout problème de mise à jour.

  • En termes de rapidité, évolutivité et SEO ? Laravel

Comme vous le savez, Google aime les sites web qui sont rapides. Le framework Laravel permet de développer uniquement les fonctionnalités nécessaires, wordpress déploient beaucoup de fonctionnalité et génère un code lourd qui n’est pas optimisé nativement. Enfin quand google lit le code, il apprécie l’originalité…

En conclusion, cela dépend de ce que vous souhaitez et de comment vous utilisez les outils. WordPress et Laravel ont tous deux leurs avantages, mais également leurs inconvénients.

5 raisons pour lesquelles les agences digitales n’ont pas peur du « no code »

Le développement du numérique ainsi que ses outils s’est fortement accru depuis quelques années. Cette avancée a permis la création d’interfaces de programmation visuelle appelées no code permettant de créer une solution informatique, sans avoir à taper la moindre ligne de code. 

De ce fait, certains pensent qu’il n’est plus nécessaire de faire appel à une agence digitale ainsi que ces développeurs, cependant cela reste la meilleure option pour avoir un résultat qualitatif. Ne pas faire appel à un développeur c’est se passer de son accompagnement technique dans la structuration du projet (UX,UI, DATA…), mais également du sur-mesure, finie la créativité désormais ce sont vos idées qui s’adaptent à la plateforme “no-code”. 

De plus, les plateformes no-code ne permettent pas de grandes évolutions de logiciel et les maintenances sont difficiles, cependant partir vers un autre système sera compliqué. Ce qui est créé avec une solution no code est rarement exportable ni transférable ailleurs. Pour finir, vous n’êtes en aucun cas propriétaire de votre code-source, de ce fait de réels problèmes de sécurité peuvent apparaître.

Il est vrai que les solutions no-code peuvent être une alternative au développeur, néanmoins, ils faut garder en tête qu’ils ne proposent pas la même qualité de service et typologies de projets digitaux.

Mobile first et SEO : les CMS sont-ils dépassés ?

Les CMS, ont pendant longtemps rayonné de part leur praticité et les nombreux avantages qu’ils proposaient. Cependant, depuis plusieurs années, un nouveau critère non négligeable de référencement naturel a fait son apparition : le temps de chargement. Et sur cet aspect-là, les CMS sont complètement dépassés. Bien entendu, plusieurs solutions se présentent pour raccourcir le temps de chargement : épurer son CMS, optimiser ses images ainsi que ses fichiers et mettre en place un plugin de charge.

Avec un peu de travail et de temps, il existera toujours des alternatives qui permettront de ne pas condamner les CMS à cause du critère temps.

DIGITAL

Les bons voeux de 50A 2021

Chaque année avec Olivier Breux et Marko Zuber de la Team 50A, on se fait plaisir à concocter avec nos petites mains « nos bons vœux ». Vous pouvez retrouver la quasi totalité sur notre chaîne Youtube.

L’exercice est complexe, car il faut réussir à trouver l’idée et la tonalité en un minimum de temps, car comme tout le monde nous sommes multi-tâches.

Cette année, on est parti sur les vœux du Président pour nous aider à faire passer des messages forts : l’amour de notre famille, de notre Galaxie, le retour à la vie normale et la cohabitation avec les GAFAM.

Nos vœux en général induisent nos projets et notre stratégie. Cette année nous travaillons les rencontres physiques ! Vous pourrez nous dire que ce n’est pas le bon moment, c’est certainement quand ce n’est pas le bon moment qu’il y a une bonne opportunité. Ce projet / établissement est en train de se concrétiser en ce moment, nous pourrons vous en dire plus dans les prochaines semaines ;)

On vous souhaite une très belle année ! On vous souhaite que du bien !!

Retrouvez également nos vœux au format audio sur notre page Spreaker où nous vous invitons à découvrir et écouter nos podcasts sur les bonnes pratiques, les innovations, et les ruptures liées à la transformation numérique.

Listen to « Les bons vœux 2021 du président de 50A » on Spreaker.
TRANSITION NUMERIQUE

Technologies partout, démocratie nulle part. Plaidoyer pour que les choix technologiques deviennent l’affaire de tous.

Interview menée le 18 septembre par Thibaut Brousse
Invités : Yaël Benayoun, Irénée Régnauld

Le 18 septembre 2020, nous recevions à notre micro Yaël Benayoun, Irénée Régnauld à l’occasion de la sortie de leur livre “Technologies partout, démocratie nulle part. Plaidoyer pour que les choix technologiques deviennent l’affaire de tous.” 

Yaël Benayoun, est diplômée en philosophie politique et en sciences sociales, elle conseille les organisations qui souhaitent se doter d’outils d’observations et de compréhension des réalités sociales. 

Irénée Régnauld, est diplômé en sciences politiques et en affaires internationales, il est consultant et auteur du blog maisouvaleweb.fr  où depuis 2014, il aborde les implications sociales du numérique. 

Yaël et Irénée sont les co-fondateurs du Mouton numérique, une association qui apporte son éclairage sur les innovations auxquelles est confrontée la société. Le Mouton numérique croit fermement que les citoyens doivent participer aux échanges qui se jouent actuellement sans eux concernant les avancées technologiques. Celles-ci s’immiscent de plus en plus dans leurs vies personnelles et professionnelles..

Lire le manifeste du Mouton Numérique. 

« Les résultats des conventions citoyennes ou autres instances sont de bonne qualité, mais les espaces délibératifs ne sont pas reliés aux instances de décisions. Ce qui donne des espaces d’expression sans conséquence » Yaël 

Aujourd’hui le Mouton numérique, c’est une centaine de membres. La vocation de l’association est d’organiser des débats, rencontres littéraires et autres rencontres sur des réflexions et des sujets de fonds, comme par exemple les dispositifs sécuritaires pendant le confinement ou la continuité pédagogique. 

C’est dans la lignée du Mouton numérique que Yaël et Irénée écrivent leur premier livre à 4 mains intitulé Technologies partout, démocratie nulle part. Plaidoyer pour que les choix technologiques deviennent l’affaire de tous aux éditions FYP. Pour l’anecdote, l’inspiration du titre vient d’une pancarte vue lors d’une manifestation. 

Dans cet ouvrage de 240 pages, les auteurs se posent deux questions principales : 

  • Comment choisit-on collectivement les technologies en démocratie ? 
  • Quels effets certaines technologies peuvent-elles produire sur la démocratie ?

Irénée et Yaël mettent en avant le fait que nous, citoyens, ne sommes pas interrogés sur les choix technologiques. Ces derniers sont réservés aux industriels et aux pouvoirs publics. Or, Yaël et Irénée sont persuadés, que pour un meilleur avenir technologique, la population doit prendre part à ses débats et étudier toutes les possibilités technologiques qui existent et non pas les seuls que nous imposent les grands groupes. 

“Les choix technologiques que nous faisons, valident un horizon culturel.” Irénée

De nombreuses études françaises et étrangères ont été menées sur l’impact qu’ont les technologies sur notre vie. Il est important de ne pas ignorer les conclusions tirées. Cet état de l’art permet de mettre en avant les dérives et de les insérer dans le débat public. Yaël et Irénée souhaitent que toutes ces études servent et alimentent le débat afin que des promesses ne soient pas tenues. 

 “Comment fait-on la technique avec la démocratie ?” Irénée

Comment choisit-on collectivement des technologies ? Comment la technologie devient-elle un sujet démocratique ? Comment chacun de nous peut participer aux réflexions en cours ? Des questions que se posent les auteurs du livre et auxquelles ils tentent de répondre. 

Malgré ce que nous pouvons penser, les co-fondateurs du Mouton numérique sont plein d’espoir et ils croient fermement en la démocratie, plus qu’en l’amour. Car « la démocratie n’est pas faite pour s’aimer, mais pour trouver un endroit où l’on ne fait pas la guerre ».

Listen to « Épisode 14 – Technologies partout, de?mocratie nulle part » on Spreaker.
ARCHITECTURE SOCIALE COWORKING LAB DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

Homo Confinus

Réchauffement climatique, confinement, futurs stop and go vont définitivement changer nos habitudes de collaboration, obligeant les entreprises à réorganiser leurs activités en situation d’urgence tout en faisant preuve de performance, de souplesse, de coopération et de solidarité. 

« Charbonner » en Ile de france avec 3h de transport par jour semble être un temps révolu. Et si certains cadres ne voulaient plus retourner travailler comme avant ? 

La mondialisation à outrance va laisser place à une probable ré-industralisation et nationalisation de différentes activités. Nous parlerons certainement dans les jours et mois à venir de plus plus de souveraineté qu’elle soit nationale ou numérique. 


L’HOMO MONDIALUS se transforme en HOMO LOCALUS CONFINUS connecté. 



Après le COVID19 le monde sera encore plus connecté. Les entreprises non digitalisées rencontreront de vraies difficultés pour continuer à exister, voire disparaîtront. 

Ces changements vont bâtir le monde de demain, nous devons refondre et repenser nos modèles et nos modes de vie. Nous allons vivre les grands chantiers, les utopies, une foule d’énergie pour repenser le système et nos sociétés. Tout cela va se brainstormer, se concevoir, s’organiser, se planifier, se créer. 

Chez 50A nous sommes des spécialistes de la transformation numérique et nous sommes persuadés que les outils de co-design* vont avoir une incidence importante sur la construction de notre demain. 

Le co-design n’est pas seulement avantageux d’un point de vue marketing, il est très utile pour l’animation des équipes. Il permet de répondre aux enjeux stratégiques d’une entreprise rapidement. S’appuyer sur une communauté de collaborateurs va devenir un point de plus en plus décisif pour le bon fonctionnement d’une société. L’utilisation de matrices garantit une structuration de la pensée et des livrables quasi immédiats. Ce sont ces livrables que nous mettons à disposition pour co-construire ensemble vos projets d’aujourd’hui et de demain. 

Si vous souhaitez partager avec nous votre expérience nous avons créé un formulaire dynamique qui accompagne votre réflexion. Il vous donne accès à notre kit d’outils co-design ou vous permet de prendre RDV ici => Formulaire NextBusiness

Nicolas Bermond Gérant de 50a.fr

*En co-design, on dit souvent que 1+1 = 3 

* Un homo confinus est un Homme confiné qui s’adapte en télétravaillant et en se ressourçant dans la nature. L’homo confinus vit de manière durable et essaie de limiter sa consommation. Il prend le temps de réflechir et profite pleinement de son entourage.

ARCHITECTURE SOCIALE DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

Conseils et outils pour télé-travailler efficacement

Face à l’appel du gouvernement au confinement total lié à la pandémie du virus Covid-19 en France, la plupart des entreprises françaises s’organisent au mieux pour continuer leurs activités, grâce notamment au télétravail.

Dans ce contexte, Chez 50A nous vous proposons quelques conseils pour bien télé-travailler et une liste non exhaustive d’outils en ligne pour rester productif avec votre équipe !

Restez soudés et décidez ensemble : les meilleures équipes restent unies dans les crises.

Primo, organisez-vous un espace de travail dédié.

Il est indispensable pour vous et votre productivité de vous installer un espace de travail dédié uniquement au télétravail. il vous faut trouver une table avec un siège confortable. Vérifiez la hauteur de vos yeux avec votre écran, ajustez la position de votre chaise avec votre table.

Prévoyez aussi les accessoires indispensables pour optimiser votre espace de travail : écouteurs pour les appels téléphoniques, rallonges d’alimentation pour éviter le « j’ai plus de batterie… »

Secundo : Planifiez vos plages de travail.

bill nye laughing GIF

Se fixer des horaires de travail précis et un plan pour la semaine en utilisant un calendrier partagé avec votre équipe.

Lorsque vous êtes sur une tâche importante, dés-activer les notifications parasites.

Laissez votre boîte email un peu au repos, interrogez-la uniquement 2 fois le matin et 2 fois l’après midi.

Privilégiez l’envoi de liens en ligne plutôt que d’envoyer des pièces jointes volumineuses qui alourdissent inutilement la bande passante que nous partageons tous.

Affectez et priorisez dans votre journée de télétravail les tâches urgentes a faire, des tâches importantes mais pas urgentes.

Faites deux points quotidiens : un le matin avec la liste des choses à faire dans la journée et un en fin de journée avec ce que vous avez réalisé.

Pour les managers :
Fixez un point quotidien de 5 min avec chacun de vos collaborateurs et organisez une fois par semaine un point d’équipe en utilisant votre outil de visioconférence préféré.

Féliciter, remercier, encourager plus qu’à l’accoutumé.

Tertio, n’oubliez pas de communiquer

the princess bride hello GIF

Pensez à saluer le matin et le soir vos collaborateurs avec des
“Bonjour à toute l’équipe, je suis opérationnel”,
« Bonsoir, merci à tous, j’ai fini ma journée »

sans oublier d’indiquer aux autres vos pauses déjeuners :
« Bon appétit à tous je reviens à 14h »

Liste non exhaustive des outils pour télé-travailler efficacement   

Aujourd’hui les technologies de l’information et de communication sont placées au centre de tout et facilitent les échanges entre employés, clients et partenaires afin de maximiser la créativité et l’efficience du groupe. 

Nous avons identifié 6 catégories d’outils de travail collaboratifs :


Les suites complètes d’outils partagés


G Suite : est une suite d’outils et de logiciels de productivité dans le Cloud destinée aux professionnels, et proposée par Google sous la forme d’un abonnement.La suite inclut les applications Web de Google les plus courantes, comme Gmail, Google Hangouts, Google Agenda, Google+, Google Drive, Google Docs, Sheets, Slides, Forms et Google Sites. G Suite inclut toutes les fonctionnalités répondant aux besoins des entreprises.
Pendant le confinement G Suite for Education propose un accès gratuit à des fonctions avancées (conférence jusqu’à 250 personnes, vidéo en direct jusqu’à 100 personnes et enregistrement sur Google Drive) pour les abonnés jusqu’au 1er juillet.
Un autre outil de productivité que nous avons pu tester chez 50A est la Google Jamboard, retrouver la vidéo de présentation ici :


Suite Microsoft Office 365 : La suite Microsoft Office inclut : Word, Excel, Outlook, PowerPoint, OneNote, Access, Publisher, InfoPath, Sharepoint Designer, Visio, Project, Skype,OneDrive et enfin Teams qui propose un système de vidéo conférence. 
http://www.microsoft.com


Les outils de communication et de collaboration


Webex : Un logiciel de visioconférence professionnelle par Cisco qui propose une version gratuite renforcée avec durée illimitée et jusqu’à 1OO personnes pendant le confinement.
https://www.webex.com/fr/index.html

Slack est une application de messagerie instantanée permettant le travail collaboratif. Les conversations avec vos collaborateurs et prestataires sont organisées sous forme de chaînes et lorsque l’écrit ne suffit plus vous pouvez facilement organiser des appels audios et/ou vidéos. Les outils tels que Google Drive, DropBox ou encore Trello peuvent aussi être intégrés dans Slack afin de vous faire gagner du temps.
https://slack.com/intl/fr-fr/

Klaxoon : Plateforme permettant de gérer des projets à distance depuis un téléphone, une tablette ou un ordinateur (Templates, ateliers de formation à distance, assistance webchat). Lien vers le site (3 mois gratuit pour réaliser des réunions, des ateliers de travail).

Monday : est une plateforme de gestion de travail basée sur cloud qui propose une manière simplifiée de gérer le travail d’équipe et les projets tout en renforçant la transparence dans votre culture d’entreprise.
https://monday.com/lang/fr/


Les outils de stockage et de partage.


1Password Business : gestionnaire de mots de passe d’équipe offert pendant 6 mois.
https://1password.com/fr/business/

Dropbox : Il permet de stocker vos fichiers en ligne et de les partager avec qui vous voulez. Votre travailleur freelance peut installer un dossier Dropbox sur son ordinateur et ainsi vous glisser les travaux réalisés dès qu’ils sont terminés. Vous les recevez immédiatement.
https://www.dropbox.com/fr/


Les outils d’organisation


Evernote :  L’application Evernote vous permet de mettre en ordre vos idées pour un projet et de les partager très facilement à vos prestataires. Vous pouvez y rassembler des listes d’idées, de tâches, des brouillons et stocker des documents importants. Dynamique et intuitif, Evernote vous permet d’illustrer le tout par des photos, des schémas, des dessins, des articles de référence… Evernote est gratuit mais si vous souhaitez profiter des fonctionnalités de collaboration il faudra compter 13,99€/mois et par utilisateur.
https://evernote.com/intl/fr

Trello est un outil extrêmement pratique pour gérer un projet à plusieurs ou des calendriers éditoriaux. Cet espace collaboratif prend la forme de « boards » pour les projets ou clients et de « cards » pour les tâches. Trello vous permet ainsi de suivre l’avancée des différentes missions des prestataires.
https://trello.com/home


Les outils de création


Adobe Creative Cloud : est un ensemble d’applications et de services proposés par Adobe Systems, permettant aux abonnés d’accéder à une collection de logiciels utilisés pour la conception graphique, le montage vidéo, le développement web, la photographie, un ensemble d’applications mobiles, et des services relié au Cloud.
https://www.adobe.com/fr/creativecloud.html


Les outils de visioconférence et messagerie instantanée


Zoom.us : ZOOM est une solution de communication unifiée : visioconférence, webconférence, audioconférence, messagerie instantanée, enregistrement et streaming.
https://zoom.us/

Whereby : est une solution collaborative de visioconférence qui nous vient tout droit de Norvège. Spécialement conçu pour des échanges via ordinateur et est accessible sur les principaux navigateurs : Firefox, Chrome et Opera.
https://whereby.com/

Discord : est une plateforme de VoIP qui cartonne en ce moment. Cette plateforme était au départ utilisée par les joueurs mais elle tend à se démocratiser par sa simplicité pour les entreprises. Alliant le meilleur des logiciels dédiés aux jeux comme Mumble et Teamspeak et l’efficacité de plateformes comme Skype. 
https://discordapp.com/

Framatalk : est un logiciel opensource de communication où vous n’avez pas besoin de télécharger de logiciel sur votre ordinateur, tout se fait via le site.
https://framatalk.org/

Whats’app : Utilisable sur votre téléphone et votre pc, Whats’app est une messagerie instantanée qui permet de communiquer sans utiliser d’appel ou sms avec vos contacts possédant le logiciel.
https://www.whatsapp.com/?lang=fr

Rocket.chat : est une solution de communication en équipe. Le fonctionnement de l’outil est très proche de celui de Discord : vous pouvez échanger avec les autres membres sur de fils publics, des groupes de discussion privés ou par messages privés. Comme tous les logiciels décentralisés, il est possible de l’installer sur son propre serveur.
https://rocket.chat/

Lifesize : est une entreprise proposant des solutions et des applications de visioconférence en HD, à destination d’entreprise souhaitant avoir le meilleur en terme de technologies. Son application est testable gratuitement pendant 14 jours.
https://www.lifesize.com/fr

Conclusion : 

Vous avez désormais une sélection d’outils sous la main pour communiquer, (télé)travailler dans de bonnes conditions et partager vos connaissances et vos idées à l’ensemble de vos collaborateurs, clients et partenaires. N’oubliez pas que la réussite de l’utilisation de ces outils et méthodes dépendent aussi de l’adhésion de chacun, de leur implication et de leur motivation.

Toute l’équipe de 50A reste à vos côtés pour aider à choisir et implémenter le bon outil. N’hésitez pas à nous contacter.

Sources : Google.com, Wikipedia.com, Macg.co

DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

Parcours utilisateur (Podcast)

Pour ce 13e épisode, 50a Galaxy le Podcast aborde le thème du parcours utilisateur. Notre expert en expérience utilisateur (UX), Jérôme de Vries se prête au jeu.

Ce podcast s’articule en 4 temps :


   1. Le parcours utilisateur  

Un utilisateur n’est pas qu’un client final. On parle d’utilisateur, c’est un partenaire, un prescripteur , un fournisseur. C’est une notion large. Il ne faut d’ailleurs pas dire cible. Ce terme n’est pas vraiment approprié. 

“ Une cible c’est la chose sur laquelle on tire et on ne veut pas tuer nos utilisateurs. ” 

Existe-il une différence entre le parcours utilisateur et le parcours client ? Ces notions sont à distinguer en effet un parcours client est le processus entre les utilisateurs entre une marque, un produit… quant à la notion de parcours utilisateur il s’agit plutôt d’un terme d’ergonomie. Par exemple les tunnels de ventes sur un site internet.

Le parcours utilisateur est plus l’interface alors que le parcours client est la représentation de l’expérience client. Il ne faut pas confondre l’utilisateur et le consommateur. Car un client est un utilisateur et un utilisateur peut devenir client. Pour que l’utilisateur devienne un client, il faut lui donner plusieurs chances. L’utilisateur ne va pas obligatoirement suivre le parcours imaginé. Il va de lui-même sortir du parcours, c’est naturel. On en fait tous l’expérience. C’est d’ailleurs l’intérêt de travailler son design de services.


2. Le design de services

Les designers prennent le pas sur les ingénieurs. Aujourd’hui, ce n’est plus des produits que l’on consomme. Ce sont des services, des expériences. Tout est devenu service. Les méthodes qui servaient initialement à fabriquer ou concevoir des produits sont obsolètes. Elles ne suffisent plus. On parle donc aujourd’hui de design de services. Prenons l’exemple de la SNCF et de son site. Aujourd’hui on ne trouve plus de train dessus mais bien des prestations. Vous pouvez y trouver de quoi louer une voiture ou une chambre d’hôtel. On ne crée donc plus un site mais bien une expérience digitale.


     3. L’atelier parcours utilisateur chez 50a

Chez 50a nous proposons à nos clients de faire des ateliers parcours utilisateurs. Ils ont pour but de trouver l’histoire de transition pour que le parcours soit plus fluide pour l’utilisateur. Nous avons déjà fait près de 50 ateliers. La plupart sont dans le secteur de la construction immobilière. Le parcours de la maison contient 26 étapes, par exemple. Et toutes ces étapes vont être analysées et optimisées. Cet atelier prend en général une demie journée.

Un atelier comme celui-ci se décline en quatre étapes :

Premièrement l’étape des personae. L’objectif est de recueillir toutes les informations nécessaires : les motivations d’utilisations, les attentes et besoins, bref les préférences de vos utilisateurs. Il s’agit en effet de proposer une expérience adaptée à votre marché et aux offres existantes.

Deuxièmement reconnaître les points de contact. C’est à dire, identifier tous les points de contact entre l’utilisateur et l’entreprise avec les services que l’on propose. Ils sont très nombreux. Ça passe par le bouche à oreille, le site internet, les réseaux sociaux, la PLV…

Troisièmement, tracer le parcours. Savoir à quoi il ressemble, visualiser son schéma. Cela permet de trouver les points de blocages et les points de rebonds. On peut cerner les opportunités et les faiblesses.

Et quatrièmement, les émotions. Déterminer l’émotion de l’utilisateur à chaque étape du parcours. Il faut analyser ce que l’utilisateur peut ressentir et ce, durant tout le parcours.

L’objectif est de prendre conscience de tous les acteurs de ce parcours utilisateur. Comprendre leurs actions et leurs aboutissements.


     4. Les tendances de l’UX et la Big data

La tendance forte était que le marketing avait l’impression d’avoir la science infuse. On se fiait aux études sans prendre en compte l’utilisateur. Mais ça a changé notamment avec les réseaux sociaux. Les techniques d’antan ne fonctionnent plus. L’utilisateur en connaît presqu’autant que le directeur en marketing. Il adore être satisfait rapidement et trouver des alternatives. On doit utiliser la connaissance des utilisateurs.

La question du Big data et son impact sur l’utilisateur est pertinente. Aujourd’hui, avec la cybersécurité et la règlementation RGDP, on parle des besoins de protection des données.

 “ 83% des français sont prêts à partager leurs données avec une entreprise afin d’accéder à une expérience client plus personnalisée.”

La plupart des utilisateurs donnent accès à leurs données personnelles consciemment. Avant que l’on prenne en compte des datas, on pouvait concevoir seul. Désormais on déshumanise ce procédé. Peut-on alors automatiser des parcours utilisateurs avec la big data ? La réponse est oui.  On peut arriver à les automatiser en y intégrant notre utilisateur. Le parcours utilisateur est très humain initialement mais les IA et la Big data ne sont pas forcément incompatibles. On tend vers ce changement. Tout devient numérique et ça a beaucoup d’impact dans les entreprises, d’un point de vue humain, d’un point de vue processus et workflow. Vous l’aurez compris le parcours utilisateur était bien plus simple dans un monde sans internet !

Les dernières tendances de l’UX sont la prestation et l’expertise. Il faut sortir du parcours utilisateur qui permet d’explorer et d’identifier de nouvelles pistes. Il faut en sortir physiquement. Chez 50a, lors d’un atelier, nous avons emmener les équipes clients en dehors. Et on leur a demandé de retirer de l’argent à un distributeur de billet avec des fauteuils roulants. Il faut créer des environnements physiques. L’objectif est d’expérimenter ces nouveaux services.


Si vous avez apprécié cet article, vous pouvez retrouver tous nos podcasts 50a Galaxy. Ou pour en savoir plus sur le parcours utilisateur, n’hésitez pas à regarder notre étude de cas sur le sujet ici.

Nota bene : On parle aussi bien de parcours client que de parcours utilisateur. Tout dépend si l’on décide de mettre plus en avant l’expérience que l’acte achat.


ARCHITECTURE SOCIALE DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

Un parcours client est une expérience utilisateur

Article mis à jour le 28 décembre 2020.

Qu’il soit physique ou digital, le parcours client s’est complexifié
avec l’arrivée des nouvelles technologies et l’évolution des usages.

Selon Définition Marketing, le parcours client – également appelé parcours utilisateur – est le parcours type que suit un client entre le moment où il constate un besoin et celui où il passe à l’achat.

Quelle stratégie doit être adoptée par une entreprise pour offrir une expérience client de qualité ?

Loin de se résumer au simple acte d’achat le parcours client n’a pas de durée délimitée. Il s’enclenche à partir du moment ou le client entend parler de la marque jusqu’au moment où celui-ci satisfait de l’expérience vécue peut devenir ambassadeur en la recommandant. Il peut être plus ou moins long selon le besoin du consommateur. Par exemple, le parcours client pour l’achat d’une voiture sera différent de celui d’un vêtement.

Pour acquérir du trafic et le transformer en clients, les marques doivent maîtriser l’ensemble des points de contacts. Chaque point de contact est une occasion de mieux le connaître, c’est donc une véritable opportunité pour enrichir votre base de données client et optimiser l’automatisation de vos actions marketing. Comprendre ce qui vous a séduit en engageant la conversation ou inversement ce qui ne vous a pas plu et pourquoi l’utilisateur a interrompu son acte d’achat dans le but de toujours l’améliorer.

Pour proposer un parcours utilisateur/client optimal, les marques mettent tout en oeuvre pour simplifier les étapes afin que le processus d’achat soit fluide et simple. L’objectif est de réduire au maximum les points de friction.


Etape 1 : « J’ai envie » = naissance d’un besoin
Dès que le consommateur a un besoin à satisfaire. Celui-ci va donc d’abord partir à la recherche d’informations.
 80% des internautes préparent leurs achats en ligne selon l’IFOP en 2015 et 88% consultent l’avis des autres consommateurs. Le besoin d’acheter un bien ou service peut se faire ressentir au moment où le consommateur est exposé à une publicité ou lorsqu’il est influencé par son entourage ayant déjà consommé un produit/service similaire.
Avoir une bonne visibilité (réseaux sociaux, médias ou autres) aide le consommateur à se rappeler de l’offre qu’une marque propose au moment où le besoin survient.

Etape 2 : « Je m’informe » = prise d’informations
Il va donc commencer à effectuer ses recherches sur Internet en regardant plusieurs sites ou des avis : 95% des consommateurs effectuent des recherches en amont de leur achat. Il peut aussi se rendre directement en magasin afin d’avoir l’avis d’experts. Avant d’acheter, le consommateur va comparer tous les produits qui répondent à son besoin.
C’est à ce moment précis qu’il faut engager la conversation et bien identifier ses besoins afin de répondre au mieux à ses attentes.

Etape 3 : « J’achète » = acte d’achat
Dans les processus de commande, le consommateur peut changer d’avis et abandonner son achat pour diverses raisons. Il est important de bien identifier pourquoi un consommateur ne poursuit pas l’achat afin d’optimiser et améliorer le parcours client. Pour éviter l’abandon de panier, il faut que le parcours soit fluide et clair, proposer des modes de livraison et de paiement adaptés.

Etape 4 : « Tu aimes ou bien ? » = satisfaction, fidélisation, recommandation ou pas !
Il est nécessaire de maintenir la relation client même après l’achat afin d’améliorer ses produits et services ainsi que le parcours client :
– Evaluer la satisfaction client : avoir un feedback pour voir ce qui a plu ou déplu
– Fidéliser le client pour récolter des informations plus qualitatives et lui proposer des produits ou services plus personnalisés et adaptés
– Les inciter à vous recommander en laissant des avis ou en devenant ambassadeur de la marque
Par conséquent pour se démarquer de leurs concurrents les marques rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour  :
  • Soigner leur e-réputation
  • Déployer une bonne stratégie de référencement
  • Offrir une expérience client de qualité sur l’ensemble des supports : site ergonomique, mobile first, navigation simple, propulser les informations utiles (fiche produit détaillée, tutoriel, comparaison de produits…)…
  • Humaniser au maximum la relation avec le consommateur : service client réactif, story-telling de qualité et engagé (de moins en moins de blabla), animation de communautés dans la vraie vie, programme de fidélisation ultra personnalisé…
  • Innover avec de nouvelles technologies ou en proposant des expériences inédites : chatbot, réalité augmentée, beacons, pop-up store etc..
La multiplication des canaux offre plus de marges de manœuvre aux entreprises pour atteindre leurs clients, mais peut aussi rendre leurs parcours plus complexes. C’est pourquoi il est important de proposer une expérience adaptée à chaque canal tout en prenant compte le rôle qu’il joue au sein de l’écosystème de la marque.
Les smartphones et les nouveaux usages d’internet ont rendu le consommateur plus informé et plus exigeant.

selon Adobe, 68% des consommateurs français sont fidèles aux marques qui leur proposent une expérience adaptée à leurs besoins et préférences

Les marques doivent donc utiliser les informations collectées sur chaque utilisateur de manière transparente à bon escient afin d’offrir un service personnalisé de qualité.

D’après la même étude, 39% des consommateurs français n’a aucun scrupule à se tourner vers une marque si celle-ci offre une meilleure expérience.

En offrant aux clients une expérience client de qualité, les marques multiplient leur chance d’attirer des nouveaux consommateurs pour ensuite les fidéliser. C’est pour cela que chaque étape est l’occasion de mieux cerner les attentes des utilisateurs pour y répondre au mieux et proposer un parcours fluide et optimal !

Collecter feedback parcours client
Source : MyFeelBack

Afin de mieux comprendre les besoins de vos clients et identifier leurs motivations d’achat, créer des personae ou une empathy map peut vous permettre de mieux visualiser votre type de clientèle et donc avoir une meilleure approche pour leur offrir un parcours adapté. Retrouvez notre définition de empathy map ici.
Les ateliers collaboratifs que nous proposons, permettront de définir et de construire ensemble votre parcours client qui vous ouvrira les portes de nouvelles opportunités business.

Pour en savoir plus rendez vous sur nos différentes études de cas, ci-dessous :

DIGITAL

Manipulation de masse à une échelle industrielle / Cambridge Analytica Acte 2

Qu’est ce que Cambridge Analytica?


Cambridge Analytica Ltd (CA) était une société britannique de conseil politique qui pratiquait le détournement d’actifs numériques, l’exploration, courtage et l’anayse des données, avec la communication stratégique pendant les processus électoraux.

Elle a été créée en 2013 en tant que ramification du groupe SCL. La société a cessé ses activités en 2018 suit au scandale des données de Facebook-Cambridge Analytica, bien que des entreprises liées existent toujours.

La société avait des bureaux à Londres, New York et Washington. Le PDG Alexander Nix a déclaré que Cambridge Analytica a participé à 44 courses politiques aux États-Unis en 2014. En 2015, Cambridge Analytica a effectué des services d’analyse de données pour la campagne présidentielle de Ted Cruz, en 2016, CA a travaillé pour la campagne présidentielle de Donald Trump ainsi que pour Leave.EU (une des organisations faisant campagne lors du référendum du Royaume-Uni sur l’adhésion à l’Union européenne). Le rôle de Cambridge Analytica dans ces campagnes a été controversé et fait l’objet d’enquêtes judiciaires dans ces deux pays. Les politologues remettent en question les affirmations de Cambridge Analytica quant à l’efficacité de ses méthodes de ciblage des électeurs.

Une fuite explosive de dizaines de milliers de documents de la défunte société de données Cambridge Analytica est sur le point d’exposer les rouages internes de l’entreprise qui s’est effondrée après que l’Observer ait révélé qu’elle avait détourné 87 millions de profils Facebook.

Plus de 100 000 documents relatifs à des travaux menés dans 68 pays qui mettront à nu l’infrastructure mondiale d’une opération utilisée pour manipuler les électeurs à « l’échelle industrielle » devraient être publiés au cours des prochains mois.

Cela vient du fait que Christopher Steele, ancien chef du bureau Russie du MI6 et l’expert en renseignement derrière le soi-disant « dossier Steele » sur les relations de Trump avec la Russie, a déclaré que bien que l’entreprise ait fermé, l’échec à punir correctement les mauvais acteurs signifiait que les perspectives de manipulation des élections américaines cette année étaient encore pires.

La publication de documents a commencé le jour de l’an sur un compte Twitter anonyme, @HindsightFiles, comportant des liens vers des documents sur les élections en Malaisie, au Kenya et au Brésil. Il a été révélé que les documents provenaient de Brittany Kaiser, une ancienne employée de Cambridge Analytica devenue dénonciatrice, et qu’ils étaient les mêmes que ceux cités par l’enquête de Robert Mueller sur l’ingérence russe dans l’élection présidentielle de 2016.

Kaiser, qui a joué dans le documentaire The Great Hack, sélectionné pour les Oscars sur Netflix, a décidé de rendre public son enquête après l’élection du mois dernier en Grande-Bretagne. « Il est clair que nos systèmes électoraux sont très ouverts aux abus », a-t-elle déclaré. « J’ai très peur de ce qui va se passer lors des élections américaines de cette année, et je pense que l’une des rares façons de nous protéger est de diffuser le plus d’informations possible. »

Les documents ont été récupérés sur ses comptes de messagerie et ses disques durs, et bien qu’elle ait remis certains documents au Parlement en avril 2018, elle a déclaré qu’il y avait des milliers et des milliers de pages supplémentaires qui montraient une « ampleur et une profondeur du travail » qui allait « bien au-delà de ce que les gens pensent savoir sur le scandale de Cambridge Analytica. »

Steele a fait une rare intervention publique pour commenter les fuites. Il a déclaré que, bien qu’il ne sache pas ce qu’elles contenaient, le contexte ne pouvait pas être plus important parce que « sur notre trajectoire actuelle, ces problèmes vont probablement s’aggraver, et non s’améliorer, et avec l’approche des élections cruciales de 2020 aux États-unis et ailleurs, c’est une perspective très effrayante. Quelque chose de radical doit être fait à ce sujet, et vite. »

Il a déclaré que les autorités occidentales n’avaient pas puni ceux qui pratiquaient la manipulation des médias sociaux et autres, et que « le résultat sera que, même si Cambridge Analytica a pu être exposée et finalement fermée, d’autres acteurs encore plus sophistiqués auront été enhardis à s’ingérer dans nos élections et à semer des divisions sociales. »

M. Kaiser a déclaré que le scandale des données de Facebook faisait partie d’une opération mondiale beaucoup plus vaste qui a travaillé avec des gouvernements, des agences de renseignement, des sociétés commerciales et des campagnes politiques pour manipuler et influencer les gens, et qui a eu d’énormes répercussions sur la sécurité nationale.

Les documents non publiés contiennent des informations qui suggèrent que la firme travaillait pour un parti politique en Ukraine en 2017, même si elle faisait l’objet d’une enquête dans le cadre de l’enquête de Mueller, et des courriels qui, selon M. Kaiser, décrivent comment la firme a aidé à développer une « infrastructure sophistiquée de sociétés fictives qui ont été conçues pour canaliser de l’argent sale vers la politique. »

« Il y a des courriels entre les grands donateurs de Trump qui discutent des moyens de dissimuler la source de leurs dons par une série de véhicules financiers différents. Ces documents exposent toute la machinerie de l’argent noir derrière la politique américaine. » La même machinerie, dit-elle, a été déployée dans d’autres pays où Cambridge Analytica a travaillé, y compris, affirme-t-elle, en Grande-Bretagne.

Emma Briant, une universitaire du Bard College de New York, spécialisée dans les enquêtes sur la propagande et qui a eu accès à certains des documents pour ses recherches, a déclaré que ce qui avait été révélé n’était que « la partie émergée de l’iceberg ».

« Les documents révèlent une idée beaucoup plus claire de ce qui s’est réellement passé lors de l’élection présidentielle américaine de 2016, ce qui a une énorme influence sur ce qui se passera en 2020. Ce sont les mêmes personnes impliquées qui, nous le savons, construisent sur ces mêmes techniques », a-t-elle dit.

« Il y a des preuves d’expériences vraiment assez troublantes sur les électeurs américains, les manipulant avec des messages basés sur la peur, ciblant les plus vulnérables, qui semblent se poursuivre. C’est toute une industrie mondiale qui est hors de contrôle, mais ce que cela fait, c’est exposer ce qui se passait avec cette seule entreprise. »

Ce texte a été écrit par Carole Cadwalladr pour Guardian News & Media Ltd

EVENEMENTIEL

Blockchain & Friends – Restitution de l’évènement de l’agence blockchain

Blockchain-&-FriendsRestitution

MERCI !
Vous avez été nombreux à avoir répondu présent à notre événement Blockchain & Friends organisé dans notre agence blockchain et nous vous en remercions.

Notre agence blockchain a eu le plaisir d’accueillir dans ses locaux des professionnels du secteur de la blockchain. Merci à Lucas Comparini d’IBM Blockchain, à Vidal Chriqui de BTU Protocol, et à Fabien Ducoudray de Daneel. Ainsi qu’à Emmanuel Gadenne de la SNCF et à Arnaud Cheyssial d’IPOCAMP.

Durant cette rencontre, ils ont eu l’occasion de nous présenter leurs entreprises, mais également la façon dont la blockchain intervenait dans leur processus de travail. Pour certains d’entre eux, elle fait partie intégrante de leur service.

Échanger avec eux autour de cette thématique était très enrichissant et formateur, tant sur le plan professionnel que personnel. Leurs interventions de qualité et la pédagogie dont ils ont fait preuve ont ravi le public.

Notre agence blockchain se réjouit de recevoir des experts dans le domaine de la blockchain et autres secteurs. On se retrouve bientôt pour un nouvel échange.

Vous n’avez pas pu assister à notre événement blockchain ? Vous pourrez l’écouter très prochainement en intégralité sur notre page podcast 50A Galaxy.

DIGITAL

Portrait-robot du community manager

Le community manager est en charge de créer et fédérer la communauté d’une marque, d’une personne publique, d’une association, ou d’une institution. Il est le garant de son image sur Internet.
Jusqu’à maintenant les social media managers étaient intégrés au service communication, maintenant ils travaillent de plus en plus en tandem avec le service marketing, dans une optique de génération de leads.

QUI SONT LES COMMUNITY MANAGER ?

Sa connaissance fine des réseaux sociaux lui procure souvent un rôle de geek, qualitatif pourtant trop réducteur.

Mais qui sont-ils ? Quel âge ont-ils ? Quelles études ont-ils fait ? C’est à ces questions que nous avons essayé de répondre en dressant leur portrait-robot du social media manager.

Nota Bene : On parle de « Community manager » lorsque c’est un employé d’une entreprise qui est en charge d’animé les réseaux sociaux d’une entreprise. Un « Social media manager » est la personne en agence web qui gère les comptes de différents marques. Leurs missions sont sensiblement les mêmes.

QUELLES SONT LES MISSIONS D’UN COMMUNITY MANAGER ?

Les missions d’un CM sont assez variées. On distingue 3 phases : la préparation, l’opérationnel, l’analyse.

La préparation

  • Définition de la stratégie éditoriale
  • Rédaction des guidelines
  • Définition des KPIs
  • Veille sectorielle et concurrentielle

L’opérationnel

  • Préparation du planning éditorial
  • Rédaction des publications
  • Création des visuels
  • Modération des publications
  • Animation des communautés
  • Gestion de la reputation en ligne

L’analyse

  • Reporting des publications
  • Bilan des actions
  • Ajustement de la stratégie

QUEL TYPE DE CONTRAT A LE COMMUNITY MANAGER ?

Le mythe du CM stagiaire est en partie un mythe, car ils sont en majorité en CDI à 52%. Beaucoup ont des contrats de freelance ou sont en CDD (25%). Certaines entreprises délèguent encore aux stagiaires la lourde mission d’animer et de fédérer une communauté et parfois, de gérer des badbuzz. À leurs risques et périls…

QUELLE EST LA FORMATION DU COMMUNITY MANAGER ?

Il y a quelques années les CM étaient autodidactes. Ils apprenaient et construisaient leur métier au quotidien, depuis, l’exigence des entreprises s’est accrue et est apparu une vraie nécessité d’avoir des personnes formées dans les équipes. Les cursus spécialisés dans le community management ont été développées dans ce but.
Aujourd’hui, même si tous les community managers n’ont pas suivi une formation dédiée à ce métier, ils sont issus de la communication ou du numérique. 83% d’entre eux ont au moins un bac+3, 55% ont un bac+5.

Il Y A T-IL PLUS D’HOMME COMMUNITY MANAGERS ? QUEL ÂGE ONT-ILS ?

Les femmes sont légèrement plus représentées dans la profession (52%). 68% des social media managers ont entre 21 et 30 ans, l’âge médian est de 28 ans. L’île-de-France est la région qui propose le plus d’emploi (37%). Les grandes villes de province sont de plus en plus attractives professionnellement.

QUEL EST LE SALAIRE D’UN COMMUNITY MANAGER ?

L’enquête du Blog du Modérateur datant de 2018 donne un salaire moyen de 28 527 €. Le salaire varie énormément en fonction de la taille de l’entreprise et de sa localisation (Paris, Province).

QUELLES SONT LES QUALITÉS DU COMMUNITY MANAGER ?

Le community manager est la personne en première ligne avec les internautes. Cette position lui impose d’être réactif et diplomate. L’étendue de ses missions, allant de la rédaction de contenu à la production visuelle fait de lui quelqu’un de créatif, organisé et polyvalent. Enfin, il doit être curieux et attentif afin de se tenir informer des différentes évolutions des outils qu’il utilise et des changements pouvant intervenir dans le secteur d’activité des comptes qu’ils gèrent.

QUELS OUTILS DOIT MAITRISER LE COMMUNITY MANAGER ?

La polyvalence du poste impose au CM d’être à l’aise avec différents types d’outils. Les outils de monitoring sont les plus utilisés (Tweetdeck, Hootsuite, Buffer…), tout comme les plateformes de gestion de projet (Trello, Basecamp, Asana). Les outils de conception ne sont pas à négliger, le minimum pour tout CM est de maitriser les bases de Photoshop.

EXTERNALISER LE COMMUNITY MANAGEMENT ?

Chez 50A, nous concevons votre stratégie social média et animons vos communautés et vos ambassadeurs pour favoriser les ventes.
Social selling, e-réputation, social content, sont autant de sujets sur lesquels nous pouvons vous accompagner.

Retrouvez la définition du community manager dans notre glossaire.

Une question sur nos prestations ? Une demande de devis à faire ? Contactez nous, via notre formulaire de contact ou par téléphone 01 40 44 00 65.

EVENEMENTIEL

Participez à l’événement de Femmes Entrepreneures : « Femmes Libérées ! »

Partenaire de Femmes Entrepreneures sur différents événements depuis 2009, l’agence 50a a le plaisir d’accueillir l’association pour ses 10 ans d’existence.


Cette soirée, intitulée « Femmes Libérées ! » marque le dernier événement Femmes Entrepreneures de la saison. 

Au programme :

18h00 – 18h45 : Accueil des participantes

18h45 – 19h15 : Intervention de l’équipe Femmes Entrepreneures

1/ Hayat Outahar, Présidente de Femmes Entrepreneures exposera les objectifs 2019/2020

2/ Jonathan Marois, Responsable événementiel fera le bilan des Lundis Paradis et de l’expansion du format de networking en région

3/ Céline Valensi, Responsable FE-94, présentera son ouvrage sur l’entrepreneuriat au féminin

19h15 – 19h45 : Échange avec les participantes

19h45 – 20h 00 : Synthèse des échanges

20h00 -21h00 : Femmes Libéréee, networking sur la terrasse de 50a !!!

L’équipe Femmes Entrepreneures et l’agence 50a se font un plaisir de vous rencontrer mercredi 24 juillet de 18h à 21h à l’adresse suivante :

31 rue Blanche, 75009 Paris.

Places limitées, inscriptions en ligne : https://www.eventbrite.fr/e/billets-soiree-femmes-liberees-65091103242

DIGITAL LES CONTRIBUTIONS

Revue de web #4

Chez 50A tous les mardi ont lieu les Tonic Tuesday. Nous y partageons nos trouvailles web découvertes de la semaine. App, sites, ou encore tendances, on vous dit tout !

Nous vous retrouvons donc pour la quatrième revue de web ! (si vous ne les avez pas lues, voici les premières revues de web #1 #2 #3).


Index OECD, vivez vous heureux dans votre pays ?

Mesurer le bien-vivre des sociétés est très répandu ces derniers temps. C’est pourquoi l’OCDE a créé un outil permettant de classer 35 pays selon des critères tels que l’enseignement, le logement, l’environnement. C’est-à-dire que chacun pour établir un classement selon l’importance qu’il accorde aux onze critères.

Pour tester l’outil rendez-vous ici !

Site déniché par Jérôme.


Algorithme Amazon, virer ses employés plus rapidement

Pas un jour ne passe sans qu’un scandale ne ternisse l’image d’Amazon. Après l’assistant vocal qui espionne ses clients, Amazon a été épinglé pour avoir automatiquement licencié les employés des entrepôts pour assurer une bonne « productivité ».

Les centres d’exécution d’Amazon sont le moteur de l’entreprise – des entrepôts massifs où les travailleurs suivent, emballent, trient et mélangent chaque commande avant de l’envoyer chez l’acheteur.

Les travailleurs de ces entrepôts sont confrontés à des conditions pénibles : les travailleurs sont poussés à « faire plus de bénéfices », certains emballant des centaines de boîtes par heure et perdent leur emploi s’ils ne sont pas assez efficaces.

Les documents obtenus par The Verge montrent que les licenciements de productivité sont beaucoup plus fréquents qu’on ne le pense. Dans une lettre signée l’année dernière, un avocat représentant Amazon a déclaré que l’entreprise avait licencié des « centaines » d’employés d’une même usine entre août 2017 et septembre 2018 pour non-respect des quotas de productivité. Un porte-parole de l’entreprise a déclaré qu’au cours de cette période, environ 300 employés à temps plein ont été congédiés pour inefficacité.

Ce n’est pas sans penser à Black Mirror…

Info dénichée par Anna.


Solution « deuxième avis », l’app des seconds avis médicaux

En Europe, il n’est pas rare de consulter pour obtenir un second avis médical, un peu moins en France. Pourtant, cette pratique peut s’avérer pertinente, non pas pour remettre en cause un diagnostic et douter des médecins, mais plutôt pour approuver un verdict, se rassurer.

SecondAvis est une application permet d’avoir rapidement un second avis. Elle effet, elle permet aux utilisateurs ne comprenant pas leurs symptômes ou les résultats d’un rendez-vous d’obtenir un (second) avis médical. Le patient est ainsi éclairé sur sa pathologie ou les résultats de son dernier examen, en attendant de consulter un spécialiste.

À sa sortie en 2016, le site avait suscité un tollé chez les médecins. En France la culture du second avis n’est pas globalement répandue au contraire des pays nordiques par exemple. Dans des pays comme la Suède, le Danemark ou encore l’Allemagne, dans le cas de maladies graves les patients ont tendance à bénéficier d’un second avis.

Pour télécharger l’app rendez-vous ici !

App dénichée par Madeline.


Senspad, la musique où vous voulez quand vous voulez.

Une batterie connectée ça vous dit ? Senspad est la première batterie connectée sans fil et évolutive.

Depuis le début de la batterie électronique dans les années 1980, les marques traditionnelles bien connues couvrent, avec un monopole exclusif sur l’ensemble du marché. Une domination significative, mais en même temps sans autre grande innovation depuis une trentaine d’années. Avec son nouvel outil Senspad compte bien révolutionner ce secteur !

Ils expliquent en 6 points en quoi leur outil est révolutionnaire :

  • moins cher que l’ensemble des batteries professionnelles existantes
  • offre la même qualité qu’une vraie batterie
  • une batterie évolutive (ajoutez beaucoup de Senspad pour créer votre propre kit de batterie)
  • entièrement transportable
  • connecté et sans fil
  • et cerise sur le gâteau, vous pourrez mettre à jour votre système GRATUITEMENT, pas besoin d’acheter d’autres pads ou un nouveau module de batterie, cliquez simplement sur Update directement dans notre application.

Pour découvrir cet outil ou le précommandez votre drumpad ici !

Outil déniché par Clément.


Playdate, la console rétro monochrome ?

Panic, l’éditeur de logiciels Mac et iOS, a fait un tabac le mois dernier avec l’annonce de Playdate, sa première console de jeux portable. Elle a été co-conçue par le fabricant électronique Teenage engineering et propose des versions exclusives conçues par des développeurs renommés comme Zach Gage, Bennett Foddy et Keita Takahashi.

Le design général de la Playdate est coloré et solide, à l’allure old-school d’une game boy.

La véritable originalité de la Playlade est que vous jouez en noir et blanc 1 bit sans rétroéclairage ! Ce qui lui donne un aspect minimaliste. Il n’y a pas grand-chose sur le marché qui ressemble à cette console. Reste à vous convaincre de passer au monochrome !

Mais, l’élément de design qui a fait parler tout le monde, est la manivelle à droite de la Playdate, par laquelle le jeu est entièrement contrôlé.

Pour en savoir plus sur la console rendez-vous ici !

Jeu déniché par Olivier.


La collapsologie, mythe ou réalité ?

Depuis quelques années, l’étude des catastrophes a un nom ! La collapsologie.

Face à l’effondrement climatique, économique et face à un potentiel effondrement global cette nouvelle théorie en vogue fait des adeptes. Pablo Sevigné est un chercheur en collapsologie très connu. Il s’est spécialisé dans la recherche des théories de l’effondrement, et livre un avenir plutôt sombre de l’humanité.

Découvrez la vidéo de brut pour en savoir plus :

Info dénichée par Nicolas.


Les emballages de légumes écologiques

Face à l’urgence climatique des alternatives écologiques se créent, l’utilisation du plastique est de plus en plus boudée par les consommateurs.

L’Union Européenne a récemment voté pour l’interdiction du plastique à usage unique d’ici 2021. L’Asie fait également sa part pour sauver la planète en renvoyant par exemple 3000 tonnes de déchets plastique vers leur pays d’origine.

Certains pays ont adopté une alternative naturelle aux emballages en plastique : les feuilles de bananier.

Bien que les aliments enveloppés de feuilles ne soient pas une nouveauté en Asie, il est inhabituel de voir cette approche traditionnelle et biodégradable utilisée dans les supermarchés. La première chaîne à adopter cette idée a été Rimping Supermarket à Chiang Mai, en Thaïlande. Ces images sont devenues virales, avec plus de 3,5 millions de vues et 16.000 actions via la page Facebook Perfect Homes Chiangmai.

Un certain nombre de personnes ont même incité leurs supermarchés locaux, à s’inspirer de cette initiative.

Tendance dénichée par Audrey.


L’évènement de l’agence, Plante ta graine

La tendance de l’agence pour le mois de juin c’est bien évidemment l’évènement Plante ta graine !

Si vous n’en avez pas entendu parler, nous souhaitons à travers cet évènement réunir des acteurs de la transition écologique. Lors de cette journée nous vous invitons également à venir planter des semis, n’hésitez pas à apporter les vôtres !

Retrouvez-nous pour une journée de présentation de projection et de partage d’expérience le 27 juin 2019 de 14h30 à 22h.

En amont de notre évènement nous avons voulu en savoir plus sur les initiatives de 4 acteurs de la transition écologique. Retrouvez les interviews ici :

Inscriptions et programme

Inscriptions à Plante ta graine par mail contact@50a.fr ou sur l’évènement Facebook Plante ta graine. 


Nous espérons que cette quatrième revue de web vous aura plu ! N’hésitez pas à nous dire en commentaire quelle tendance vous a marqué. Et vous quelle est votre tendance de la semaine ?

DIGITAL EVENEMENTIEL

Plante ta graine : Open source écologie

Open Source Ecologie (OSE) est une association qui propose de la documentation et des plans open-source afin de créer des machines et des outils de façon autonome. L’ensemble des documents des 50 machines sont mis à disposition sur la plateforme « Global Village Construction Set (GVCS) ». De cette manière OSE œuvre pour une économie open-source.

Selon Wikipedia la désignation open source, « s’applique aux logiciels (et s’étend maintenant aux œuvres de l’esprit) dont la licence respecte des critères précisément établis par l’Open Source Initiative, c’est-à-dire les possibilités de libre redistribution, d’accès au code source et de création de travaux dérivés. Mis à la disposition du grand public, ce code source est généralement le résultat d’une collaboration entre programmeurs. »

Planter des graines c’est bien, avec des outils construits avec des plans en open-source, c’est encore mieux.


Pouvez-vous nous décrire ce que vous faites ? 

Open Source Ecologie participe à un mouvement global qui souhaite faire émerger une sorte de wikipédia de la technique. Pour que les machines et les outils de production de base soient accessibles à chacun.
Plus particulièrement les machines sur lesquelles nous souhaitons travailler sont celles dont on aurait besoin à l’échelle d’un village pour assurer les bases d’une vie simple et écologique (machines agricoles, travail des matériaux simples, énergies renouvelables).
Concrètement, nous concevons des machines ou des objets, nous en faisons des prototypes pour les tester, puis nous publions les plans de façon librement accessible. 

Qu’apporte votre solution aux autres ? 

Nous essayons de travailler sur des projets qui seront utiles dans le monde même si ils sont considérés comme non rentables, et donc inutiles, dans le monde actuel. 
Nous avons notamment beaucoup travaillé sur un concentrateur solaire qui fournit de la vapeur jusqu’à 200°C pour cuire, distiller, pasteuriser, mais aussi alimenter des moteurs ou des pompes. Il reprend un concept industriel, mais il est conçu de façon à pouvoir le fabriquer dans à peu près n’importe quel atelier de mécanicien avec des métaux simples et des outils assez courants. 
Nous avons aussi par exemple travaillé à une ligne de défibrage de chanvre qui extrait la fibre de la plante afin de pouvoir en faire du textile technique et des matériaux de construction d’origine végétale.
Ce sont des projets d’ampleur industrielle, qui même lorsqu’ils sont menés en entreprise nécessitent des années de développement. Donc nous avançons comme nous le pouvons, à notre rythme et dans la bonne humeur !


Quelles sont vos aspirations sur du long terme ? 

En effet, ce projet est essentiellement axé sur le long terme. Il y a une grosse charge de travail à fournir au départ. Mais nous pensons qu’une fois publiées ces informations se révèleront très utiles sur la durée. À terme, ce que nous souhaitons c’est que, sur la base de nos plans collectivement créés et partagés, des installateurs (mécanos, plombiers, etc.) puissent localement monter des outils de production de dimensions artisanales.
Ces outils seraient ainsi complètement adaptés aux énergies et aux matières disponibles localement. Et surtout nous espérons bien que cela pourra se faire à un coût final bien moindre. Car toute la conception initiale, habituellement couverte du secret industriel, aura ici été faite une bonne fois pour toutes, partagée librement, et collectivement améliorée au fil du temps. 

Comment vous servez-vous du numérique pour faire la promotion de votre association ? 

Assez classiquement. Nous avons les outils habituels : site web, réseaux sociaux, newsletter, et notre calendrier public sur Trello. Nous nous retrouvons également sur mumble puisque nous avons des membres aux 4 coins de la France. Ainsi nous nous efforçons de tout documenter sur notre wiki.
L’outil Trello est utilisé pour nous répartir les tâches.  Nous avons également organisé une campagne de crowdfunding sur ulule.
Nous nous rencontrons également dans la vraie vie via les aperOSE qui nous permettent de rencontrer de nouvelles têtes intéresséesNous publions nos manuels de fabrication sur divers sites participatifs de partage de projets similaires (wikifab, instructables).


Retrouvez Open source écologie sur les réseaux :


Inscriptions et programme

Inscriptions à Plante ta graine par mail contact@50a.fr ou sur l’évènement Facebook Plante ta graine. 


Continuer la lecture avec les articles suivants

Interview « La suite du monde ».

Interview « Seed Tour ».

Plante ta graine.

EVENEMENTIEL

Plante ta graine : Cocott’arium

Et si la campagne venait s’installer en ville ? C’est la folle idée de Cocott’arium qui souhaite installer des poulaillers au cœur des villes. Allier écologie et vie citadine est leur but.

Un projet très inspirant et prometteur que nous soutenons chez 50A.

Aurélie sera présente avec nous le 27 juin pour nous en dire plus sur Cocott’arium.


Pouvez-vous nous décrire ce que vous faites ?

Nous sommes un bureau d’étude dans l’innovation durable.

Qu’apporte votre solution aux autres ?

Cocott’arium est une solution de sensibilisation au tri des biodéchets à la source pour tous les particuliers et permet de répondre à la loi sur la transition énergétique de 2025.


Quelles sont vos aspirations sur du long terme ?

Ramener l’animal et le végétal dans nos villes et intégrer les poules dans les modes de vies des citadins.


Comment vous servez-vous du numérique pour faire la promotion de votre association ?

Les outils numériques nous aident à fédérer une communauté autour des valeurs que nous défendons, nous rencontrons également d’autre acteurs avec lesquels nous travaillons nous pouvons mener des actions communes.


Retrouvez Cocott’arium sur les réseaux :


Inscriptions et programme

Inscriptions à Plante ta graine par mail contact@50a.fr ou sur l’évènement Facebook Plante ta graine. 


Continuer la lecture avec les articles suivants

Interview « La suite du monde ».

Interview « Seed Tour ».

COWORKING LAB TRANSITION NUMERIQUE

Comment organiser un ice breaker réussi ?

Lorsqu’un groupe de personnes se réunit pour la première fois, il est naturel que les participants du groupe se sentent mal à l’aise ou nerveux à l’idée de la façon dont ils vont se présenter aux autres. Les icebreakers ont pour but d’aider les gens à apprendre à se connaître et à se sentir plus à l’aise les uns avec les autres afin qu’ils puissent mieux communiquer ou travailler ensemble. Les icebreakers sont utilisés dans des démarches de co-design où l’expérience utilisateur est stratégique. 

Dans cet article, nous vous expliquons à quoi sert un icebreaker, comment en organiser, et surtout que faire pour qu’il se déroule à la perfection au sein de votre équipe, des parties prenantes d’un projet ou plus largement  avec vos coworkers !


Qu’est-ce qu’un icebreaker ?

Ice breaker - 50A

En général pour que des membres d’un même groupe interagissent mieux on utilise un icebreaker. Ils sont destinés à rassembler des participants afin d’apprendre à se connaître, ou encore de détendre l’atmosphère. Ils se concentrent souvent sur le partage de renseignements personnels comme les noms, les passe-temps, etc. N’oubliez pas ! N’oubliez pas que la présence d’un facilitateur est obligatoire afin de diriger le groupe.

Un icebreaker efficace « réchauffera » la conversation dans la salle, renforcera le sujet de la séance et fera en sorte que les participants apprécient les différentes interactions. Lorsque les participants ne se connaissent pas, l’icebreaker les aidera à se présenter aux autres participants.

De plus en plus  d’entreprises ont recours aux icebreakers avant de démarrer une réunion, un projet… Ces techniques d’animation améliorent les interactions et favorisent les échanges entre les employés. Ils aident également les participants à acquérir des compétences en leadership lors de réunions, leur permettant de devenir des chefs d’équipe plus efficaces. Dans des ateliers visant à identifier stratégies et solutions au sein d’une entreprise les icebreakers se mêlent à la pensée du Design Thinking.

Types d’ice breakers

Quatre grands types de icebreakers sont utilisés :

  • Le premier type d’icebreaker « ludique ». Il est souvent utilisé hors des entreprises : écoles, théâtre, groupe d’amis etc…
  • L’icebreaker d’entreprise. Les icebreakers d’entreprises n’ont pas vocation à devenir trop personnels. Il s’agit plutôt d’une séance de groupe pour briser la glace. Ces types d’icebreakers comportent différentes questions que vous posez à tous les membres du groupe. Certaines questions peuvent être drôles, d’autres plus sérieuses. Le format des questions et réponses fonctionne bien avec les groupes qui ne se connaissent pas très bien. Au fil des séances, vous voudrez peut-être modifier les questions pour apprendre à mieux vous connaître. Tout dépend du degré d’implication personnelle que le groupe veut obtenir.
  • Le icebreaker de petit groupe. Les icebreakers en petits groupes comptent normalement de 2 à 10 individus. Ces activités s’adressent aux petits groupes, aux conseils d’administration ou aux petites équipes. Il s’agit généralement de jeux pour « apprendre à vous connaître », en parlant, dessinant etc. Ces activités sont censées être amusantes pour le groupe, mais n’ont pas besoin d’un grand nombre de participants. Quand les gens pensent aux Icebreakers, ils pensent à des jeux énormes, bruyants et actifs. Ce n’est pas toujours vrai. Un brise-glace peut être aussi simple que : « dessinons notre animal préféré et donnons la raison de ce choix ».
  • Le icebreaker de grand groupe. Ceux-ci sont destinés à des groupes de plus de 10 personnes. Ce type d’icebreaker est destiné à impliquer plus de gens tout en s’amusant. Réussir à canaliser un grand groupe autour d’un jeu peut être compliqué, mais rien n’est impossible , et tout dépend de quel objectif vous avez. Malgré cela pouvez former des équipes afin de fluidifier les échanges, et mettre les personnes plus à l’aise.
  • L’agence digitale 50A propose un format spécifique appelé Barcamp. Ce sont des ateliers participatifs et ouverts à tous. Ils regroupent à chaque nouvelle édition une centaine de personnes. Nous abordons ensemble des sujets tels que l’évolution numérique, l’influence de la e-réputation, les meilleurs tendances du community management, les enjeux de l’open data, et bien plus encore.

Mode d’emploi

Ice Breaker - 50A

Afin d’organiser un icebreaker réussi vous devez le préparer en amont. Il y a quelques règles à respecter !

  • Chronométrez tout. Généralement un icebreaker dure entre 5 et 15mn. Veillez donc à chronométrer les temps de paroles et les activités afin de ne pas déborder.
  • Veillez à la taille du groupe. Un icebreaker peut compter de 4 à 30 personnes ou plus ! Mais plus le groupe est gros, plus il sera difficile de procéder à des échanges constructifs. Si le groupe est de grande taille vous pouvez le scinder afin que les participants échanges en petits groupes de 10 personnes max.
  • Choisissez un lieu optimal. Si vous organisez un icebreaker au sein de votre entreprise, veillez à ce que la salle puisse accueillir tous les participants. Taille de la salle, équipement nécéssaire, tables, chaises… Tout est à prévoir afin que tous les participants puissent être à l’aise.
  • Munissez-vous de matériel. Le matériel de base que vous pouvez utiliser lors d’icebreakers peut varier en fonction des jeux que vous faites. Mais globalement on se munit de : stylos, crayons, feuilles, post-it, white board, ordinateur…

Choses à faire et à ne pas faire

Un icebreaker doit généralement être lié au sujet ou au but de la réunion. Si un travail collaboratif est nécessaire pour un projet interne, alors un exercice de icebreaker qui favorise la collaboration peut être choisi. Si le sujet de la réunion est de la littérature, alors le sujet de la réunion peut être introduit par un exercice qui tourne autour des livres préférés d’un participant.

Mais attention il y a certaines règles à respecter. Les icebreakers professionnels ne doivent pas :

  • Ils ne doivent pas obliger les gens à révéler des renseignements personnels ou à toucher d’autres personnes, car cela peut être stressant ou inapproprié.
  • Ils ne doivent pas embarrasser les participants ni les obliger à participer.
  • Et ils ne doivent pas non plus manquer de respect à l’égard des hiérarchies sociales et professionnelles du groupe, car cela peut créer des conflits.

À la fin du icebreaker, l’animateur doit résumer pour le groupe ce qui a été appris pendant l’exercice.

Exemple de jeu

  • Dis-moi qui tu es, je te dirai quel film tu es. Chacun dispose de 2 minutes pour poser des questions à l’autre. Ensuite sur un papier on imagine un film qui le représente. On lui donne le papier et on lui explique les raisons de son choix
  • Passe à ton voisin. Tout le monde écrit le nom d’un client sur une post-it et le passe à son voisin qui soit imaginer une nouvelle prestation que l’on pourrait lui vendre.
  • 2 vérités 1 mensonge. Tout le monde écrit sur un papier 2 vérités 1 mensonge et les lit à haute voix. Les autres participant doivent deviner quel est le mensonge.
  • Quel site web serais-tu ? Chaque personne choisit le site web qu’il ou elle serait en fonction de ses préférences personnelles et explique son choix au groupe.
  • Un animal avec un signe apparent. Chacun écrit un animal avec un signe distinctif insolite qu’il porte sur lui. Les papiers sont pliés et mis dans un chapeau. Ensuite le groupe doit deviner qui est qui.
  • Arbre d’entreprise. Il permet d’introduire un sujet lié à une problématique interne. Afin d’organiser cette icebreaker, il vous suffit de proposer une image d’arbre sur lequel sont installés des personnages, ayant chacun des postures différentes. C’est donc pourquoi vous devez alors attribuer un numéro à chacun des personnages. Il ne vous restera plus qu’à demander à vos participants à qui ils s’identifient le plus !
  • Personnage historique. Quel personnage aurais-tu aimé rencontrer ? Qu’est-ce que tu aurais souhaité lui demander ?
  • Quel personnage de dessin animé êtes vous ? Chacun écrit sur son papier quel personnage de dessin animé il aimerait être ? Il le présente aux autres participants et explique son choix.
  • La balle et le chronomètre. Faire toucher une balle par tout les participants le plus rapidement possible.

Vous avez maintenant toutes les clés pour réussir votre icebreaker !

Si vous avez plus de questions sur l’organisation de votre icebreaker n’hésitez pas à nous contacter !


Continuer la lecture avec les articles suivants

Top des app sur le développement durable

Les tendances digitales 2019

DIGITAL VISIBILITE WEB

Les bonnes pratiques sur Instagram

Instagram représente un territoire numérique de plus d’un milliard d’utilisateurs actifs dans le monde. C’est aujourd’hui le réseau social qui a attiré le plus de monde dans un délai très court. Comment utiliser cette plate-forme pour déclencher de nouvelles opportunités ? Nous allons, dans cet article vous expliquer pourquoi et surtout, vous détailler les astuces pour plaire à l’algorithme d’Instagram autant qu’à vos abonnés. 

Instagram en chiffres

72% des adolescents connectés à internet ont un compte Instagram. 59 % du milliard d’utilisateurs a entre 18 et 29 ans. L’engagement sur Instagram est très fort, il est 60% plus élevé que sur Facebook. À noter que les publications avec des hashtags* engagent jusqu’à 12% de plus qu’une publication sans et que les vidéos génèrent 2 fois plus de commentaires que les autres typologies de contenu. 50% des légendes et commentaires de publications contiennent des émojis.

Plaire à tout prix

Pour plaire à l’algorithme d’Instagram il faut à tout prix utiliser tous les outils mis à notre disposition. Leur bonne utilisation montrera tout l’investissement et le sérieux que l’on apporte à Instagram. Nous pouvons vous dire dès maintenant que le format à privilégier sur Instagram est la vidéo. Vidéo en stories, en publications, sur igTV. C’est le format de prédilection sur la plateforme.


Voici donc cinq conseils pour faire d’Instagram votre allié !

1 | Les stories

Les stories sont les images et vidéos que l’on poste en direct et qui s’affichent en haut de la page d’accueil et en haut de chaque profil.

Découvrir le compte de @Decathlon

Comme énoncé précédemment, le format à privilégier en story est la vidéo. Pour être visible de vos utilisateurs, la moyenne recommandée est de 6 stories par jour.


2 | Boomerang, igTV, sondages…

Instagram enrichit les fonctionnalités d’interactions très régulièrement. Ils ont pour but d’augmenter l’engagement et donc d’être plus visibles de vos utilisateurs. Plus il y a de l’engagement sous vos publications, plus Instagram mettra en avant vos contenus. Boomerangs, sondages, questions, igTV, swip up… appropriez-vous les fonctionnalités de la plateforme et utilisez-les quotidiennement. Ça plaira autant à vos utilisateurs qu’à l’algorithme.


3 | La légende, aussi importante que l’image

Instagram est un réseau d’images. Mais les légendes ne sont pas à négliger. Une légende bien rédigée, suffisamment longue captivera votre audience, et le temps d’impression sera allongé. Une bonne légende est un texte qui raconte une histoire et apporte des informations complémentaires. Elle doit comporter des émojis et 4 hashtags en moyenne. Les hashtags doivent être choisis avec soin.

Découvrir le compte de @lacerisesurlegateau

Il y a deux types d’hashtags : les hashtags généralistes et les hashtags spécifiques à une cause, un produit, une marque. Jouer avec ces deux types d’hashtags permet d’être bien référencé et vu de tous ceux qui chercheraient du contenu en lien avec ses mots-clés.


4 | Misez sur vos utilisateurs

L’UGC (« user generated content ») est l’ensemble du contenu produit par vos utilisateurs. C’est une mine d’or et il faut capitaliser dessus. Deux solutions pour utiliser le contenu de vos abonnés :

  • Reposter du contenu déjà présent sur la plateforme. Pour cela, identifiez vos ambassadeurs et suivez de près leur contenu. C’est certain qu’ils publieront du contenu qui vous intéressera. Pensez bien à demander l’autorisation avant. Il est observé, qu’en moyenne, l’engagement augmente de 6,9%.
  • Donner la parole à vos ambassadeurs, le temps d’une journée, d’un mois. Ils parleront de leur activité et donneront un point de vue inédit. Accompagnez vos ambassadeurs en leur fournissant des guidelines* à respecter et faites leur confiance.

Découvrir le compte de @flyswiss 


5 | Faites vous accompagner

Nous ne pouvons que vous conseiller de vous faire accompagner dans l’élaboration de votre stratégie ;)

Contactez-nous par mail contact@50. fr ou via notre formulaire de contact.


Glossaire

*Hashtag – mot-clé en français ; mot précédé d’un # permettant de répertorier un contenu
*Guidelines ; document expliquant la stratégie ou l’utilisation d’une plateforme ou d’un site internet

EVENEMENTIEL TRANSITION NUMERIQUE

FUTUR.E.S : Le festival de l’innovation !

Un festival accessible à tous alliant innovation numérique et durable ça vous dit ? 

Retrouvez le festival de l’innovation numérique et durable Futur.e.s les 12 et 14 juin prochains à la Galerie des Gobelins ! Le festival annonce : « 80 démos innovantes rigoureusement sélectionnées pour leur caractère émergent, durable et leur excellence technologique. » Une occasion en or pour aller découvrir des acteurs de l’innovation Française et internationale !

Pour sa dixième édition, Futur.e.s veut faire bouger les choses à travers plusieurs problématiques sociétales d’actualité. Développement durable, inclusivité et mixité dans le monde de la tech !

Face au changement de paradigme suscitant le phénomène de transition numérique, on peut se demander si le secteur du numérique s’inscrit dans une réelle démarche d’inclusivité ? En effet depuis quelque temps pas une semaine sans entendre ou lire des articles au sujet des craintes évoquées envers les intelligences artificielles, les dangers des fake news, plus récemment les deep fakes, le vol de données, sans parler du sujet lié à la pollution numérique…

Le milieu de la tech souvent réputé pour ne pas être un milieu inclusif et égalitaire, ne concerne souvent que des niches d’initiés. Pour pallier à ses problématiques le festival Futur.e.s est le plus grand festival du numérique gratuit d’Île-de-France qui affirme son intention de s’adresser à toutes et tous, afin de « redonner aux citoyens la main sur leurs futurs ».


Allier numérique et développement durable

À l’heure où les préoccupations climatiques deviennent vitales, la technologie se doit de montrer l’exemple afin de relever les défis liés à la transition écologique.

Vous pourrez ainsi rencontrer des acteurs du développement durable numérique tel que : Dataveyes, Oniriq, Le Cnes et bien d’autres. Le festival sera également l’occasion d’assister à des démos, et d’essayer les solutions présentées.

Les tables rondes réuniront expertes et experts pour imaginer ensemble un futur plus vert : La ville durable est-elle une ville sensible ?, La data nouveau pétrole des villes durables ?

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Futur.e.s Festivals (@futures.festivals) le


Un festival sous le signe du numérique inclusif et plus égalitaire

En 2018 Camille Pène (directrice du festival) avait annoncé « Nous sommes le festival du numérique post #MeToo ». Le festival FUTUR.E.S garantie donc une vision d’un futur inclusif et mixte !

C’est d’ailleurs un festival très paritaire. Futur.e.s accueille 80 conférences, masterclass, et ateliers sur deux jours, avec 50% d’intervenantes. Vous y verrez Marie Ekeland, l’une des premières femmes à avoir créé un fonds de capital-risque (Daphni), ou encore Marie-Virginie Klein Vice-Présidente de Willa un incubateur leader pour les femmes entrepreneures dans l’innovation en France et en Europe, qui nous parlera du plafond de verre dans l’investissement, l’entreprenariat et la tech.

Côté exposants, vous pourrez découvrir l’expérience éducative immersive en VR « La traque »  une série d’expériences immersives pour sensibiliser et former au sexisme ordinaire ainsi qu’au harcèlement.

Toujours dans une perspective d’inclusion, le festival entend mettre en avant les innovations à destination des individus en situation de handicap, et souhaite également présenter des démarches de la Health Tech.

Les visiteurs pourront notamment découvrir N-Vibe, « le premier GPS vibrant pour aveugles et malvoyants. Cette application, est associée à deux bracelets vibrants. Elle permet à son utilisateur de se guider intuitivement dans les espaces extérieurs. » Défis VR « capitalisant sur la réalité virtuelle pour accompagner efficacement les personnes en situation de tétraplégie », ou encore l’équipe-projet Camin D’Irina travaillant sur la « conception de Neuroprothèses dans des contextes de déficiences sensori-motrices notamment pour l’assistance aux mouvements de membres paralysés. »

La mixité du festival s’inscrit également autour de l’initiative de la green tech sur le continent Africain. Avec notamment une discussion autour du futur de la ville durable en Afrique. Avec la participation de Cheick Cissé connu pour son travail d’urbaniste au sein de la Société Française des Urbanistes (SFU).

Enfin, la programmation OFF du festival s’étend aussi dans toute l’Île-de-France en proposant des expérimentations, performances, rencontres… Retrouvez tous les événements labellisés Futur.e.s OFF à retrouver du 13 au 23 juin, près de chez vous !

Futur.e.s Festival propose également une cartographie complète des tendances. Et montre bien comment les enjeux environnementaux doivent de?sormais inte?grer les challenges nume?riques de nombre de membres et experts de Cap Digital, consulte?s pour re?diger ce cahier. Guide à retrouver ici : Cap Digital Cartographie Des Tendances 2019-2020


Informations

L’évènement est totalement gratuit, mais pour participer l’inscription est obligatoire !

Pour vous inscrire c’est juste ici , et pour consulter le programme de ces deux journées innovantes rendez-vous sur cette page.


Continuer la lecture avec les articles suivants

Plante ta graine 2019

Plante ta graine : interview seed tour

EVENEMENTIEL

Plante ta graine : La suite du monde

Avec la crise écologique menaçant nos modes de vie actuels, de nombreux citadins essayent de se tourner vers un mode de vie plus simple et axé sur un respect de la nature. C’est pourquoi en amont de notre évènement du mois, « Plante ta graine » nous avons voulu découvrir l’initiative de La suite du monde. Car nous sommes convaincus que planter des graines sur une terrasse parisienne, c’est bien, mais planter des graines de projets pour améliorer notre mieux vivre ensemble est encore plus important. 

Face à l’urgence climatique La suite du monde a pour but de « libérer » des terres agricoles et biens immobiliers afin d’y déployer des activités rendant chaque acteur de ce changement, davantage autonome. À travers l’agriculture, l’organisation communaliste, l’éducation, et l’énergie, etc…

La suite du monde souhaite également « multiplier les activités de recherche, d’expérimentation et de conseil afin de rendre multipliables ces Communes Imaginées, connectées entre-elles.« 

L’un des 13 co-fondateurs sera présent le 27 juin, pour nous présenter son initiative.


Pouvez-vous nous décrire ce que vous faites ?

La suite du monde acquiert des terres agricoles qu’elle met à disposition de collectifs via des coopératives locales, afin d’y faire communs et commune.


Qu’apporte votre solution aux autres ?

Nous soutenons les dynamiques vers plus d’autonomie et d’émancipation, par un support humain, technique, légal et financier (jusqu’à 50k€ sur 3 ans) et la location d’auberges et lieux communs permettant d’être rejoint, sans barrière du capital, à tout moment.
 

Quelles sont vos aspirations sur du long terme ?

Nous souhaitons initier une cinquantaine de Communes Imaginées (SCIC). Notre déclaration est disponible sur le site https://www.lasuitedumonde.com/ et ici en image.
 

Comment vous servez-vous du numérique pour faire la promotion de votre association ?

Nous documentons toutes les démarches et rencontres sur Telegram, Facebook et sur un wiki participatif: https://wiki.lasuitedumonde.com/ (les groupes de discussion y sont listés) et développons des outils de communication et de votation dans la blockchain.

Retrouvez la Suite du Monde sur les réseaux :

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par LaSuiteDuMonde (@lasuitedumonde) le

Inscriptions et programme

Inscriptions à Plante ta graine par mail contact@50a.fr ou sur l’évènement Facebook Plante ta graine. 

Continuer la lecture avec les articles suivants

Plante ta graine 2019

Interview « Seed Tour ».

DIGITAL EVENEMENTIEL

Plante ta graine : Interview Seed tour

Aujourd’hui, les grands organismes de biotechnologies agricoles ne doivent pas avoir le monopole du commerce des graines, il est important d’aller à la rencontre de ceux qui plantent et cultivent et de les soutenir.

C’est pourquoi, en amont de notre évènement du mois, « Plante ta graine », nous vous proposons l’interview d’Auriane. Auriane Bertrand, a entrepris un voyage aux quatre coins du monde de janvier à décembre 2018 afin de découvrir divers acteurs des semences paysannes. Elle livre un important constant à travers un documentaire : Seed Tour.

Auriane sera présente le 27 juin, elle nous partagera son expérience avec nous le 27 juin.

 

Pouvez-vous nous décrire ce que vous faites ?

Le Seed Tour est un voyage-documentaire que j’ai réalisé de janvier à décembre 2018 à la rencontre des producteurs, chercheurs, associations et entrepreneurs qui travaillent à reproduire et promouvoir les semences paysannes. J’en ai tiré des reportages (vidéos, photos et articles) que je publie sur seedtour.org. Pour porter le projet, j’ai créé l’association Qu’est-ce qu’on sème ?
Nous sommes actuellement une dizaine et nous visons l’implication de tous, de l’agriculteur au consommateur, dans le développement d’un modèle agricole favorisant l’utilisation de semences paysannes. Nous définissons les « semences paysannes » de la façon suivante : graines libres de droits que les paysans sélectionnent et reproduisent en adéquation avec le territoire et le climat.


Qu’apporte votre solution aux autres ?

Nous sommes convaincus qu’un modèle agricole favorisant l’utilisation de semences paysannes est un pré-requis essentiel à l’autonomie paysanne, le développement de la biodiversité, et d’aliments nutritifs qui ont du goût. Le Seed Tour, premier projet de l’association Qu’est-ce qu’on Sème ? vise à sensibiliser le grand public à la question des semences paysannes. Il vulgarise le sujet et met en avant ses implications : débat sur le bien commun, notre rapport à la terre, à la cuisine et à l’alimentation, à notre bien-être.


Quelles sont vos aspirations sur du long terme ?

Le consommateur est producteur, dans le sens où ses choix de consommation induisent des choix de production. Nous croyons que chacun à notre échelle avons la possibilité de participer au changement de modèle agricole. Nous souhaitons que demain, la dimension de la reproduction de semence soit prise en compte dans les modèles économiques des paysans. Cette reproduction doit être externalisée localement de façon à ce que les variétés cultivées (maraîchage ou grandes cultures) soient adaptées au territoire et au climat, condition essentielle pour renouer avec une agriculture libérée d’intrants chimiques, goûtue, nutritive et productive.

Comment vous servez-vous du numérique pour faire la promotion de votre association ?

Le Seed Tour se base sur les outils numériques pour la communication et la diffusion de ses idées. Le projet n’appartient à aucun média et est relayé uniquement grâce à la communauté qu’il regroupe sur les réseaux sociaux, principalement Facebook et Instagram.  L’ensemble du contenu est en diffusion libre sur seedtour.org, dont les nouveautés sont relayées régulièrement dans une newsletter. Les prochaines actions de l’association « Qu’est-ce qu’on Sème ? », se focaliserons sur l’axe de sensibilisation grand public se traduit pour moitié par des actions en ligne.

 

 

 

Inscriptions et programme

Inscriptions à Plante ta graine par mail contact@50a.fr ou sur l’évènement Facebook Plante ta graine. 

Continuer la lecture avec les articles suivants

Top des app sur le développement durable

Plante ta graine 2019

EVENEMENTIEL

Plante ta graine 2019

Pourquoi Planter sa graine ?

Après 15 ans de digitalisation, pour se racheter et rappeler que le digital est avant tout une aventure humaine, nous avons décidé de revenir aux fondamentaux: de la terre, une graine, un pot pour partager les initiatives pleines de vie liées à la transition écologique. Pour cela nous avons convié 5 associations qui œuvrent pour le bien commun à notre évènement Plante ta graine 2019.

Nos invités

La suite du monde

Face à l’effondrement en cours, La Suite du Monde acquiert puis libère des terres agricoles et biens immobiliers afin d’y développer des projets liés à l’habitat, l’évènementiel, l’éducation, ou toute activité permettant davantage d’autonomie.

Kokopelli

Kokopelli est une association française qui distribue des semences libres de droits et reproductibles, issues de l’agriculture biologique et bio dynamique dans le but de préserver la biodiversité semencière et potagère.

Open Source Ecology

Open Source Ecology est une association française qui agit pour le développement du matériel open source, un ensemble de 50 machines destinées à permettre l’activité d’un village autonome et résilient, dans le contexte de la transition écologique.

Cocott’arium

Le collectif Cocott’arium propose de réintégrer le poulailler en ville sur une forme nouvelle. Le concept est simple : un poulailler urbain qui recycle. Le projet propose, en échange de vos déchets organiques, de vous fournir en œufs frais.

Seed Tour

Le Seed Tour est un voyage documentaire d’Ariane Bertrand a entrepris de janvier à décembre 2018, à la rencontre des producteurs, chercheurs, association et entrepreneurs qui travaillent sur les semences paysannes, Dans 4 pays : Mexique, Sénégal, France et Inde.

Inscriptions et programme

Inscriptions à Plante ta graine par mail contact@50a.fr ou sur l’évènement Facebook Plante ta graine. 

Continuer la lecture avec les articles suivants

Top des app sur le développement durable

Les tendances digitales 2019

DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

Revue de web #3

Chez 50A les Tonic Tuesday sont une tradition où nous partageons nos trouvailles. Tendances Web, nouveaux outils, applications, méthodologies de travail ou inspirations. Et si internet n’avait plus de secrets pour vous ? 

Nous vous retrouvons donc pour la troisième revue de web ! (si vous ne l’avez pas lu voici la deuxième revue).


Techlabs, le technolologie pour enfants

web

Et si vos enfants apprenaient à programmer ou à construire des robots ?  Ces ateliers réalisés entre la Suisse et Londres rencontrent un franc succès auprès des jeunes.

Le codage à l’écran et les progiciels sont utiles, mais ce qui est essentiel pour l’avenir, c’est d’enseigner la pensée « computationnelle » et la pensée critique au sujet de la technologie. Les jeunes doivent être capables d’accéder à la technologie, de la gérer, de communiquer avec elle afin de la créer eux-mêmes.

Techlabs enseigne des programmes axés sur l’innovation technologique, l’informatique et la culture numérique à l’école. En plus des outils informatiques et techniques, ils ont également des sessions d’informatique « débranchées » basées sur des activités artistiques et artisanales.

Si vous souhaitez initier votre enfant à la programmation à paris, vous pouvez consulter les sites suivants : codecodecodec, techkidsacademy, magic makers et bien d’autres…

Tendance dénichée par Jérôme.


Colourise, colorisez vos photos en noir et blanc !

web

Si vous avez de vieilles photos en noir et blanc et que vous souhaitez les coloriser, Colourise est l’outil que vous devez utiliser.

Colourise a été récemment développé à Singapour par les ingénieurs de GovTech (Government Technology) lors d’un hackathon interne. Le site est assez minimaliste – la page d’accueil vous demande seulement de fournir la photo que vous souhaitez faire coloriser. Et cerise sur le gâteau, Colourise ne conserve aucune photos que vous téléchargez.

On peut dire que les résultats sont assez bluffants, mais pas tout le temps réalistes à 100% comme l’ont annoncé les créateurs.

Outil à tester ici !

Tendance dénichée par Madeline.


Hologramme au cirque, vers la fin de la maltraitance animal ?

web

Bienvenue au Cirque Roncalli, le premier spectacle de cirque holographique au monde, où aucun animal n’est blessé, ni exploité.

Le Cirque Roncalli a été fondé par Bernhard Paul il y a 40 ans et n’a cessé d’évoluer depuis. Il unit avec succès le monde romantique du cirque à la vivacité du théâtre, créant un spectacle unique en son genre. Le renouveau du cirque est en marche. Le public se mobilise de plus en plus contre les cirques traditionnels où la maltraitance animale y est omniprésente. Grâce aux nouvelles technologies le cirque permet de raconter des histoires d’une manière nouvelle et intéressante.

Roncalli voulait créer des images holographiques 3D à partir de projecteurs lumineux, fiables et durables pour remplir l’arène du cirque mesurant 32 mètres de large et 5 mètres de profondeur avec une visibilité à 360° pour tout le public. Le résultat est bluffant !

Et si l’utilisation d’hologramme au cirque devenait la nouvelle norme ?

Pour en savoir plus découvrez la vidéo du spectacle ici !

Tendance dénichée par Anna.


Réactions Linkedin, vers plus d’expressivité

web

Vous l’avez sans doute remarqué, depuis quelques semaines les réactions sous les posts ont débarqué sur Linkedin.

Ce changement a été initié par les équipes de Linkedin afin de permettre aux utilisateurs de diffuser un moyen plus expressif qu’un « J’aime ». Pour répondre aux différents messages que vous voyez dans votre flux vous aurez désormais la possibilité de choisir parmi 5 réactions. L’introduction de ces réactions est aussi liée au désir des utilisateurs de se sentir entendu et de comprendre pourquoi quelqu’un a aimé ce que l’on a posté.

Pour découvrir ces nouvelles fonctionnalités découvrez l’article de l’équipe de design ici !

Tendance dénichée par Nicolas.


Creative types by adobe

web

Adobe vient de lancer un petit quiz amusant en ligne qui aide les créatifs à déterminer leur profil créatif. L' »évaluation de la personnalité créative simple et fiable, mais robuste et scientifiquement fondée » s’inspire de tests de personnalité populaires tels que le Myers-Briggs et l’Enneagram.

Développé en partenariat avec Anyways Creative et Carolyn Gregoire, co-auteure de Wired to Create il a pour but de déchiffrer les mystères de l’esprit créatif. L’objectif est d’évaluer vos habitudes et vos tendances de base. Comme par exemple votre façon de penser, d’agir et de voir le monde. C’est une évaluation qui peut « vous aider à mieux comprendre qui vous êtes en tant que créateur ».

Pour passer le test, vous devrez répondre à 15 questions simples (et souvent abstraites) sur vous-même.

En fonction de vos réponses, le questionnaire vous assignera à l’un des 8 types : l’artiste, le penseur, l’aventurier, le fabricant, le producteur, le rêveur, l’innovateur ou le visionnaire.

Pour faire le test c’est ici !

Tendance dénichée par Olivier.


Coeur imprimé en 3D, la révolution médicale en marche 

web

Des chercheurs israéliens ont créé le premier cœur tridimensionnel ou imprimé en trois dimensions du monde en utilisant les cellules d’un patient. Les chercheurs de l’Université de Tel Aviv ont récemment annoncé la réussite de l’expérience.

Leurs conclusions ont été publiées dans la revue Advanced Science. Ils ont décrit l’expérience comme « une percée médicale majeure ».

C’est la première fois que des cellules humaines sont utilisées avec la technologie d’impression 3D.

Jusqu’à récemment, les scientifiques travaillant sur des méthodes médicales combinant la biologie et la technologie n’ont réussi à imprimer en 3D que des « tissus simples sans vaisseaux sanguins », selon l’équipe de recherche. Ce coeur imprimé a la taille d’un coeur de lapin, mais est déjà une révolution majeure.

On peut d’ores et déjà penser que dans un futur proche les patients qui ont besoin de greffes de coeur ou d’organes, passeront par les imprimantes 3D.

Tendance dénichée par Clément.


Les cryptomonnaies qui veulent vous redonner la foi

web

Les cryptomonnaies vont-elles sauver votre foi ? Quelques startups crypto ont vu le jour pour aider à sauver la religion ! Alors Christ Coin et Shekel Coin sont-ils là pour le salut ou juste pour un dollar ?

Christ Coin, Shekel Coin et HalalChain font partie d’une multitude d’entreprises qui investissent dans la crypto monnaie. 0x?, une religion créée par l’idée d’Augur (une plate-forme de marché de prédiction décentralisée construite sur la blockchain Ethereum). Matt Lister, va plus loin en créant un dogme religieux entièrement nouveau qui n’existe que sur la blockchain. En fait, il y a maintenant une longue liste d’entreprises qui cherchent à décentraliser la foi. Des sociétés musulmanes de cryptage qui font des crypto-compagnies adhérant aux écritures saintes. Ou encore Jesus Coin qui promet « d’externaliser le péché », et « fournit des miracles exclusivement aux propriétaires de Jesus Coins ».

Tous prétendent que certains des problèmes les plus importants de la religion sont solvables via la crypto monnaie. De ce fait la corruption, la perte de foi – peuvent être résolus grâce à un système décentralisé et de toute confiance.

Êtes vous prêts à vous élever spirituellement grâce au pouvoir des cryptomonnaies ?

Tendance dénichée par Thibaut.


Helvetica now, la refonte de la police mythique

web

Helvetica vient de recevoir la première mise à jour majeure depuis 35 ans. Ça s’appelle Helvetica Noew. Voilà  en quelques mots pourquoi vous devriez vous en soucier.

Neue Haas Grotesk, plus communément appelé Helvetica, est de loin la police la plus célèbre de tous les temps. La police est sortie pour la première fois en 1957. Elle fut une totale révolution se dressant au rang de référence de toutes les polices à venir.

Pour vous faire une idée de l’influence de l’Helvetica sur la typographie moderne, jetez un coup d’œil aux offres de Google et d’Apple.

Pour découvrir la police c’est ici !

Une idée de Paul.


Cet article vous a plus ? N’hésitez pas à le partager, et vous quelle est votre tendance de la semaine ?

DIGITAL

Revue de web by 50A #2

Chaque mardi matin à l’occasion de notre Tonic Tuesday nous partageons nos trouvailles. Tendances web, nouveaux outils, applications, méthodologies de travail ou inspirations. L’occasion d’approfondir notre culture numérique, de décrypter et commenter les dernières tendances. 

Nous vous retrouvons donc pour la deuxième revue de web ! (si vous ne l’avez pas lu voici la première revue).


Highbrow, éduquez vous par e-mail

Tendance web 50a

Que diriez-vous d’une newsletter inspirante ? Avec Highbrow oubliez les spams et les mails promotionnels que vous ne lirez jamais. Cette newsletter éducative va tout simplement vous permettre de vous cultiver 5 minutes par jour pendant 10 jours. Au menu philosophie, sport, marketing, histoire, développement personnel et mieux encore ! Vous avez l’embarras du choix, et c’est un des bénéfices du micro-learning.

Le micro-apprentissage de Highbrow vous permet de vous former et d’appliquer rapidement de nouvelles connaissances et compétences. Là où d’autres formes de formation se déroulent souvent en dehors du contexte quotidien, ou sont plus longs, rendant plus difficile l’application des connaissances à des objectifs spécifiques en cours d’emploi. Le micro-apprentissage permet aux apprenants de sélectionner et d’utiliser les ressources les plus adaptées à leurs besoins actuels par e-mail, rendant la formation encore plus adaptée à leur travail.

Alors convaincu ? Highbrow vous propose une période d’essai de 30 jours juste ici !

Tendance dénichée par Anna.


Error 404, l’erreur en design 

Tendance web 50a

Site evernote

Une page 404, si vous ne le savez pas, est un code de réponse standard en HTTP indiquant à l’utilisateur qu’il a cliqué sur un lien cassé. Si vous concevez un site Web, vous en aurez besoin. Les pages d’erreur 404 ont traditionnellement été une immense source de frustration, mais ces dernières années, les créateurs les ont utilisées comme une occasion d’injecter un « petit quelque chose » au site. On voit de plus en plus de pages sur mesure 404 utilisant l’humour ou de super UX pour ne pas vous décevoir et même vous surprendre !

Très bien fait, une page 404 peut devenir un mini-ambassadeur pour le site lui-même. Il peut même être partagé sur Twitter ou sur des blogs pertinents comme exemple de l’engagement du site envers le service à la clientèle ou d’un style de conception unique.

Pour découvrir les différents design de pages 404 et vous en inspirer c’est ici.

Tendance dénichée par Madeline.


40075, l’immersion musicale !

Tendance web 50a

Un voyage immersif pour découvrir des artistes musicaux du monde entier. Parce que la musique ne connaît pas de frontières, 40075 vous invite à faire un voyage mélodique dans un pays étranger, un tour du monde de musique porteuse d’émotions, d’histoires et d’énergies. Embarquez pour une tournée de découvertes à l’écoute des artistes du monde entier, un voyage de 40075 kilomètres.

 

Pour visiter le site c’est ici !

Tendance dénichée par Paul.


Placenote, les notes en réalité augmentée

Tendance web 50a

Placenote vous permet de créer des notes  en réalité augmentée en utilisant le cloud qui sauvegardent en permanence le contenu dans des lieux physiques, à l’intérieur et à l’extérieur. L’app n’utilise pas de GPS, de marqueurs ou de balises pour la géolocalisation. Au lieu de cela, il vous permet de numériser n’importe quel espace et de le transformer en un canevas intelligent pour le positionnement d’objets AR.

L’app est pour l’instant en version Beta, pour plus d’informations consultez leurs site ici.

Tendance dénichée par Olivier.

Belote A.I, quand la belote rencontre l’Intelligence Artificielle 

Tendance web 50a

Le comptage de points quand on joue à la Belote est souvent rebutant ! Belote A.I a donc pensé à vous ! L’objectif de l’app ? Vous scannez vos cartes de fin de partie grâce à la caméra de l’iPhone et vos points seront automatiquement calculés pour chacune des équipes.

C’est donc une manière ludique d’utiliser l’intelligence artificielle en vous amusant. Fini les casse-têtes de calculs faussés. Gagnez du temps et prenez du plaisir à jouer !

Pour télécharger l’app c’est ici.


Bepo, le clavier made in France

Tendance web 50a

Un clavier qui vous aide à faire moins de fautes d’orthographe ça vous dit ? Depuis 2015, l’organisme français de références pour les normes volontaires (AFNOR) porte le projet de ce clavier français. Le Ministère de la Culture ainsi que la Délégation générale à la langue française viennent de publier une nouvelle norme(NF Z71-300) concernant le clavier AZERTY définissant le placement des caractères pour la première fois. Selon le site « norme azerty«  la norme propose deux dispositions, dont l’une suit de près le clavier AZERTY majoritairement utilisé par les personnes parlant français. Le nouveau serait donc supérieur à l’ancien clavier car :

  • Il contient l’ensemble des caractères requis pour saisir du texte en français (par exemple É, œ et «)
  • Le clavier est conçu pour être plus ergonomique et permettre une saisie plus rapide sur le web.
  • Et il inclut presque 60 caractères supplémentaires pour la saisie de langues étrangères, de contenu technique, etc.

D’un autre côté le clavier BEPO propose un arrangement des touches basées sur une étude de statistique de la langue française. En gros tous les caractères de la langue française y sont représentés, et les lettres les plus fréquemment utilisées sont placées sur la rangée de repos. Selon le site BEPO « la frappe devient plus confortable ce qui réduit les risques de troubles musculosquelettiques. »

Pour le moment aucune obligation de changement de clavier n’est mise en place chez les constructeurs. Mais ces normes vont-elles pousser les Français à changer leurs habitudes ?

Tendance dénichée par Jérôme.


Les prairies, l’utopie eco-responsable

Tendance web 50a

« Les îles prairies » sont un projet associatif visant à proposer un nouveau mode de développement local et à l’accueil de nouveaux nomades. Ce projet en cours de réalisation, a pour mission de réunir tous types de publics. Ce projet d’îles prairies a pour but de mettre fin à l’éternelle diagonale du vide et recréer du lien au sein des territoires délaissés.

L’île a pour but d’être un endroit écologique et ouvert qui peut accueillir les concerts et les activités de loisirs possibles en extérieur. Elle permet de laisser la place à des modules annexes pour s’amarrer à l’Île.

L’idée a germé dans la tête de Guilhem Chéron, entrepreneur multifacette et créateur de la ruche qui dit oui. Pour en savoir plus sur ce nouveau projet innovant c’est juste ici !

Tendance dénichée par Nicolas.


Evan roth, Web is art

https://creative-capital.org/artists/evan-roth/

On a tendance à imaginer internet comme quelque chose de miraculeux et invisible nous permettant de mener à bien nos volontés. Pourtant nos connexions sont physiques et les câbles Internet sillonnent les océans. Devenue l’une des infrastructures les plus importantes au monde, ces câbles nous permettent d’interagir virtuellement en un clin d’oeil, et ré-inventent une cartographie sous-marine inconnue du plus grand nombre.

Evan Roth est un codeur autodidacte et surtout un pionnier du web collaboratif des années 90. Il a longtemps défendu un internet libre en se battant contre l’empire des géants du Web.  L’artiste a récemment lancé son exposition nommée Red lines. L’exposition nous dévoile des écrans interconnectés, diffusant des nature ou des lignes d’horizon au coucher du soleil. L’artiste a sillonné les quatre coins du monde à la recherche de sites côtiers à découvrir. États-Unis, Royaume-Uni, Argentine, Suède, Nouvelle-Zélande, Hong-Kong.

Tendance dénichée par Thibaut.


Le coup de coeur de l’équipe

Les oubliés de la butte : immersion dans le quotidien d’un bidonville.

Le 8 avril dernier était consacré à  la journée Internationale des Roms. Le secours catholique a tenu à rendre hommage à ce peuple opprimé à travers un web-reportage immersif. Le bidonville de la Butte de Montarcy, à Méry-sur-Oise, abrite une trentaine de familles roms. Tolérés par la mairie mais régulièrement déplacés, les habitants, isolés en pleine campagne sans eau ni électricité, tentent tant bien que mal de se stabiliser. Le bidonville de la Butte de Montarcy, à Méry-sur-Oise, abrite une trentaine de familles roms. Les habitants, isolés en pleine campagne sans eau ni électricité, tentent tant bien que mal de se stabiliser. Les aspirations ici sont simples : trouver un travail, un logement, nourrir les enfants et vivre dignement.

Pour écouter lire et regarder ce reportage cliquez ici, et augmentez le son !

DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

Top des applications santé

Il y a quelques semaines nous vous présentions notre top des apps de développement durable. Cette semaine place à la santé ! 
Tout le monde se soucie de sa santé à un moment ou à un autre. Alimentation, activités sportives, bien-être… Être en bonne santé est un défi tous les jours et ce  n’est pas toujours facile de se motiver seul. Heureusement, à l’heure de la digitalisation il existe de nombreuses applications sur les smartphones et les tablettes. Elles vous permettent donc de mesurer et analyser vos données personnelles, on parle aussi de Quantified Self pour vous aider à mieux vivre, à mieux manger et à faire de l’exercice plus souvent. La plupart des applications utiles sont soit des applications d’exercice, des applications de suivi des activités, ou une combinaison des trois.
 
Découvrez donc notre top des meilleures apps santés !

Croix rouge, l’appli qui sauve

santé

Depuis 2012 La Croix-Rouge française a lancé son app avec un but clair de vous permettre d’apprendre ou réapprendre  les gestes qui sauvent. L’app vous permet également d’apprendre à réagir lors de conditions catastrophe. Inondation, tempête, tremblement de terre, incendie…

Vous pouvez aussi passer à l’action via cette app !

  • Participez à une formation : recherchez les centres Croix-Rouge autour de vous et inscrirez-vous aux nombreuses formations de secourisme.
  • Devenez bénévole : découvrez les missions proposées par nos délégations, dans toute la France.
  • Faites un don à la Croix-Rouge française : les 10 000 secouristes bénévoles de la Croix-Rouge se mobilisent 24h/24 et secourent 60 000 personnes chaque année. Pour soutenir leurs actions, donnez !

Calm, inspirez et relaxez vous

santé

Vous vous sentez stressé, avez besoin de calme ou avez du mal à dormir ? Calm est fait pour vous ! Laissez-vous tenter par une expérience immersive grâce à 4 fonctionnalisées qui vous feront du bien.

Vous pourrez vous focaliser sur de la méditation pour vous aider à gérer votre anxiété, à réduire votre stress et à mieux dormir. Pour méditer Calm vous propose donc des musiques douces des conseils avec un coach. L’app vous aide également à mieux gérer votre sommeil , vous relaxer avec des exercices d’étirement et écouter de la musique relaxante pour dormir ou tout simplement vous relaxer.

Calm propose même un parcours utilisateur, hors de l’app, en créant des espaces de relaxations au sein des aéroports Américains.

DiabetoPartner, l’app pensée par et pour des diabétiques

santé

En France, en 2017, 3,7 millions de personnes prennent un traitement médicamenteux pour leur diabète (soit 5,4% de la population). Ce chiffre est en constante augmentation. Le manque d’informations autour de cette maladie, et le manque d’accompagnement des personnes malades a donné naissance à DiabetoPartner. L’application a été conçue par le laboratoire MSD France en partenariat avec la Fédération Française des Diabétiques. L’app propose :
• des conseils autour de l’alimentation et de l’activité physique
• Un suivi médical de votre diabète au quotidien en conseils (ex: diabète et voyage)
• des rappels pour la prise de médicaments
• Un carnet de suivi et vos bilans biologiques

Medipics, l’application médicale BtoB

Et si l’instagram de la médecine existait ? Medpics est une application mobile BtoB destinés aux professionnels de la santé. Le but de l’app ? Permettre aux professionnels (ou étudiants) de mettre en ligne des photos, poser des questions sur des difficultés rencontrées, ou encore commenter des cas cliniques postés par d’autres utilisateurs.

Afin de garder l’anonymat du patient chaque photo est validée par l’équipe de Medpics avant diffusion. Elles sont ensuite éditées afin de rendre les patients anonymes. Évidemment n’importe qui ne peut s’inscrire sur Medpics. Il faut au préalable justifier de son appartenance à la profession  (numéro d’ordre, répertoire partagé des professionnels de santé -RPPS-, Adeli, carte d’étudiant, …).

Véritable innovation dans le domaine, MedPics a reçu le trophée de l’application pour professionnels de santé de l’année 2017 décerné par DMD santé.

Tabac.io, mesurez vos résultats efficacement 

santé

Arrêter de fumer n’est pas chose facile ! Grâce à tabac.io arrêtez pour de bon et suivez vos avancés jours après jour afin de rester motivé. Renseignez vos informations et l’application calcule automatiquement l’argent économisé, l’espérance de vie gagnée, le nombre de cigarettes non fumées et plein d’autres informations.

Tabac.io vous propose même de partager vos objectifs avec vos amis pour renforcer votre motivation. Un véritable moyen d’ancrer la stratégie digitale au service de la santé.

Clue, suivi de cycle menstruel

santé

Clue vous permet de suivre votre période de règle et de fécondité. L’app prédit chaque mois les dates de vos prochaines règles, de votre syndrome Pré-menstruel (SPM), ainsi que les jours les plus favorables à la conception. Lorsque vous utilisez Clue, pendant vos périodes de règles vous avez la possibilité d’évoquer vos douleurs, émotions, poids, qualité de la peau et des cheveux, sommeil, exercice physique, énergie, envies et plus encore. C’est magnifiquement scientifique ! L’app vous permet également de vous informer sur des sujets variés (règles, sexualité, contraception, mst…)

Clue est une application intelligente, plus vous nourrissez les algorithmes de vos données, plus les prévisions sont efficaces ! L’app propose aussi un historique de vos derniers cycles pour observer plus facilement les tendances.

Clue propose également la garantie de ne trouver ni fleurs, ni papillons, ni euphémismes, ni rose – jamais. Des descriptions détaillées des événements de votre cycle menstruel, complétées de références médicales et scientifiques.

Nike training club, le sport à la maison

santé

Faites-vous partie des sportifs du dimanche s’inscrivant en salle de sports pour ne plus y aller au bout de cinq jours ? Pas de panique ! Avec Nike training, tout ce dont vous aurez besoin est un tapis de sport et quelques accessoires. Nike a mis au point cette application de sport convenant à tous les niveaux, allant du novice au plus sportif. Cardio, pilates, yoga, endurance, running, l’app vous propose un large panel d’activités allant de 5 à 30 minutes.

L’app vous propose même de vous entrainer avec les sportifs les plus connus : Christiano Ronaldo, Serenna Williams etc…

Centré autour du partage, Nike training se démarque des autres applications de fitness en s’appuyant sur l’aspect communautaire de sportifs. Comme un réseau social vous pouvez ajouter des amis, partager vos exercices ou vos temps…

Doctissia

Doctissia est une app qui va vous permettre de numériser votre carnet de santé !

Cette appli vous permet de rassembler l’ensemble des informations de santé, les contacts des différents interlocuteurs médicaux, et même de garder en mémoire des documents comme des radios ou des ordonnances.

Les fonctionnalités de cet app sont centrées autour du répertoire de santé, les rendez-vous avec son/ses spécialiste et le carnet de santé. Préparer ses RDV santé de manière idéale pour optimiser la prise en charge (diagnostic, thérapeutique, préventive, administrative) par un professionnel de santé n’est plus un casse-tête.

En renseignant facilement votre dossier santé la fonctionnalité en cas d’urgence intègre vos contacts d’urgence et s’avérera extrêmement précieuse pour une prise en charge dans l’urgence.

Alertes pollen

Le printemps est de retour et ce n’est pas un moment de joie pour tous ! Les allergies au pollen sont donc de plus en plus présentes, et le domaine du digital se s’occupe désormais des problématiques de santé. L’app va vous permettre d’y voir plus clair. Mis en place par le laboratoire Stallergenes Greer Alertes pollen va vous aider à vivre votre allergie sans vous enfermer !

Consultez les alertes du Réseau National de Surveillance Aérobiologique (RNSA) et suivez quotidiennement la qualité de l’air, la météo, et le taux de pollens. En personnalisant l’app vous aurez la possibilité de sélectionner 5 pollens et 5 départements favoris.

La santé connectée By 50A

La santé connectée est apparue dès les années 90 et a chamboulé notre rapport au soin, que ce soit en tant que patient ou en tant que médecin. Nous sommes en effet acteurs de notre propre santé, on parle de « self-management ». Réalisé avec Uwé Diegel, CEO de LifeInA, une start-up spécialiste du suivi du diabète connecté et du transport sécurisé de médicaments, il nous livre sa version de la transformation numérique de ce secteur.
Listen to « Épisode 4 : la transformation numérique de la santé » on Spreaker.

DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

La transformation digitale (2e partie)

Voici la seconde partie de notre dossier concernant la transformation digitale. Nous allons vous présenter les étapes nécessaires pour l’implémenter au sein de votre entreprise. Pour rappel la première partie de notre article ici.

 


La transformation digitale en quelques chiffres

Quelques chiffres clés pour comprendre les enjeux de la transformation digitale en France :

  • « 56% des entreprises voit la transformation digitale comme une opportunité.
  • 53% des salariés affirment que leurs entreprises sont actives dans la transformation digitale. 
  • 22% sont en phase de transformation.
  • 40% de ceux l’ayant fait voient une forte amélioration de leurs résultats.
  • 44% estiment gagner en opérationnelle. »

On peut donc dire que la transformation digitale au sein des entreprises françaises est en marche.

La recette gagnante

  • La Vision des dirigeants
  • L’utilisation de la data
  • Une organisation horizontale
  • La mesure de l’impact de vos actions

La plupart des startups  la maîtrise parfaitement cette recette, tout comme les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) ou les BATX (Baïdu, Alibaba, Tencent, Xiaomi).

L’exemple des startups

Businessman riding a unicorn with start up flag in his hand

Les startup sont l’exemple parfait de la transformation digitale. La transformation du numérique a créé des défis et des opportunités économiques uniques. Les startups répondent souvent à un besoin en détectant le caillou dans la chaussure ou le trou dans la raquette comme on dit ! Elles exploitent les failles laissées par les entreprises plus « traditionnelles » qui n’ont pas encore appréhendé ou dompté les défis imposés par la transformation numérique. Dotées d’un ADN numérique elles mettent en pratique la fameuse recette décrite ci-dessus en proposant une expérience utilisateur fluide et efficace qu’elles optimisent sans cesse.

Les start-ups sont partout de nos jours, dans tous les secteurs, et c’est un fait. Il suffit de prendre l’exemple des licornes : « La licorne » est une entreprise privée qui atteint une valeur de 1 milliard de dollars. Appelées de la sorte pour leur rareté. Avant l’émergence du cloud computing, en moyenne quatre naissaient chaque année. Au cours des cinq dernières années, plus de 200 d’entre elles ont atteint ce jalon. Plus important encore, dans le passé, il fallait compter 20 ans pour qu’une entreprise atteigne cette valeur. Aujourd’hui, il faut seulement six ans en moyenne pour passer du stade de la création à celui de la licorne. N’oublions tout de même pas la réalité, beaucoup échouent et la création d’entreprise n’est pas seulement une histoire de spéculation financière. Ce que nous trouvons intéressant dans ce schéma économique c’est l’énergie force créative et la scalabilité des entreprises.

Alors, par où commencer ? 

Transformaiton digitale

 

Afin de mener à bien votre transition, voici 6 étapes clés :

1 – établir le nouveau processus opérationnel 

La transformation digitale commence par une redéfinition des processus d’affaires existants. Il peut s’agir d’opérations entières ou de quelque chose de très minutieux comme l’optimisation du mécanisme de rétroaction des clients. En tant que DSI, il peut être difficile de changer un processus qui fonctionne bien pour une entreprise depuis des années. C’est le problème fondamental de la transformation digitale qui nécessite de prendre des risques calculés. Vous aurez besoin d’analyser les marchés et les données internes de l’entreprise pour découvrir les processus qui ont un potentiel d’optimisation.

2 – Identifier les technologies clés

Bien que de nombreuses technologies récentes connaissent une croissance et une adoption rapide de la part des utilisateurs, cela ne signifie pas que vous aurez besoin de toutes les utiliser dans votre entreprise. Le choix de la technologie dépend du processus que vous essayez d’optimiser. La technologie, en fait, n’est qu’un moyen de soutenir votre idée. Les individus sont souvent submergés par les technologies modernes et essaient de les mettre en œuvre dans leurs processus d’affaires actuels. L’accent doit être mis sur la recherche des technologies qui correspondent bien à vos objectifs d’affaires ainsi qu’à une mise en œuvre efficace.

3 – Déchiffrer le paradigme de l’innovation

Lorsque vous débutez votre chantier de transformation digitale, il est très peu probable que vous trouviez la bonne solution dès le premier essai. Même si vous trouvez une bonne adéquation, vous aurez besoin d’un mécanisme pour mettre en œuvre et implémenter facilement de nouvelles innovations à l’avenir. Pour ce faire, l’entreprise doit passer d’une hiérarchie managériale traditionnelle à un engagement accru des équipes. Cela passe par la pédagogie active tout en insufflant de nouvelles méthodes qui favorise le travail collaboratif et l’intelligence collective.  Cela consiste à redéfinir la culture d’entreprise pour créer un environnement dynamique propice à l’échange et aux changements.

4 – S’appuyer sur l’innovation ouverte et vos collaborateurs

Pour mettre en œuvre des technologies novatrices, vous aurez besoin de personnes compétentes et dynamiques qui sont prêtes à transformer les idées en un plan réalisable. Sans expert compétent en IT, il sera difficile de mettre en œuvre des technologies novatrices. Vous pouvez externaliser ce travail en partenariat avec des sociétés  expertes et compétentes du secteur. L’avantage de cette approche est que vous économiserez les frais de recrutement et de formation et serez en mesure de passer d’une stratégie à l’autre. On parle d’innovation ouverte.  Même lorsque vous externalisez le projet, vous vous appuierez sur une équipe interne afin de diffuser cette culture, insuffler ces changements et les mettre en œuvre au sein de l’organisation. C’est en quelque sorte vos ambassadeurs, éléments fondamentaux de cette mutation !

5 – Définissez une feuille de route

Maintenant que vous savez ce que vous devez faire, il est temps de définir la feuille de route pour l’exécution. La mise en œuvre complète doit être effectuée en plusieurs phases. De préférence, vous pouvez tester votre hypothèse sur une petite échelle avant de déployer votre plan. Chaque phase d’exécution doit se terminer par une étape de réduction du risque, c’est-à-dire une réalisation qui montre que le risque d’exécution est réduit. Obtenir l’approbation de la direction, réaliser des interviews utilisateurs, solliciter vos fournisseurs sont de bons exemples de jalons d’atténuation des risques.

6 – Mesurez vos indicateurs de performance

Un plan est incomplet sans objectifs. Pour mesurer l’efficacité de votre plan, vous devrez établir des indicateurs de rendement clés (KPI). Ces paramètres démontrent l’efficacité du plan et vous guideront également dans la prise de décision future. Vous devrez vous fixer des objectifs mesurables et atteignables, assortis d’un chiffre clair et réalisable ainsi que d’un calendrier. Ces objectifs optimiseront l’ensemble de l’exécution et veilleront à ce que l’équipe ne les perde pas de vue.

Une fois que vous avez terminé toutes les étapes de la transformation digitale, il est temps d’itérer. Il est important que vous mettiez régulièrement à jour votre stratégie en fonction des conditions du marché et des résultats. Vous devrez continuellement faire pivoter votre stratégie jusqu’à ce que vous trouviez les technologies et les processus appropriés.

Vers une organisation horizontale

Transformaiton digitale by opinionway

Étude opinionway « où en sont les entreprises françaises dans leur transformation digitale ? »

L’utilisation des outils les plus récents et l’exploitation optimale des données impliquent une évolution significative des entreprises. La réparation des imprimantes et des postes de travail appartient au passé. L’automatisation signifie que ces tâches sont devenues le rôle des logiciels et des robots. Un département informatique moderne qui échange avec le département marketing et le département RH est la recette gagnante du changement. C’est en quelque sorte le pilier du fondement dans une entreprise mature. Fournir un modèle pour l’adoption rapide de ces nouvelles pratiques et la visualisation des données est essentielle pour devenir une entreprise numérisée efficace.

Les technologies qui permettent la transformation digitale de toute entreprise comprennent, entre autres : l’intelligence artificielle, l’apprentissage machine, la robotique, l’Internet des objets et évidemment l’analyse de toutes les données. Casser les silos entre unités de business ou départements plus traditionnels est vital !

Placer l’humain au coeur de la technologie

Avec la révolution digitale, les organisations voient naître de nouvelles exigences de la part des clients mais aussi de la part de leurs salariés.  Voici 4 axes fondamentaux pour mener à bien votre stratégie :

1. Accélérer son innovation rapidement :

  • Les impacts pour l’entreprise :
    • Nouveaux produits / concepts
    • Outils plus efficaces
    • Cercles de réflexion
  • Les nouveaux usages
    • Un échange avec les clients et partenaires à travers une plateforme numérique dédiée

2. Réinventer l’expérience et la proximité clients/partenaires

  • Les impacts pour l’entreprise :
    • Plus de réactivité et d’agilité face aux demandes
    • Produits d’excellente qualité
    • SAV amélioré
  • Les nouveaux usages
    • Une plateforme d’échange de documents, de services en ligne avec les écosystèmes clients / partenaires

3. Mobiliser vos collaborateurs

  • Les impacts
    • Grande autonomie des collaborateurs
    • Décloisonnement des services
    • Supression des tâches à faible valeur ajoutée
  • Les nouveaux usages
    • ATAWAD “Any time, anywhere, any device”

4. Devenir parfaitement opérationnel

  • Les impacts
    • Renforcer la valeur créée pour les clients
    • Augmentation de la rentabilité
    • Accélérer la croissance
  • Les nouveaux usages
    • Plateforme pour simplifier les processus internes, dématérialiser les procédures internes et externes.

L’outil Google pour une transition réussie

 

Google a récemment lancé un nouvel outil dédié aux entreprises souhaitant évaluer leurs degrés de maturité numérique. En partenariat avec l’agence Boston Consulting Group, un questionnaire de 50 questions vous permet de comprendre et analyser les points à améliorer au sein de votre organisation.

À la fin du questionnaire, Google propose donc des pistes de réfléxion ainsi qu’une feuille de route pour pouvoir progresser. Vous pouvez le tester ici.

L’expertise  50A

Nous vous proposons d’écouter notre podcast via lequel nous décryptons la transformation numérique d’un secteur d’activité.

Depuis 2004, l’agence digitale 50A propose son savoir-faire autour de 3 expertises :

50A est un lieu d’innovation où l’on travaille sur les nouveaux usages technologiques, humains et entrepreneuriaux parce que chaque personne est le maillon d’une réflexion. Son souhait : être un acteur du changement et remettre l’humain au coeur de la technologie. Si vous souhaitez aborder avec nous la transformation numérique de votre entreprise, contactez notre agence web !

DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

Top des app de développement durable

En cette journée mondiale de l’eau l’équipe de 50A souhaite vous sensibiliser au travers de ce top des app de développement durable. Face à l’urgence climatique, se responsabiliser au quotidien devient peu à peu la nouvelle norme. Malgré ces nouvelles habitudes à prendre il peut être difficile d’avoir le déclic qui nous éloigne de mauvaises habitudes.

Bien sûr, avoir un smartphone n’est pas forcément une bonne utilisation des ressources de la planète. Mais vous pouvez l’utiliser pour en apprendre davantage sur la façon de recycler efficacement et d’apporter de petits changements à votre mode de vie.
Nous avons rassemblé 6 applications gratuites qui vous aideront à améliorer le monde, une étape à la fois ! 

Planet ocean, connaître et consommer du poisson durablement

 

Lancée par la fondation environnementale GoodPlanet et dirigée par Yann Arthus-Bertrand, l’application « Planet Ocean » inspirée par le film du même nom va vous permettre de redécouvrir la mer, ses profondeurs et ses innombrables espèces de poissons… mais pas seulement.

L’app est à la fois pédagogue grâces à des fiches d’information sur les différentes espèces de poissons, coquillage, et crustacés peuplants mers et océans. Elle est aussi pratique car elle prodigue des conseils désirés à la consommation, mais également des conseils pour les pêcheurs.

Planet ocean vous permet de connaître l’état de peuplement de chaque espèce par zone ou encore les techniques de pêche employées. Indispensable si l’on veut consommer durablement et ainsi éviter de participer à l’extinction des espèces de poissons en voie de disparition !

Pour découvrir l’app et la démarche

90 jours, changer jours après jours

Les apps pour vous coacher sont très en vogue en 2019 ! Chaque jour, comme un coach pour se mettre au sport où pour arrêter de fumer, 90 jours vous donne un défi sur mesure pour vous aider à changer facilement et durablement votre quotidien.

Pour compléter votre transition écologique, l’app vous questionne premièrement sur votre niveau de motivation à travers un petit questionnaire. Vos réponses génèrent donc un premier défi sur mesure durant 90 jours. Une fois que vous avez complété un défi, l’app vous en propose d’autre.

Le petit plus de 90 jours est que ces nouvelles habitudes prises perdurent dans le temps. L’exemple des taches proposées : le calendrier des fruits et légumes de saison sur votre frigo, changer votre fournisseur d’électricité, ou encore d’identifier les produits contentant de l’huile de palme…

Et si vous êtes du genre à vite vous décourager, 90jours propose un Panic Button sur lequel vous pouvez appuyer à tout moment pour être remotivé.

La toute nouvelle version vous permet désormais de :

  • construire votre parcours sur mesure pour chaque utilisateur, en prenant en compte le profil. (âge, lieu de résidence, type de logement). Mais aussi des données de contexte (période de l’année, jour de la semaine, etc.
  • Suivre des défis collectifs, pour découvrir la puissance du mouvement.
  • Un accompagnement sur mesure pour apprendre à protéger votre vie privée dans l’usage d’internet.
  • Un pas-à-pas pour réduire sa consommation de viande.
  • Des suggestions de films et de lectures pour accompagner votre transition.
  • Un calendrier des fruits et légumes de saison intégré à l’application.

Pour découvrir l’app

To good to go, l’appli anti gaspillage

Des tonnes de nourriture sont perdues tout au long de la chaîne alimentaire, du champ à l’assiette. Et ce ne sont pas juste les aliments qui sont gaspillés, mais toutes les ressources qui ont permis leur production : de l’eau aux terres cultivables, en passant par le travail, l’énergie et tout le reste. Ce sont toutes ces raisons qui rendent le gaspillage alimentaire responsable de 8% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde.

Le principe de Too Good To Go est simple. Vous récupérez un panier surprise composé d’invendus du jour en venant le chercher chez des commerçants. Du restaurant hype,  boulangerie, ou supermarché du coin vous avez l’embarras du choix ! Les paniers-repas sont des produits frais que les commerçants ne peuvent plus vendre le lendemain : plats du jour, viennoiseries. On ne connait pas le contenu des paniers à l’avance, mais ils sont à moindres coûts et vous contribuez en même temps à la réduction du gaspillage !

Pour découvrir l’app

WAG


On vous en parlait dans notre dernière revue de web. We act for good est une application qui a été lancée par l’association WWF.

WAG est une application simple d’utilisation. Elle vous permet à travers des défis, des conseils et astuces à propos de votre alimentation, votre mode de transport, d’énergie etc…

L’app vous propose donc un programme sur-mesure ? L’utilisateur (Wagueur) est invité à relever des thématiques au quotidien. En naviguant dans l’application, l’internaute choisit alors un sujet qui l’intéresse, ouvre la fiche d’un premier défi, comprend pourquoi c’est important de le faire et s’engage à l’action !

Pour découvrir leurs actions 

 

Guide du tri

Il est parfois fastidieux de savoir comment bien trier ses déchets. Guide du tri vous permet de faciliter le tri au quotidien ! Le Guide du Tri est conçu comme un moteur de recherche. Saisissez le nom ou la marque d’un emballage que l’on souhaite jeter. Autre atout la géolocalisation. Les consignes de tri sont en totale phase avec votre environnement et vous donnent des points de collecte les plus proches de chez vous. Le tri devient donc optimal !

Pour découvrir l’app

Yes We Green, le city guide écolo
YesWeGreen est un City guide collaboratif pour vous aider à trouver des adresses Vivre Green et Consommer Local. Leur philosophie : améliorer son mode de vie au quotidien en consommant local !

Des restaurants où déguster des plats mitonnés avec des produits locaux, des FabLabs où bricoler soi-même ses objets décos ou créations les plus folles, des vêtements ou meubles upcyclés de créateurs, des endroits où acheter son joli vélo vintage ou apprendre à en resserrer les freins et plein d’autres pépites comme des spots de sieste, des lieux de pétanque, des jardins partagés…

C’est avec eux que vous allez vivre de nouvelles Green Expériences !

Lancez vous !

En espérant que notre article vous aura plu n’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires !

Si vous souhaitez plus d’informations sur nos prestations, contactez notre agence digitale !

DIGITAL EVENEMENTIEL LES CONTRIBUTIONS TRANSITION NUMERIQUE

Revue de web by 50A #1

Chaque mardi matin à l’occasion de notre Tonic Tuesday nous partageons nos trouvailles : tendances web, nouveaux outils, applications, méthodologies de travail ou inspirations. L’occasion d’approfondir notre culture numérique, de décrypter et commenter les dernières tendances. 

Chaque mois, vous retrouverez donc notre sélection ! 

 


Hourly, l’application de timesheeting

Revue de web by 50a

« Time sheeter » ou noter son temps est primordial lorsque l’on travaille. C’est la base de tout lorsque l’on vend du temps à nos clients. Hourly est une app qui permet de lancer un chronomètre dès que l’on commence une tâche un travail. L’application, très graphique permet de facilement se rendre compte du temps consacré aux différents projets. Très efficace pour l’efficacité et lutter contre la procrastination. À la différence d’un chronomètre classique, il faut noter la tâche que l’on effectue lorsque l’on lance le chronomètre (possibilité d’en lancer plusieurs en même temps).

http://hourly-app.com/

Tendance dénichée par Olivier


Flutter, la conception d’applications multiplateformes

Revue de web by 50a

Flutter, le framework de Google permettant de concevoir des applications multiplateformes pour Android et iOS. Aujourd’hui Flutter se fait connaître pour sa capacité à concevoir des applications natives multiplateformes pour Android et iOS (Windows/Mac/Linux sont également supportés).

Google a opté pour Dart comme langage de programmation, faisant ainsi revivre cette technologies tombée (presque) dans l’oubli. Depuis 1 an l’application prend de l’ampleur, notamment grâce à sa version Release Preview en juin 2018 et sa mise à jour en septembre. À suivre de près…

Application dénichée par Clément


Coach me, atteignez vos buts personnels

Coach.me est une app qui va vous permettre de vous fixer un ou plusieurs buts à atteindre. Qu’est-ce que cette app a de différent ? Coach.me va vous permettre d’être encouragé et conseillé par des coachs et des membres de l’application. Parmi les tâches proposés le programme est varié : développement personnel, perte de poids, bonheur et relations, apprentissage d’une compétence, productivité ou défi à relever. Le tout sur une période à déterminer, et avec la possibilité de se faire rappeler fréquemment ses engagements.

La communauté d’utilisateurs vous conseille sur les bonnes méthodes à adopter, et l’enregistrement de vos performances vous permet de battre vos records.

Des félicitations encouragent aussi l’utilisateur à chaque objectif atteint. Un système payant de coaching individuel peut même pousser les plus déterminés à tenir leur cadence.

https://www.coach.me/

Outil déniché par Nicolas.


Livre « it doesn’t have to be crazy at work »

Revue de web by 50a

Un peu de lecture ! Écrit par le créateur de basecamp Jason Fried et son associé David Heinemeier Hansson, It doesn’t have to be crazy at work vous prodigue des conseils pratiques et positifs à adapter au travail.

La problématique du livre : comment construire une entreprise « calme » en suivant quelques règles simples.
225 pages, 66 thèmes = 3 pages par thème. Le but de cet ouvrage ? Démonter les stéréotypes liés aux startups et prouver que pour réussir il n’est pas nécessaire de travailler 80 heures par semaine.

Tout est une question d’organisation et d’efficacité. Cela passe par du calme et des règles simples à respecter. À l’agence nous travaillons ensemble pour appliquer certaines règles et optimiser notre temps afin de mieux servir le client.

Livre déniché par Thibaut.


Synomya, la data au service des entreprises

 

Revue de web by 50a

Élue comme l’une des huit startups Data clés pour l’année 2017 par Maddyness et le Hub Institute, Synomia est une agence de conseil spécialisée dans la data marketing et la création de stratégies innovantes pour aider les entreprises à atteindre leur croissance projetée.

Grâce à sa plateforme SaaS Tile, Synomia analyse facilement et simplement la demande du marché établie par des conversations ouvertes sur les forums, le web, les médias sociaux, les sondages et les sondages. Cela permet à Synomia de tirer des enseignements qui servent à définir la plate-forme de chaque marque et les stratégies de communication multicanaux, à mettre en évidence les opportunités de croissance du marché et à améliorer la satisfaction des clients.

https://www.synomia.fr/

Outil trouvé par Jérôme.


Nike, l’engagement, nouveau crédeau des marques

Depuis quelques années les publicistes prennent la route de l’engagement social et politique. De ce fait on voit de plus en plus de campagnes au storytelling inspirant et aux messages politisés. (Gilette, Patagonia..)

La semaine dernière la nouvelle Nike a dévoilé sa nouvelle campagne, en partenariat avec la célèbre tennis-woman Serenna Williams célèbrant les femmes et le sport.

Nike n’en est pas à son premier coup d’essai avec les publicités politiquement ou socialement engagées rappelez-vous de la campagne des 30 ans de la marque « Just fo it ». Le PDG de Nike, Mark Parker, affirme que sa publicité controversée mettant en vedette le quart-arrière de la NFL, Colin Kaepernick, a suscité un  » record ». Cette publicité a contribué à stimuler les ventes.

                  « Le marketing ne consiste plus à fabriquer , mais à raconter des histoires. »

                                                                                 Seth Godin

Est-ce donc pour nike un moyen de se positionner comme une marque féministe ou est-ce un cas de women washing ? De toutes évidences Nike clame haut et fort son habileté à taper juste avec des images puissantes.

Tendance dénichée par Anna


Tympanus, intéractivité is the key

Revue de web by 50a

Ce site interactif nous dévoile plusieurs portraits sous forme de particules. Lorsque l’on passe notre souris sur les portraits, tout s’anime. C’est un bon moyen de garder l’utilisateur sur le site et l’encourage à continuer à naviguer dessus.

À découvrir sur https://tympanus.net/Tutorials/InteractiveParticles/

Site déniché par Paul


Flint, le robot aux newsletter personnalisées

Revue de web by 50a

Flint est votre robot personnel. Le but de ce robot est de vous proposer une newsletter personnalisée avec des articles de qualité et de vous surprendre dans vos lectures ! Avec Flint votre nouvelle profession : « éleveur de robots ». Créé par le journaliste et entrepreneur Benoît Raphaël, les bots deviennent indispensables.

Flint, une newsletter quotidienne dont les articles sont sélectionnés par des bots, sous forme d’intelligences artificielles entraînées et influencées par des experts et des communautés. Chaque jour Flint lit des milliers d’articles et vous envoie une sélection d’articles personnalisée dans une newsletter.

Élevez votre bot sur https://flint.media/

Outil déniché par Madeline


We act for good, le coup de coeur green de 50A

We act for good est une application qui va bouleverser votre quotidien. Aujourd’hui 87% des Français se sentent concernés par les problèmes environnementaux. On assiste à un véritable engouement dans le changement d’habitudes, et cela passe aussi par les app !

WAG est une application simple d’utilisation. Elle vous permet à travers des défis, des conseils et astuces à propos de votre alimentation, votre mode de transport, d’énergie etc…

L’app vous propose donc un programme sur-mesure ? L’utilisateur (Wagueur) est invité à relever des thématiques au quotidien. En naviguant dans l’application, l’internaute choisit alors un sujet qui l’intéresse, ouvre la fiche d’un premier défi, comprend pourquoi c’est important de le faire et s’engage à l’action !

https://telecharger.weactforgood.com/


Les Tonic Transition

Une fois par mois, nous vous ouvrons les portes de l’agence afin d’interagir ensemble sur les nouvelles pratiques à connaître et à exploiter afin de toujours mieux performer.

Le principe est simple : dans le cadre de ses sessions Tonic transition, nous vous présentons et vous sensibilisons aux sujets d’actualité de l’économie digitale et de la transformation numérique de 8h30 à 10h30.

À travers quatre thématiques réparties entre mars et novembre vous pourrez assister à des ateliers sur les thèmes de l’hygiène numérique, la cyber sécurité, l’open innovation et l’inbound marketing.

Nos Tonic Transition se déroulent de la manière suivante :

5 minutes : 3 mots-clés pour se présenter
20 minutes : Présentation du sujet par l’intervenant
20 minutes : Présentation des ateliers co-design en lien avec les ateliers 50A
10 minutes : Questions-Réponses

Pour vous inscrire c’est ici (et c’est gratuit !).

En espérant que cet article vous aura plu et convaincu de tester nos trouvailles ! N’hésitez pas à nous envoyer vos remarques en commentaire.

Si vous avez plus de questions n’hésitez pas à contacter notre agence digitale.

DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

Portrait de 5 femmes inspirantes – 8 mars

En cette journée mondiale des droits de la femme 50A vous propose un article spécial sur des femmes innovatrices ou pionnières dans leurs domaines.

Depuis ses débuts, Internet s’est voulu être un espace d’égalité et d’échanges. Les créateurs et les internautes se sont nourris d’une culture du “cool”, de l’échange et du gratuit, inspirés par les hippies. On peut se demander comment elle s’est manifestée sur Internet, cette nouvelle plateforme créée par des gens pleins de volonté de satisfaire ce qu’il ne retrouvait pas dans la réalité : un espace créatif et égalitaire.

Aujourd’hui encore, Internet compte des figures féminines influentes qui façonnent le monde des nouvelles technologies.

Focus sur celles qui étaient là au début, ou qui nous inspirent aujourd’hui…

Katherine Johnson 

Katherine Jackson est une physicienne, mathématicienne, et ingénieure spatiale afro-américaine née en 1918 dans l’État de Virginie-occidentale. Génie des mathématiques, elle se passionne très tôt. À l’âge de 14 ans obtient son bac, et est diplômé en mathématiques en 1934 à l’âge de 18 ans seulement.

Après l’obtention de son diplôme de mathématiques elle devient enseignante. En 1950 Jackson se lance dans une carrière de chercheuse en mathématiques. À cette époque ce domaine est peu accessible aux femmes et surtout aux femmes. Deux ans plus tard elle postule à un poste au Centre de recherche de Langley pour la NASA.

De 1953 à 1958 elle travaille comme calculateur humain. Jackson se spécialise ensuite en tant que technologue en aérospatiale. Elle participe aux calculs de trajectoire des premières missions envoyant un homme en orbite (Mercury-Atlas 6). Katherine aide à préciser les trajectoires entre le module de

commande du module lunaire Apollo quand il remonte de la surface de la Lune.

Elle quitte la NASA en 1986 à l’âge de 67 ans. En 2015 elle reçoit la médaille de la postérité remise par Barack Obama. Un centre de recherche informatique a été inauguré à son nom à Hampton dans l’État de Virginie.

Un livre et un film adaptée de l’histoire des femmes noires sortie en 2017 racontent son histoire « les figures de l’ombre.

 

Alice Recoque

Informaticienne française, Alice Recoque est à l’origine de plusieurs projets d’intelligence artificielle. Ses compétences reconnues dans ce domaine font d’elle une interlocutrice de choix pour de nombreuses Commissions de recherches.

Voici son parcours professionnel en quelques dates :

Alice Recoque, née en 1929 est une des premières Françaises de la communauté scientifique à s’intéresser à l’informatique. Diplômée de l’ESPCI, elle est embauchée rapidement la Société d’électronique et d’automatisme (SEA) qui construit les premiers ordinateurs. Pendant son activité à la SEA elle participe au développement d’une des premières machines permettant les interactions conversationnelles, le mini-ordinateur CAB500.

Suite à l’absorption de la SEA par la Compagnie Internationale de l’Informatique (CII) Alice Recoque tente de mettre en place des projets informatiques ambitieux. L’un de ses projets, donnera naissance à la gamme Mitra, considéré comme le premier ordinateur de la CII. Suite à ce projet elle est nommée responsable recherche et développement de la division « petits ordinateurs et système associés.

En 1978, elle alertait déjà la CNIL de ses inquiétudes face au « « le pouvoir de surveillance accru des entreprises et des États ».
4 ans plus tard Alice Recoque est nommée membre de la commission d’informatique  du Comité national de la recherche scientifique. Elle est désignée pour écrire le chapitre sur l’architecture des ordinateurs dans la publication de références Techniques de l’ingénieur du CNRS.

Quelques années plus tard, elle est recrutée par le groupe Bull pour prendre la direction de la mission « Intelligence Artificielle ». Lors de sa mission elle permet notamment le développement d’un programme appelé Prolog qui permet aux logiciels et ordinateurs de comprendre le langage naturel. Alice Recoque est régulièrement conviée aux commissions liées à l’intelligence artificielle. Elle participe, par exemple à l’évaluation du projet de traduction automatique Eurotra de la Commission Européenne.

 

Birgitta Jónsdóttir

Birgitta Jónsdóttir est une femme islandaise activiste, poète, écrivain, artiste et éditeur.

Membre du parlement islandais depuis 2009, elle a fondé entre autres le Parti pirate en 2012 qui vise une réforme démocratique et dépasse les clivages gauche/droite.

Spécialisée dans la législation du 21ème siècle, elle se concentre sur la démocratie directe, la liberté d’expression, l’information et la vie privée numérique.

Porte-parole de plusieurs groupes dont WikiLeaks elle utilise activement Internet pour relayer ses différents combats. Présidente de l’IMMI (International Modern Media Institute) elle présente en 2010 une résolution parlementaire dans le but de faire de l’Islande un havre de paix pour la liberté d’expression, l’information et la vie privée numérique.

En 2016 elle rencontre en compagnie deLawrence Lessig, Edward Snowden en Russie sur une initiative de ARTE : Meeting Snowden

« From the Towers, from the planes, Love, and again, Love. »

 

Grace Hopper

Grace Hopper, née le 9 décembre 1906 à New York et est décédée le 1er janvier 1992 à Arlington. C’est une mathématicienne mais aussi vice-amiral de la marine américaine. Elle a été pionnière dans le développement de l’informatique. Elle a notamment participé à la création des premières applications navales.

Elle a enseigné les mathématiques à Vassar avant de rejoindre la réserve navale en 1943. Elle est devenue lieutenante et a été affectée au Bureau of Ordnance’s Computation Project de l’Université Harvard (1944), où elle travaillait sur Mark I, la première calculatrice automatique à grande échelle et un précurseur des ordinateurs électroniques. Elle est demeurée à Harvard à titre de boursière de recherche civile tout en poursuivant sa carrière navale à titre de réserviste. Après qu’un papillon de nuit se soit infiltré dans les circuits de Mark I, elle a inventé le terme  » bug  » pour désigner les pannes informatiques inexpliquées.

En 1949, Hopper se joint à Eckert-Mauchly Computer Corp. où elle conçoit un compilateur amélioré qui traduit les instructions d’un programmeur en codes informatiques.

En 1957, sa division a développé Flow-Matic, le premier compilateur informatique de langue anglaise. Elle a pris sa retraite de la marine avec le grade de commandant en 1966, mais elle a été rappelée au service actif l’année suivante pour aider à normaliser les langages informatiques de la marine. À l’âge de 79 ans, elle était l’officier le plus âgé en service actif dans la marine américaine lorsqu’elle a de nouveau pris sa retraite en 1986.

Hopper a été élu membre de l’Institute of Electrical and Electronic Engineers (1962), a été nommé premier Homme de l’année en informatique par la Data Processing Management Association (1969), et a reçu la National Medal of Technology (1991). Elle a reçu à titre posthume la médaille présidentielle de la liberté en 2016.

 

Hedy Lamarr

Née en 1914 à Vienne puis naturalisée américaine, à la fois actrice, productrice de cinéma et inventrice, Hedy Lamarr de son nom de naissance « Hedwig Eva Maria Kiesler » a marqué l’histoire scientifique des télécommunications en inventant en 1941 avec le compositeur George Antheil, la « technique Lamarr », un système de codage des transmissions par étalement de spectre, ancêtre des techniques toujours utilisées actuellement pour les liaisons chiffrées militaires, la téléphonie mobile ou la technologie Wi-Fi.

Ce système secret de communication est applicable aux torpilles radio-guidées, qui permettait au système émetteur-récepteur de la torpille de changer de fréquence, rendant pratiquement impossible la détection de l’attaque sous-marine par l’ennemi. Ce principe de transmission (étalement de spectre par saut de fréquence) est toujours utilisé pour le positionnement par satellites (GPS, GLONASS…), les liaisons chiffrées militaires, les communications des navettes spatiales avec la terre, la téléphonie mobile ou dans la technique Wi-Fi.

Lamarr s’était intéressée aux technologies de divers armes, comme les systèmes de contrôle de torpilles, lorsqu’elle avait été mariée (de 1933 à 1937) à Friedrich Mandl, un très important fabricant d’armes autrichien. Antheil, quant à lui, était familier des systèmes de contrôle automatiques et des séquences de sauts de fréquence qu’il utilisait dans ses compositions musicales et ses représentations.

Dans le but d’aider les Alliés pendant la guerre, ils proposent leur invention à l’association « National Inventors Council« , en décembre 1940, puis ils déposent le brevet, le 10 juin 1941.

Lorsque le brevet est déclassifié, la plupart des téléphones portables mettent à profit la « technique Lamarr ». Hedy Lamarr a rétroactivement reçu le prix de l’Electronic Frontier Foundation américaine en 1997. À titre posthume, elle et George Antheil ont ensuite été admis au National Inventors Hall of Fame en 2014.

 

En espèrant que cet article vous aura plu, n’hésitez pas à nous faire part de vos avis en commentaire !

L’équipe de 50A vous souhaite une bonne journée des droits de la femme.

Si vous avez des demandes d’information n’hésitez pas à contacter notre agence digitale.

DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

La transformation numérique

La transformation numérique est l’intégration de la technologie numérique dans tous les secteurs d’une entreprise. Cela impacte fondamentalement sa chaîne de valeur et permet de repenser l’expérience utilisateur qui sera proposée.  C’est aussi un changement culturel qui exige des organisations qu’elles remettent continuellement en question le statu quo. Face à de telles mutations il n’y a pas vraiment de recettes miracles. Rédiger une feuille de route à court et moyen terme, la découper et se lancer. Lâcher prise, faire des expériences et ne pas avoir peur de l’échec qui est source d’enseignement.


Sommaire

• Un peu d’histoire

• La transformation numérique dans nos vies

• En entreprise

• Cas de transformation réussies

• L’expertise 50A


La révolution digitale suscite de nouvelles attentes de la part des clients mais aussi des salariés. Chacun désire de la fluidité, de la connectivité, de la personnalisation et de l’interaction grâce aux usages des nouvelles technologies. Les entreprises doivent se doter d’une stratégie digitale et la déployer au cours de toutes les étapes du parcours utilisateur  (blogs, chatbots,  visioconférences, SEO, réseaux sociaux, rédaction de contenu…).

Transformation numérique

Ces dernières années, la transformation numérique est devenue un sujet populaire et un peu « tarte à la crème » au sein des conférences tech. Ce terme n’est pas toujours bien compris et clairement défini, nous avons souhaité le décrypter pour vous.

La transformation digitale : le fruit d’une révolution en 4 étapes

World Economic Forum

Au fil des ans, le monde a connu quatre révolutions industrielles distinctes, de l’ère industrielle à ce que nous appelons aujourd’hui l’industrie 4.0.

La première révolution industrielle fut la révolution mécanique :

Apparue au 18ème siècle, c’est celle du charbon. Centrée sur l’utilisation de l’eau et de la vapeur pour mécaniser la production, cette révolution correspond au basculement d’un monde agricole vers un monde industrialisé.

La deuxième révolution industrielle est insufflée par la découverte du pétrole :

L’utilisation de l’énergie électrique permet une production de masse rendue possible par la division du travail. Cette révolution a donné naissance à des magnats industriels comme les Rockefeller, Vanderbilt, Ford, Carnegie, etc. Elle généralise également les moyens de transport et contribue à la réduction des distances et la conquête du territoire par l’homme dès la fin du 19ème siècle (importations / exportations mondiales).

La troisième révolution industrielle a eu lieu en 1969, avec l’avènement des microcontrôleurs et de l’automatisation de la fabrication informatique.

Elle s’appuie sur la domestication de l’électricité (principalement grâce au nucléaire) et permet l’explosion de l’électronique  et des technologies de l’information pour automatiser la production. Cette révolution était évolutive grâce à l’ajout d’un plus grand nombre d’ordinateurs, de systèmes informatiques et de technologies pour améliorer l’évolutivité.

La quatrième révolution industrielle nous la vivons en ce moment !

Avec la généralisation d’Internet qui a commencé au début du 21ème siècle, nos appareils PC où smartphones deviennent une extension de nous. Nos objets connectés sont le prolongement de qui nous sommes et de ce que nous faisons. La révolution industrielle 4.0 automatise des tâches complexes ; c’est l’ère de l’Internet des objets et du cloud computing.

Voilà pour l’introduction mais comprendre le passé permet de comprendre l’époque que nous vivons et permet certainement de mieux appréhender l’avenir !

Pour résumer nous assistons à un changement de paradigme. Nous sommes passés d’une économie de masse où la ressource stratégique était le pétrole à une économie numérique où la ressource stratégique c’est l’individu !

La transformation numérique dans nos vies

Transformation numérique

Smart Home Control With Tablet in living room interior. ( 3d render )

Aujourd’hui la transformation digitale nous impacte dans la vie de tous les jours.
Elle permet de communiquer (Internet, Smartphone, Réseaux sociaux), de se cultiver (Encyclopédies en ligne, médias, ressources consultables sur Internet), de consommer (achats en ligne), et de se divertir (plateformes de streaming, vod etc..). Elle intervient également dans des secteurs variés tels que la politique, l’environnement, l’entreprise, et même la religion !
Faisant partie intégrante de nos vies, la transformation digitale impacte nos vies et insuffle de profonds changements au sein de nos sociétés.

Quelques exemples changements :

Dans nos vies de tous les jours, la dématérialisation joue également un rôle primordiale. Les rendez-vous médicaux accessibles en ligne en quelques clics, le passage des lettres aux e-mails, la préparation d’un voyage en quelques clics, le passage des appareils photo argentiques au numérique, les banques : de moins en moins de chéquiers, mais une carte bleue avec puce (et développement des cb sans contact, paiements via portbles NFC)…même les administrations autrefois basées sur des activités physiques avec beaucoup de paperasses, se dématérialisent de plus en plus afin de proposer et souvent imposer leurs services en ligne.  Autant de normes et habitudes bien vite disparues et un confort bien vite intégré et adopté à notre quotidien.

Transformation numérique

l’impact de la transformation digitale dans la vie de tous les jours. https://simplified-analytics.blogspot.com

L’automatisation et la robotisation de ces nouveaux usages soulèvent de plus en plus souvent des problèmes d’éthique.  Si l’homme réussit à allier humanité et digitalisation cela pourrait devenir le déclencheur de valeurs plus éthiques et peut être plus universelles. Notre destin est entre nos mains, et heureusement, le chantier a déjà démarré nous sommes ce que nous ferons de la technologie !

Les entreprises impactées par la transformation numérique

Vous l’aurez sans doute compris aujourd’hui, de plus en plus d’emplois sont concernés par la transformation digitale. Dans 5 ans, 60% des métiers nécessiteront de solides connaissances numériques. Et dans 15 ans la moitié des emplois actuels auront disparu ou seront transformés grâce au numérique.
Aujourd’hui les secteurs tels que le tourisme, les transports, le commerce, la santé, la banque sont touchés par la numérisation de leurs services. Même les secteurs que l’on pourrait qualifier de « manuels » sont impactés : agriculture, les chantiers, l’industrie du luxe.
Le numérique accélère ce phénomène et les entreprises se doivent d’anticiper cette mutation.

Transformation numérique

À l’occasion de l’événement de networking, Opinionway a dévoilé une enquête sur la transformation numérique des entreprises françaises. Il en ressort que près de 8 pme/ETI sur 10 sont engagées dans leur transformation. Selon le baromètre, la majorité des PME/ETI a pris conscience des enjeux de celle-ci. 91% des entreprises ont engagé cette transformation, mais 19% seulement sont avancées, et 3% à la pointe. Tous ces chiffres bas sont sûrement liés au fait que 54% des entreprises n’ont pas d’équipe numérique dédiée.

« La difficulté n’est pas de comprendre les idées nouvelles, mais d’échapper aux idées anciennes « 
John Maynard Keynes

Le premier chantier de transformation numérique dans une entreprise consiste à numériser les informations.

Dans le contexte de l’entreprise, la numérisation est importante à la fois pour traiter l’information analogique et les processus « sur papier » ne sont qu’une métaphore de l’analogique. Il est important de se rappeler, cependant, que c’est l’information que l’on numérise, et non les processus c’est là que la numérisation entre en jeu.

Focus sur quelques cas concrets d’entreprises

  • Castorama

La transformation numérique

La célèbre chaîne d’électroménager a lancé sa révolution digitale sur plusieurs fronts. À l’intérieur de leurs espaces de ventes à destination des vendeurs en rayon qui sont en mesure de parcourir le catalogue en ligne. De ce fait les vendeurs peuvent répondre aux questions spécifiques des clients. Le site web ressemble également un catalogue fourni ainsi que des offres exclusives.
Une digitalisation des espaces de ventes qui renforce l’image d’expertise de l’enseigne. Une nouveauté a également été lancée un outil de conception 3D à destination de sa clientèle.
L’entreprise a également sensibilisé ses équipes aux mutations sociétales et technologiques en leur proposant une exposition pédagogique et des sessions d’acculturation.

Vous pouvez retrouver notre étude de cas sur la feuille de route de transformation numérique de l’enseigne.

  • La poste

La transformation numérique

La Poste ce n’est plus que le facteur. Cette société s’impose peu à peu comme un opérateur multicanal des échanges numériques et physiques.
Sa stratégie digitale lui permet donc de s’adapter aux nouveaux modes de consommation. C’est ainsi que les services de la poste sont de plus en plus innovants et personnalisés. Que l’on soit clients particuliers ou professionnels ces services s’adaptent à tous. Cela se découpe à travers diverses nouveautés : suivi des expéditions, egestion personnelle et administration, ainsi que l’expédition et retour colis depuis sa boîte aux lettres. En interne, l’application “Facteo” facilite le travail quotidien des facteurs. La Poste assure sa digitalisation partout où cela est possible au sein de l’entreprise.
L’entreprise a donc investi 1 milliard d’euros sur 3 ans dans sa digitalisation. Le développement des transversalités entre services, la dématérialisation des échanges, l’interconnexion des réseaux physiques et digitaux sont donc révolutionnaires.

Vous pouvez retrouver notre étude de cas sur la transformation digitale du Groupe La Poste.

  • SNCF

La transformation numérique

La SNCF poursuit son programme de transformation digitale lance en 2015. Leurs buts ? Augmenter le pouvoir de mobilité des clients et rassembler le meilleur du numérique au service de la performance ferroviaire. Dans cette perspective de transformation, les data se placent comme un levier de performance industrielle au service des clients. La SNCF possède des données historiques comme les horaires, les données industrielles archivées de toutes les interventions sur les 15 000 trains, les 30 000 kilomètres de voies et dans les 3 000 gares.

L’expertise 50A

Si vous souhaitez parfaire vos savoirs sur ce sujet nous vous proposons d’écouter notre podcast.  Tous les mois nous décryptons la transformation numérique d’un secteur d’activité.

Depuis 2004, 50A articule son savoir-faire autour de 3 expertises :

50A est un lieu d’innovation où l’on travaille sur les nouveaux usages technologiques, humains et entrepreneuriaux parce que chaque personne est le maillon d’une réflexion. Son souhait : être un acteur du changement et remettre l’humain au coeur de la technologie. Si vous souhaitez aborder avec nous la transformation numérique de votre entreprise, contactez notre agence digitale!

DIGITAL EVENEMENTIEL

Les meilleurs événements tech de 2019 en France

Vous êtes à la recherche d’événements tech de pointe pour 2019 ? Vous souhaitez conclure l’année 2018 par une conférence exceptionnelle ? Ou vous êtes tout simplement curieux ?

Parcourir tout internet à la recherche d’informations sur les différents événements peut s’avérer être fastidieux. C’est pourquoi nous avons fait le travail pour vous ! Cet annuaire de conférences soigneusement préparées présente les 17 meilleurs événements tech de 2019. 

Cette année encore, le programme des événements qui s’intéressent aux nouvelles technologies est bien rempli. Du Nord au Sud, vous trouverez votre bonheur parmi de nombreux évènements tous plus passionnants les uns que les autres.

 



• 
Le grand barouf numérique 20-mars CCI Grand Lille

 

Le Grand Barouf Numérique est de retour pour une édition plus innovante et ouverte que jamais !

Cette année le rendez-vous est fixé les 20 et 21 mars autour de trois thématiques : « la citoyenneté et la démocratie », « l’empreinte numérique et l’utilisation des données », et « la transition écologique ».

Le concept est simple et se définit en deux mots « Participatif » et « Prospectif », le grand Barouf Numérique s’organise comme une assemblée parlementaire où les participants qui deviennent députés sont réunis pour examiner et voter un projet de loi numérique d’anticipation.

Gratuit sur inscriptions



BreizhCamp 20-23 mars Rennes

Le Breizh Camp, c’est 3 jours de conférence autour du développement à Rennes, mais pas que !

Cet évènement rassemble une large communauté de développeurs et d’experts, avec près de 100 thèmes présentés. Crée en 2011 à l’initiative du BreizhJug cet évènement est de plus en plus populaire et propose du contenu à la carte sur plus de 100 thèmes présentés.

Chaque participant peut participer aux conférences qui ont retenu leurs attentions. Il est également possible d’assister à des ateliers et pour mettre en pratique les connaissances acquises.

Android, Java, PHP, C++, Go, Rust, Cloud, Ruby, .Net, GIT. Le breizh Camp est avant tout un mélange de technologies qui a réuni plus de 600 visiteurs par jour lors de la dernière édition !

 

N’hésitez pas à vous rendre sur le site officiel pour obtenir plus d’informations et accéder à la billetterie.



LavalVirtual 20-24 mars Laval

Qui a dit que la capitale de la réalité virtuelle était forcément aux États-Unis ? Du 20 au 24 mars le rendez-vous est donné à Laval !

Vous pourrez découvrir les dernières tendances technologiques, les applications les plus innovantes en réalité Virtuelle, ainsi qu’en réalité augmentée.

Laissez-vous guider par les contenus, les solutions de pointe, les techniques émergentes et les applications artistiques de VR/AR

Au cours de ces trois journées découvrez l’univers VR/AR.  Au programme : conférences, Keynotes, Cas d’utilisateurs, Conférences techniques et Masterclasses.

Rencontrez les décideurs les plus avant-gardistes dans le domaine des technologies immersives !

Tickets


Atelier d’hygiène numérique chez 50A

 

L’émergence des réseaux sociaux et du big data à modifier notre perception de la vie privée. On partage tout, n’importe où et n’importe comment sans se soucier des conséquences. Certaines entreprises, à l’affût de nouvelles données pour hyper-personnaliser leurs offres utilisent parfois ces données à l’insu de notre bon vouloir. Quelles mesures doit-on prendre pour assurer la sécurité de nos données ? Dans cette optique, le Parlement Européen a récemment mis en place un ensemble de dispositifs : droit à l’oubli, limite du profilage, plus de transparence envers ceux qui possèdent nos données…

50A vous propose le temps d’un atelier de réfléchir ensemble sur les comportements à adopter pour une avoir une bonne hygiène numérique. Notre article.

N’hesitez pas à vous inscrire ici et rendez-vous le 26 mars !



Nord conversion day 4 Avril, Lilles

Nordconversion day est un événement dédié à l’UX et à l’e-commerce.

Ce salon s’adresse aux professionnels du digital, managers et opérationnels.

Au programme vous pourrez en apprendre plus sur le e-commerce(e-banking, e-assurance, retail, etc.)  Design System, les Persona Design, la Data Vizualisation. L’IA, de la Data et encore plein d’autres choses.

L’atout majeur du nord conversion day est que le salon est entièrement gratuit ! Vous devez donc au préalable vous inscrire ici, et venir assister aux animations gratuitement.

 

Sido 10 et 11 avril, Cité Internationale Lyon

 

 

SIDO, l’événement révolutionnaire de l’industrie des nouvelles technologies ! Pour sa 5ème édition, les organisateurs annoncent un forum unique en Europe combinant IoT, AI & Robotique !

Des technologies habilitants aux solutions globales, SIDO est le moteur de l’innovation et réunit 3 écosystèmes convergents pour des projets connectés, autonomes et toujours plus intelligents.

Participez à cet événement majeur « Technologies & Marchés », qui se tiendra les 10 et 11 avril 2019 à la Cité Internationale de Lyon, France.
Une approche novatrice des nouveaux défis technologiques et organisationnels auxquels sont confrontées toutes les entreprises industrielles et des services.

Tickets 



Android marker 23-24 avril Paris

 

Android makers est bien plus qu’une conférence !

Joignez-vous à l’aventure pour aborder l’avenir d’Android avec les experts les plus en vue dans le domaine.
Au programme, sessions techniques, ateliers, débats, du réseautage, ainsi qu’une chance de dévoiler votre projet dans l’Espace Fabricants devant des centaines de visiteurs.

La 3ème édition d’Android Makers rassemble 4 événements en 1 :

Conférences :
40 min de Tech Talks par des conférenciers experts et 20 min Lightning Talks sur l’avenir d’Android.

Ateliers :
apprenez de nouvelles méthodes, découvrez et construisez votre application pendant les ateliers.

Espace Fabricants :
promenez-vous, jouez et découvrez les dernières innovations matérielles et logicielles développées par les fabricants.

Fête :
Et pour finir en beauté rencontrez des gens avec la même passion que vous, et fêtez la conférence.

Pendant 2 jours, vous pourrez :

Ticket 

 


Formation en intelligence artificielle 14-15 mars Meudon

Vous vous posez des questions sur l’IA ? Comment fonctionne-t-elle ? Dans quel domaine l’utiliser ? Puis-je pratique l’IA quotidiennement ? Vous aurez vos réponses en vous rendant à la séance de formation avancée les 14 et 15 mars !

Que vous soyez simple débutant ayant entendu parler d’IA ou que vous possediez déjà de bonnes bases en développement technologique ou en informatique cette formation s’adresse à diverses cibles : entités publiques / Entités privées / Indépendants / Informaticiens / Développeurs confirmés ou non.

N’hésitez plus et inscrivez-vous !

Pour s’inscrire https://www.eventbrite.fr/e/billets-formation-avancee-en-intelligence-artificielle-54922504690?aff=erelexpmlt

 


Viva technology 16-18 mai Paris

Viva Technology s’annonce comme LE rendez-vous mondial des startups et de l’innovation à ne pas manquer. Rendez-vous du 16 au 18 mai 2019 pour la quatrième édition qui se tiendra à Paris Porte de Versailles.

Évènement devenu incontournable en seulement 3 ans, le salon est co-organisé par Publicis Groupe et le Groupe Les Echos. L’évènement rassemble plus de 100 000 visiteurs dont 9 000 startups et 1 900 investisseurs de 125 pays.

Les 2 premiers jours sont dédiés aux professionnels : startuppers, chefs d’entreprise, cadres, investisseurs et medias. Le 3ème jour est ouvert au Grand Public.

Qu’il s’agisse de conférenciers de renom, d’expositions, d’innovations ouvertes ou d’expériences vécues, VivaTech célèbre les innovations d’aujourd’hui et les possibilités de demain pour tous ceux qui croient en la puissance de la technologie pour transformer les entreprises et la société.

Tickets

 


Web2Day 5-7 juin Nantes

 

 

Humain, vibrant et intense. Le Web2day, c’est le festival des professionnels et des passionnés des nouvelles technologies qui ont envie de s’inspirer, apprendre et networker dans une ambiance détendue et décalée.

Le Web2Day c’est 3 jours qui s’annoncent inoubliables, un village de 5500 m2, des animations, un concours de startups, et plus de 300 speakers nationaux et internationaux.

Vif et intense, mais toujours à taille humaine, Web2day se tourne vers les professionnels mais également pour les passionnés de nouvelles technologies à la recherche de connaissances, d’inspiration et surtout un bon moyen de se construire un réseau dans une ambiance détendue.

Ils vous promettent un séjour inoubliable dans un lieu atypique. Avec plus de 300 intervenants venant du monde entier le programme s’annonce.

Avec plus de 250 intervenants venus de France et du monde entier, un concours de création d’entreprise, un village de 5 500 m2, des événements et des nuits inoubliables (ou non), le tout dans un lieu insolite : ils vous promettent une expérience inoubliable de trois jours.

Leurs moto : La vie est trop courte pour ne pas s’amuser au travail.

 


Atelier cybersécurité le 17 Juin chez 50

Assurer la sécurité au sein de son entreprise représente un enjeu primordial pour son bon fonctionnement. Une prise de conscience s’impose donc pour tous. Si vous êtes dirigeant d’une PME ou un membre d’une DSI, cet atelier est fait pour vous.

Utiliser les failles humaines d’un système d’information comme effet de levier, connaissez-vous les rudiments du social engineering ? Une fois l’humain formé, avez-vous entendu parler de bug bounty, de pen testing ?

Conscient de cette problématique majeure, 50A organise un atelier consacré à la cybercriminalité et à la cybersécurité pour sensibiliser ses clients aux dangers qu’ils encourent et leur donner les armes nécessaires pour combattre ce type d’attaque. Notre article.

Save the date et rendez-vous le 17 juin 2019 !

 

Atelier innovation le 16 Septembre chez 50a

 

Sautez vers l’innovation agile, ouverte et allongée !

Au sein des entreprises, innover est devenu vital. Avantage concurrentiel, levier de croissance, améliorer sa réputation, conquérir des nouveaux marchés : toutes les raisons sont bonnes pour innover. Mais qu’est-ce qu’innover aujourd’hui ? L’innovation peut se faire sous plusieurs formes (produit, service, procédé, marketing ou social) et sous plusieurs degrés (innovation de rupture ou incrémentale). Différents types d’innovation se sont développés ces dernières années comme l’open innovation ou l’uberisation.

Chez 50A nous utilisons la méthode Design Thinking : en plaçant l’humain au centre, cette approche permet d’innover autrement en s’inspirant des méthodes des designers, comprendre les besoins du client, la faisabilité technologique et la réalité économique pour créer de nouveaux produits et de nouveaux services. Cette méthode stimule la créativité et développe l’esprit collaboratif au sein d’une équipe.

Lors de son prochain atelier, 50A vous éclaire sur les nouveaux types d’innovation et comment s’en servir à son avantage pour être plus compétitif sur le marché.

Intéressé ? Rendez-vous le 16 septembre 2019 prochain !


FrenchKit 7-8 octobre Paris

FrenchKit est la première conférence iOS et macOS en France. En se concentrant sur un large éventail de sujets, des API cacao à Swift, couverts par certains des développeurs les plus importants de la communauté internationale.

Faites partie des plus de 200 personnes qui participeront à la troisième édition de FrenchKit. Passez deux jours avec les meilleurs développeurs du monde entier. Apprenez, découvrez, échangez, discutez et surtout amusez-vous !

Apprenez des plus éminents développeurs impliqués dans les technologies Apple. Attention toutes les conférences seront données en anglais.

Le rendez-vous est donné du 20 au 21 septembre 2018, passez deux jours à écouter, apprendre et partager les meillures pratiques du développement iOS et macO.

Consultez leur site pour plus d’informations sur la prochaine édition.

 


DotJs 5-7 novembre Paris

DotJs est la plus grande conférence mondiale sur la Javascript rassemblant des développeurs de haut niveau à Paris.

Leurs buts organiser de développeurs avec le format et les standards de qualité de TED ?

Ils organisent aujourd’hui près de 7 conférences de ce type par an, invitant les meilleurs développeurs du monde entier à s’exprimer sur les plus belles scènes que Paris a à offrir.

Les développeurs s’y rendent afin de découvrir des sujets pointus inédits, d’apprendre et surtout voire les différentes directions prises par ce langage informatique majeur.

La première journée est plutôt axée sur le développement Front-end, puis sur les différentes évolutions du langage et son utilisation pour le Back-end le deuxième jour.

Un événement technique mais immanquable pour tout bon développeur Javascript !

Consultez leur site pour plus d’informations sur la prochaine édition.

 


Rent Real New Tech 6-7 novembre Paris

RENT Real Estate & New Technologies est un salon dédié aux professionnels de l’immobilier.

Aujourd’hui l’innovation et les nouvelles technologies sont au coeur de l’immo, cet évènement reservé aux professionnels de l’évènement de référence du secteur.

L’inscription se fait en ligne ici  le forfait comprend une participation aux conférences et l’accès aux halls d’expositions.

 


Blend web mix 13-14 Nov Lyon

 

BlendWebMix c’est deux jours d’ateliers, workshops, conférences et rencontres s’adressant à une variété de public qui fait vivre l’écosystème web.

Entrepreneurs, business développeurs, recruteurs, investisseurs, designers, formateur, mais aussi publics type plus généralistes : étudiants, chercheurs, collectivités etc sont invitées à cet évènement !

BlendWebMix c’est aussi l’opportunité, pour les entreprises plus classiques, de rencontrer et comprendre l’écosystème web et ses acteurs. 

L’évènement est organisé par La Cuisine Du Web et se déroule à la Cité Internationale.

Tickets 

 


Salon Simi 11-13 Décembre Paris

 

Le SIMI, événement de référence pour les acteurs de l’industrie immobilière en France. Le salon rassemble plus de 30 400 professionnels et 470 sociétés et collectivité pendant trois jours.

L’évènement tient compte de l’évolution et de la mutation présente et à venir dans cet écosystème allié avec l’extension du digital dans le domaine du bâtiment.

Le salon présente donc les offres Françaises d’immobilier, de bureaux, de logistique etc…

Pour être alerté de l’ouverture de la billetterie, cliquez ici 

 


 

En espérant que cette liste vous aura convaincu d’assister à un de ces évènements plus intéressant les uns que les autres !  

Ne trainez pas trop pour prendre vos  places pour les évènements qui vous intéressent, (certains se remplissent très vite) . Gagnez de nouvelles compétences, rencontrez de nouvelles personnes et surtout amusez-vous !

Si vous avez des demandes d’information n’hésitez pas à remplir notre formulaire de contact ici.

 

 

 

DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

Top des tendances digitales de 2019

 

L’équipe de 50A vous a concocté une synthèse des tendances digitales glanées ici et là depuis un mois. Au menu :

Tendances graphiques
Tendances marketing
Tendances socialmedia
Tendances technologiques


Les tendances graphiques

Entre design vintage et futuriste, 2019 laisse place à des tendances totalement opposées qui raviront les goûts de tous.

Art déco
Tendance bichromie
Le minimalisme isométrique
Style élégant

#1. Tendance art déco 

Le mouvement de l’art déco débute à la fin de la Première Guerre mondiale et s’étend sur près d’un demi-siècle, il connaît son heure de gloire dans les années 20. Les années 20 et 50 influencent particulièrement les graphistes en ce début d’année.

Les jeux de lignes symétriques de l’époque ainsi que les effets métalliques font automatiquement penser au grand Jay Gatsby.

(source: MyHomeDesign)

 


#2 Entre bichromie et dégradés 

Les logos monochromes font de moins en moins recette aujourd’hui. On assiste à une émergence des designs « bichromes » et des dégradés qui peuvent être réalisés avec des couleurs assez sobres. On observe également l’usage de couleurs plus flashy ce qui permet d’obtenir des résultats assez surprenants comme l’image ci-dessus!

En architecture, le brutalisme était un mouvement qui manifestait un total désintérêt d’être simple et agréable. Le brutalisme Web poursuit cette tendance, en montrant un effort intentionnel de représenter un site d’une manière la plus éloignée d’un site web classique.

 

(Source : Pinterest)

#3 Le minimalisme isométrique

La particularité des designs isométriques est qu’ils représentent des univers miniatures à part entière dans de très petits espaces. Ces designs très techniques et détaillés, créent un visuel qui nous raconte une histoire au travers d’une miniature assez élaborée.

Les icônes isométriques sont de fait beaucoup plus chaleureuses et plus tactiles que les icônes réalisées en flat design.

(source : Medium)

#4 Élégance et délicatesse 

Face à des designs aux traits très marqués, un retour au style classique du XIXème siècle sera très en vogue pour 2019.

Style très influencé par la botanique et la nature en général, ce design simpliste mais très détaillé est déjà très utilisé en design de packaging, où ce genre d’illustrations délicates se mixe à la perfection sur du papier.

Yokaona

En plus du graphisme, le marketing reste un des éléments importants face au monde digital.  Voici en seconde partie les tendances marketing

Pages : 1 2 3 4

COWORKING LAB DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

Google invite 50A à tester le Jamboard dans le cadre d’un atelier UX co-design

50A, précurseur du UX co-design

Spécialiste de l’UX, 50A a été la première agence digitale française à tester le Jamboard dans le cadre d‘un projet de conception d’un site internet.

À l’occasion de l’arrivée de la Jamboard en France, nous avons travaillé avec Google pour adapter nos outils et ateliers UX design au format du Jamboard. Nous avons créé des gabarits interactifs permettant d’interagir en équipe sur toutes les étapes clés pour concevoir l’expérience utilisateur d’un service digital : ecosystem map, personae, storyboard, parcours utilisateur, moodboard graphique…

Le Jamboard, qu’est-ce que c’est ?

Le Jamboard est un tableau interactif couplé aux outils de la G Suite de Google. L’écran 4K de 55 pouces permet la collaboration en ligne sur un même document que l’on soit sur smartphone, tablette, ordinateur sur place ou à distance via vidéo conférence.

Pour en savoir plus, visitez la page dédiée au Jamboard : google.com/jamboard

L’atelier

Nos coworkers, Plissken Production, ont été les premiers à profiter de notre association avec Google pour la refonte de leur site internet. Nous avons organisé en 2018 un atelier de co-design dans les locaux de Google avec pour support le Jamboard. Nos habituels post-it, paper board, feutres et planches de réflexions étaient remplacés par une “Jam” (session de travail), des posts-it numériques, un tableau blanc interactif, la possibilité de voter et tout cela grâce à un stylet tactile.

Co-design, échanges, enrichissement mutuel, fluidité étaient au rendez-vous.

“On s’est rendu compte qu’il y avait des synergies de culture d’entreprise mais aussi de valeurs entre Google et 50a. Tout d’abord parce qu’on aime et veut travailler avec des gens talentueux.”
Sylvie LE GUELLEC, Sales Specialist EMEA chez Google

Remerciements :

  • Sylvie LE GUELLEC, Sales Specialist EMEA chez Google, pour son accueil et sa disponibilité
  • Plissken Production pour la réalisation de la vidéo

Retrouvez sur notre blog nos articles sur le design thinking

Le co-design, qu’est-ce que c’est ?
Comment le co-design change transforme la relation client-fournisseur ?

Retrouvez sur notre site tous nos ateliers :

Acculturation Show
Ecosystem Map
Personae & Storyboard
Parcours client
Prototype web & app
Inbound Marketing
Plan d’action Com/Mkt/RH
Cockpit de pilotage

Vous avez un projet et souhaitez nous soumettre votre brief ? Prenons rendez-vous !

ARCHITECTURE SOCIALE DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

Religion et Technologies

ACTE 1 : RÉFLEXIONS D’UN THINKTANK CHRÉTIEN 

Nous sommes très heureux de partager avec vous en cette fin d’année 2018, le 7ème épisode de notre podcast 50A Galaxy. Dans ce nouvel épisode nous allons aborder deux mondes relativement différents, la religion d’un côté et la technologie de l’autre. Le premier monde fait référence à l’histoire, la philosophie, la morale et le second quant à lui est très récent, très moderne, et connaît chaque jour son lot de progrès en challengeant la morale jusque là établie. Comment ces deux mondes peuvent s’enrichir mutuellement ?

Ce podcast s’articule autour des thématiques suivantes :

Pour décrypter ces thématiques nous avons la chance de recevoir Pierre Gueydier, (LinkedIN, Twitter), maître de conférence à la faculté catholique de l’université ouest à Angers dans le domaine des sciences politiques et chargé de la coordination de la recherche de OPTIC Technology.  OPTIC est une plateforme, un réseau international d’étude et d’innovation initié par l’ordre religieux des Dominicains et dédié aux enjeux éthiques des technologies de rupture. OPTIC fonde ses travaux sur une anthropologie explicitement chrétienne. « Nous croyons que les technologies de rupture peuvent grandement contribuer à améliorer les conditions de vie dans de multiples domaines sous réserve de les placer d’abord au service de l’Homme et du Bien Commun. »

« Être plus intelligent à plusieurs »

Ce réseau a pour objectifs de comprendre les enjeux et essayer de décrypter ce qu’il se passe. Essayer de se faire rencontrer des disciplines académiques qui souvent s’ignorent les sciences sociales d’un côté et les sciences de l’ingénieur de l’autre ainsi que les questions de sciences politiques. Comment décloisonner les approches ?

[Chapitre 1 : La communauté]
À l’heure où l’on parle d’évangélisation dans le monde de la technologie, le catholicisme est une communauté de 2000 ans. Est ce que celle-ci s’intéresse aux réseaux sociaux ? Est ce que cela apporte une vision, une philosophie particulière ?
L’étymologie du mot religion c’est relier. La relation à la technologie pour les religions est un peu double. Paradoxalement y compris pour le numérique, le catholicisme a intégré assez rapidement les technologies dans son élan missionnaire dans l’idée de propager la foi, on parle de « Propaganda Fide ». Elle s’appuie pour cela sur la presse, la radio, le livre et le manuscrit évidemment ! Le support médiatique et technique a donc été assimilé assez rapidement de tous temps par les mouvements religieux pour véhiculer le message. Les ordres missionnaires ont toujours été très à la pointe, notamment les jésuites avec les lanternes magiques via la projection sur les murs des églises (l’ancêtre du projecteur de diapos). Le premier site Internet du Vatican a dû être publié en 1996/97, en France en 1997. L’universalisme biblique est théologique, le message de salut des religions est destiné à tous, donc il n’y pas de barrière. L’outil en tant que tel est neutre moralement, il y a toujours eu les avis, les critiques, voir des condamnations. La lutte contre les hérésies est historique il faut garantir les véracités des messages. Il y a toujours eu une certaine réticence vis à vis du progrès (modernisme/catholicisme). Il est important de garder une approche rationnelle, collective sans panique morale.  

[Chapitre 2 : Le numérique et la morale ]
L’histoire du numérique, dans un premier temps : Découverte joyeuse et infantile. Dans un second comment s’organiser ? Qu’est ce qui est open source qu’est ce qui ne l’est pas ? Est ce que tout le monde a accès à l’information ? Troisième temps : prise de contrôle des GAFA, apparition du hacking, transfert des données personnelles, ne faut il pas organiser la technologie ? Il y a t’il un bien et un mal ? Ne faudrait il pas une morale ?
Le numérique ne change pas fondamentalement les choses sur ce qui est recevable d’un point de vue légal ou pas. Les conséquences en revanche sont nouvelles et assez peu contrôlables et contrôlées. Les questions d’arbitrage entre ce qui est  bien ou serait mal doivent être l’objet d’une discussion collective et se heurtent à des difficultés de la loi à étendre son pouvoir sur le numérique. Comment inventer de nouveaux moyens collectivement pour essayer de trouver ce qui est moralement tolérable ? Chez les catholiques on parle de « doctrine sociale de l’église », c’est un certain nombre de critères très généraux censés pouvoir être partageables par quiconque pas forcément croyant : la notion de subsidiarité, la notion de participation, la notion de dignité humaine, la notion de solidarité, la notion de destination universelle des biens. Ces différents points peuvent être pertinents pour les questions numériques.

[Chapitre 3 : Technologie et politique]
Décembre 2018, @Paris, on assiste à une nouvelle infrastructure sociale imposée par la technologie notamment Facebook, première infrastructure qui n’est pas imposée par l’Etat ou par l’Église. Que pense l’Église de ce nouvel acteur du social ?
Il est possible de faire le parallèle avec les mouvements syndicaux du 19ème siècle, avec la volonté d’un groupe de constituer un collectif politique qui ne dépend ni des politiques ni des religieux. L’église n’a pas forcément de solutions particulières. À travers les dispositifs types réseaux sociaux est ce qu’il s’agit de nouveaux comportements ou de nouveaux acteurs ? Les modalités de manière très diverses évoluent et sont imprévisibles, mais ce n’est pas si nouveau comme mobilisation. Ce ne sont pas forcément des espèces d’acteurs omnipotents comme les GAFAS qui puissent décider de conséquence. La question du numérique induit une sorte de nouveauté par rapport aux technologies où traditionnellement on supposait les technologies neutres, mais les design de conception des plateformes et des algorithmes ont des visées politiques explicites. Leurs usages et les décisions prises ont des impacts mondiaux et politiques c’est sans doute un progrès. La mission de l’église sur les réseaux sociaux est assumée par les fidèles et par forcément par la hiérarchie. Celle-ci a la prudence de laisser l’action politique et sociale au plus proche du terrain. Eût égard aux problèmes auxquelles fait face l’Église dans différents domaines la question du numérique reste relativement secondaire.

Centralité et réseaux distribuées. Il existe 3 grandes typologies de réseaux centralisés/hiérarchiques (Catholique), le réseau multipolaire (Protestants, Chiites), le réseau décentralisé (Sunnites). Quid de la capacité des organisations/ordres religieux à se saisir des technologies Internet ? Est ce que toutes les organisations religieuses ont les mêmes facilités de par leur nature à se saisir de ces technologies eût égard au type de technologies que l’on va trouver en face ?
Il y a un vrai paradoxe dans l’Eglise catholique, en effet elle est hiérarchique mais extrêmement plate. Il existe 4 niveaux de hiérarchie dans l’église : les papes, les évêques, les prêtres, les fidèles. C’est une pyramide mais une pyramide assez plate. La relation de pouvoir au sein de l’église est très complexe. Les ordres religieux de par leur spécificité, de par leur flexibilité jouent un rôle de compensation sur cette hiérarchie, voir même de tensions. Le dispositif Internet numérique du Saint Siège  est une très grosse infrastructure. C’est l’une des galaxie de sites les plus attaquée au monde, la war room de cyber défense est impressionnante. Au niveau institutionnel pour les sphères romaines, nous sommes encore sur un internet 1.0, même s’il existe des comptes Twitter. C’est à vocation apologétique = diffusion de la parole religieuse, il n’y a pas réellement d’investissement dans les questions d’animation de réseaux. Les actions dans la vraie vie des paroisses ou des diocèses ne permettent pas forcément de consacrer du temps à la gestion des réseaux sociaux. Cette tradition humaniste d’accueil, d’ouverture et de gratuité fonctionnent assez bien. Lors des JMJ en revanche les jeunes se saisissent eux mêmes des réseaux.

Comment est ce que l’église aborde la problématique des données personnelles et la surveillance des individus ?
Le regard est assez simple : c’est la dignité humaine. Les questions de libertés individuelles, de vie privée et de secrets des correspondances privées sont garant de la vie sociale et vital pour la démocratie. Force est de constater que cela n’existe plus, l’Église ne peut en soit le déplorer et exprimer son souhait qu’il y ait des régulations / corrections. À priori les créateurs de Facebook ou Google ont du être tenus un peu à l’écart en terme d’offres. Sur la question des communs, le concept de « Destination universelle des biens », concept philosophico-théologique avec des implications économiques, qui tourne autours des questions « Est ce que la propriété privée est légitime, illégitime ? Quelle est sa nature morale ? En gros la position de l’Eglise est de dire dans une vision théologique de fin des temps, de fait il n’y aurait plus besoin de propriété. Or actuellement nous ne sommes pas à la fin des temps, donc la propriété privée qui est dans la doctrine sociale la conséquence du fait de jouir des fruits de son travail (droit naturel), est justifiable à condition que ce ne soit pas la finalité. L’objectif de l’activité économique de l’homme n’est pas la propriété pour la propriété, elle est un moyen mais pas une fin. La question des communs peut être glissable et glissée dans cette « case ». Le numérique vient ré-interroger tous ces critères et ces notions que l’on croyait neutre. Dans l’Église il y a une grande tradition de l’écrit, sur les données privées à savoir les registres paroissiaux qui enregistrent par écrits les actes de cultes (baptême, mariage…) il n’y a à priori pas de numérisation pour des raisons de risques et de budget. En revanche pour l’organisation d’événements (inscription pour les JMJ) là, les diocèses sont soumis à la loi commune.

[Chapitre 4 : Intelligence artificielle, singularité et transhumanisme.]
L’homme n’est pas t’il en train de créer un nouveau dieu, un dieu technologique ?
Un des déclencheurs d’OPTIC est lié au sujet d’IA et tout ce qu’il a pu se dire sur ce genre de sujet. Comment essayer d’y voir un peu plus clair sur ces sujets ? Sur le plan de la parole scientifique c’est étonnant de voir comment celle-ci est démonétisée, sur des questions technologiques ou des questions d’histoire. Sur la question de transhumanisme nous essayons d’avoir une attitude simple qui consiste à essayer de comprendre de quoi on parle, ainsi que les mots que nous employons ce qu’il signifie. En effet dans ce domaine, la confusion est absolue. L’idée est de se dire « attention à la panique morale » d’un coté (exemple « c’est la fin de l’humanité ») et aussi être un peu rationnel. Il existe des outils intellectuels essayons de nous en servir !  Les robots à priori ne prendront pas le contrôle de la planète. Nous essayons d’ »historiciser » les choses. L’histoire des sciences et des technologies est centrale pour comprendre les choses y compris l’absence de nouveautés. Par exemple le premier article sur les réseaux de neurones date de 1942. En 1948 Dominique Dubarle, frère Dominicain contribue à faire connaître la cybernétique en France en 1948 en signant une tribune dans le monde. Dans cet article il parle de Norbert Wiener mathématicien aux Etats Unis qui évoque le gouvernement automatique « la machine à gouverner ». Dominique Dubarle écrit que ce serait pertinent que des ingénieurs, des philosophes, des historiens discutent ensemble de cela. Ces sujets ne sont pas vraiment nouveaux, c’est Prométhée l’homme veut se mettre à l’égal de dieu. Pour travailler sur ces technologies et sur les questions de cybernétique, Joi Ito patron du Media Lab du MIT parle du problème du réductionnisme, il s’agit du cartésianisme poussé à l’extrême. Cela consiste à découper un phénomène complexe en petits bouts simples. Croire que l’on peut réduire un phénomène biologique ou politique en micros événements que l’on pourrait encoder ou numériser on s’aperçoit assez vite que la limite opérationnelle est très rapide. Fort de ce postulat certains considèrent que l’être humain c’est de l’échange et un amas d’atomes, de cellules et de réactions chimiques pour « réduire » le fonctionnement du cerveau avec les moyens de big data et de calculs afin de modéliser un cerveau humain. C’est relativement instrumentaliste comme vision. La Chine quant à elle, est la puissance qui a géré de manière politique Internet. Très vite les chinois ont compris de quoi il en retournait à condition de garder la souveraineté absolue. Les Russes ont très bien analysé également, les Américains c’est plus un effet boomerang !

[Chapitre 5 : La technologie blockchain]
La blockchain est une technologie qui permet d’échanger dans un environnement dans lequel il n’y a plus de confiance, avec notamment la disparition des intermédiaires tiers de confiance. Les protestants et les juifs ont un rapport direct à Dieu, là où les catholiques passent par une intermédiation qui fait la force de l’église, la blockchain consiste à éliminer les intermédiaires, quels regards on pose quant on est du coté de l’église sur cette technologie ? D’autre part dans la notion de blockchain les données sont stockées ad vitam aeternam, n’y a t’il pas une opposition avec la notion de pardon ?
La confiance est un concept clé. Il y a peut être pour la première fois une technologie qui a une visée politique explicite. Technologie et design politique vont ensemble. C’est un exemple idéologique sur une sorte de résurgence des questions d’anarchie. Au coeur de la blockchain il s’agit de mettre en scène la corruption du pouvoir politique et économique avec la crise de 2008, il apparaît au grand jour. Comment essayer de substituer à la thématique de la confiance une technologie qui va être censée jouer le rôle d’un tiers de confiance ? Nous avons récemment publié une étude sur la Blockchain avec un chapitre qui s’intitule «  Poison ou remède ? ». À la fois la blockchain ré-interroge sur les fondamentaux du lien social collectif, c’est à dire les questions de confiance. La blockchain prend acte en quelque sorte que l’homme est un loup pour l’homme qui est vision très sombre de la nature humaine. Le capitalisme se nourrit toujours de ses propres marges. En effet on voit des projets de blockchain fermés qui seraient des écosystèmes de plateformes coordonnés par une blockchain. Par exemple le KYC qui consiste pour une banque à connaître son client. Cette notion du KYC est au coeur de l’intégralité du système mondial. Si une fondation non lucrative était créée dans lequel les banques mondiales seraient stakeholders de la fondation coordonnées par une blockchain, on aurait une machine de guerre !  Les plus malins sur l’utilisation de la blockchain semblent être ces écosystèmes qui vont vers de la coordination de la blockchain. La blockchain devient alors une sorte de remède dans des dispositifs non lucratifs. Finalement ce qui est annoncé comme une menace pourrait devenir le meilleur allié des banques… En ce qui concerne la notion d’oubli, si on ne peut pas faire oeuvre d’oubli on est dans une tyrannie complète du passé. Cela a d’ailleurs un impact sur le plan politique. L’exercice même du pouvoir politique est alors handicapé. => À suivre OPTIC Technology organise un événement le 14 mai au collège des Bernadins sur la thématique suivante « Comment rebâtir la confiance ? »


  • Notre animateur :

Paul Richardet, cofondateur de NUMA, il est également « master of the cool » chez Neww Life. Il tient un blog sur medium.
   

Nos chroniqueurs :

Glenn Rolland est expert en systèmes d’information et co-fondateur de Gnuside.
  

Fabrice Epelboin, entrepreneur et spécialiste des médias sociaux, il est cofondateur de Yogosha et professeur à Sciences Po.
  

TRANSITION NUMERIQUE

Existe t’il un mouvement de colonisation numérique ?

50A Galaxy s’intéresse pour son sixième podcast à la suprématie des GAFA et à leurs colonies numériques. Le podcast s’articule autour des différentes questions. L’Europe et la France sont-elles des colonies numériques des États-Unis ? Pourquoi est-on aussi attaché aux GAFA ? Quelles sont les solutions pour ne plus être dépendant des GAFA ? Nos chroniqueurs, Christophe Ducamp, Paul Richardet, Glenn Rolland et Fabrice Epelboin s’interrogent ensemble et nous permettent d’avoir une vision globale des enjeux actuels.

L’Europe, une colonie numérique

À l’image des européens puisants dans les matières premières africaines pour s’enrichir, les Etats-Unis gouvernés par les GAFA exploitent les données personnelles des européens pour s’enrichir. Cela est devenu possible, comme le soulignent nos invités, car la France n’a pas su prendre le tournant technologique au bon moment. Alors que les Etats-Unis, à l’ère Clinton, encourageaient au développement technologique, Jacques Chirac en France était déconnecté de cette réalité. Encore aujourd’hui, le numérique n’est traité que sous le spectre économique. Un de nos invités souligne que Macron (bien qu’il encourage le courant “Startup nation”) n’est pas un homme de technologie.
La colonisation numérique de l’Europe est accentuée par le fait que le continent est morcelé, il n’y a pas d’unité technologique européenne. Cela peut s’expliquer par la multiplication des langues qui sont tout aussi bien un enrichissement pour l’Europe, qu’un frein.

Des services reconnus comme très efficaces

Nos invités ont ensuite soulevé des points de réussite non-contestables des solutions proposées par les GAFA. Pourquoi sommes nous si dépendants des produits et solutions proposés par Google, Apple, Facebook et Amazon ? Parce que ce sont des logiciels performants, ergonomiques, faciles d’utilisation. Aujourd’hui, aucun outil français ou européen n’est aussi performant qu’un outil américain. Comme le soulignent nos invites, oui, on peut utiliser une solution tierce, mais jamais nos grands-parents ne pourront les utiliser.

Quels prix pour ces outils ?

Il ne faut pas se voiler la face, le prix de chaque solution, outils, logiciels à un prix. Sous une apparence de territoire neutre où tout un chacun peut publier son propre contenu, sur les réseaux sociaux ou ailleurs, l’utilisateur est en territoire américain, où la loi américaine règne. Le prix pour fouler ce territoire est simple : la donnée personnelle. Les GAFA sont propriétaires de nos données et ce sont eux qui choisissent à qui les donner, les vendre et comment les exploiter. Comme le soulèvent nos invités : même lorsque l’utilisateur signale une interdiction de transmission de données, certains GAFA passent outre. Par leur monopole, ils imposent leurs propres règles au détriment de la liberté de chacun.

La rébellion, mais encore ?

Nos invités, fervents défenseurs des libertés de chacun sont d’accord pour se dire qu’il faut agir contre cet esclavagisme. Là où ils ne sont pas d’accord, c’est sur la manière de procéder. Certains souhaitent que la loi s’empare de la question, d’autres demandent à ce que l’administration française fasse un peu preuve d’un peu plus de patriotisme, ou encore que chacun fasse preuve d’hygiène numérique avant de se lancer dans de grands combats. Mais tous ont à dire que maîtriser la chaîne d’administration d’un service (moyen, valeur ajoutée, logiciel, infrastructure) n’est pas accessible à tout le monde, de plus c’est rationnel de mutualiser. Un de nos invités aborde la question de l’éducation des jeunes générations. Il est nécessaire d’éduquer les plus jeunes aux problématiques actuelles. Car on le sait, lorsque l’on comprend le problème rapidement, on est plus à même d’agir pour résoudre ce problème. Il y a un vrai besoin d’anticipation des conséquences.

 


  • Notre animateur :

Paul Richardet, cofondateur de NUMA, il est également « master of the cool » chez Neww Life. Il tient un blog sur medium.
   

 

 

  • Nos chroniqueurs :

 

Christophe Ducamp, expert en stratégies d’innovation, design thinking et marketing, il est conseiller indépendant depuis 2010. Il tient un blog axé sur les pratiques du web.
   

 

 

Glenn Rolland est expert en systèmes d’information et co-fondateur de Gnuside.

  

 

 

Fabrice Epelboin, entrepreneur et spécialiste des médias sociaux, il est cofondateur de Yogosha et professeur à Sciences Po.
  

TRANSITION NUMERIQUE

Interview de Cyril Fremont : .best un réseau social d’avis décentralisé

Cyril FREMONT

L’ambitieux Français Cyril Fremont a récemment racheté le tld .best.
Son challenge ? Créer un réseau social où l’utilisateur sera propriétaire et responsable de ses données personnelles car détenteur de son nom de domaine en .best (ex : toto.best). De plus il pourra être rémunéré en bestcoin (crypto monnaie du réseau social) en fonction de la visibilité de ses avis.

« Il n’y a que 300 sociétés dans le monde entier qui possèdent une extension. La particularité du .best c’est que nous sommes la première société française et la seule à en posséder une. »

Nation.best se veut être un réseau social décentralisé, les données des utilisateurs français seront stockées en France, celles des Chinois en Chine, celles des américains, aux Etats-Unis… Cela est possible grâce à la possession d’un tld et donc d’un territoire. Posséder un territoire est la seule façon de s’adresser à l’ensemble de la population sans être censuré dans certains pays comme la Chine ou la Russie.

Comment est né le projet ? Pourquoi un nouveau réseau social ? Comment attirer les utilisateurs ? Comment les rémunérer ? Comment est-il financé ? Quelles ambitions a t il ? Cyril Fremont répond à toutes ses questions dans la première interview de 50AGalaxy.

DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

Les jeuniors

Génération mai 68 toujours dans son temps, active, polyvalente et aventurière : c’est l’une des cibles les plus prisées en ce moment par les professionnels du marketing et de la communication.

Les jeuniors, qu’est-ce que c’est ? Contraction de « jeunes » et « seniors », c’est le terme inventé par Grenade & Sparks et Co Meet à la suite de leur étude sur le mode de consommation des 60-75 ans. Selon eux, ce serait le nouvel âge d’or. La communication marketing et publicitaire s’oriente donc de plus en plus vers cette population particulière. C’est une réelle opportunité puisqu’ils représentent 20 % de la population française. Les marques peuvent jouer sur l’image « cool », libre et sans complexe.

« Cette génération aime séduire et joue à fond le côté sexygénaire »
– Éléonore Salviat

Les jeuniors et le digital

Cette étude a été menée sur 40 personnes, âgées de 60 à 72 ans et dénichées sur Facebook, leur réseau social préféré. Plusieurs aspects ont été abordés : leurs pratiques du tourisme, leur consommation alimentaire, leur rapport à la technologie, à la santé, etc…
Quand ils étaient jeunes ils se sont révoltés pour la liberté, la démocratisation de la culture et contre l’autorité bourgeoise. C’est dans cette logique qu’ils ont très vite adopté Internet, qui s’est toujours revendiqué libre et accessible (même si cette belle idée de liberté qui a fait les début d’Internet a laissé place à des autoroutes capitalistes eût égard à l’hégémonie des plateformes GAFA et autres BATX…sans compter la fin quasi évidente de la neutralité du net aux Etats-Unis).
C’est également pour rester « in » et surtout en contact avec leurs enfants et petits enfants que les jeuniors armés de leur smartphone ont vite appris à dompter les nouveaux usages numériques. Les marques ou organisations qui souhaitent proposer des expériences utilisateurs pertinentes se penchent donc régulièrement sur ces personas « hyper actifs » !

Jean, 65 ans
Ancien professeur de français
Militant de gauche
Après son accident il reste autonome avec sa montre capteur de chute

Lisette, 70 ans
Ancienne directrice commerciale
Aujourd’hui dans l’artisanat de bijoux
Elle utilise Facebook pour retrouver d’anciens amis d’enfance

 

Arthur, 68 ans
Ancien agriculteur
Il s’est installé dans un ecovillage
Il utilise la voiture électrique


Comprendre comment 50A aborde la problématique de persona avec ses clients

La seconde jeunesse des seniors

Peu de temps après mai 1968 et dans les années 70, les jeuniors ont pu profiter en abondance de leur jeunesse. Leurs parents, génération d’après-guerre n’ont pas vraiment vécu la même période. La jeunesse de 2018 quant à elle serait beaucoup plus sage parce qu’elle fait face à plus de responsabilités et de doutes en lien avec les crises économiques et la catastrophe environnementale préssentie. D’après une étude de TNS Sofres, les jeunes aujourd’hui feraient moins la fête, à cause des réseaux sociaux qui suffisent à socialiser et aux plateformes de divertissement comme Netflix qui rendent plus casagniers. Ils sont également de plus en plus à adopter un mode de vie sain, vegan, zen, au contraire de leurs aînés et de la génération hippie ou rock’n’rool, très adepte des drogues, de la démesure et de la liberté sexuelle. Avec la longévité et l’amélioration de la santé, les babyboomers qui avaient 20 ans en 68 ont une nouvelle vie devant eux et cherchent à continuer leurs aspirations, satisfaire leurs désirs. Ce sont des hédonistes : leur vie n’est pas terminée et ils sont prêts à en profiter. D’ailleurs souvent quand on croise un jeunior son agenda est plus rempli qu’avant sa retraite !

Les jeuniors sont les papy boomers d’aujourd’hui, ils sont nombreux grâce à l’augmentation de l’espérance de vie et ont un meilleur pouvoir d’achat. C’est une génération qui a trouvé plus facilement d’emplois qu’aujourd’hui et a pu passer de classe moyenne à aisée assez rapidement. Ils ont une retraite beaucoup plus favorable pour en profiter par rapport à que ce qui nous attend…

Les soixante huitards voulaient une liberté sans limites, combattre l’autorité, et surtout plus de places à l’Université pour les gens du peuple. Mais n’est-ce pas ce qui a conduit aujourd’hui à revenir au système sélectif dans un marché du travail surbondé ? Ils ont fait la dîte révolution, mais sont-ils toujours révoltés aujourd’hui ? N’ont ils pas bien profité des failles du système pour se faire une place au chaud pas toujours en phase avec les dictons de mai 1968 ? Et surtout ne paie-t-on pas les conséquences économiques et écologiques de la société de consommation qui a vu les heures de gloire de la communication à la papa à coup de pubs TV et de 4×3 ? Certains voient aussi dans l’héritage de la révolution étudiante une génération pourrie gâtée, qui a menée à trop de laxisme du côté des parents et des professeurs. Ce serait aussi une génération trop exigeante, capricieuse et désobéissante. D’après Le Point c’est une génération qui a abusé des limites, confondant liberté sexuelle et abus sexuels…

S’ils représentent une partie de la société de consommation, ce ne sont pas non plus de gros consommateurs. Ils consomment souvent de manière responsable et cherchent le meilleur rapport qualité/prix. Ils revendiquent une certaine authenticité : ils n’adhèrent plus au diktat de la jeunesse et à l’idée de ralentir le temps, mais plutôt à celle de se sentir bien et de s’assumer.

Vers de nouveaux modes de vie

Les soixante huitards sont-ils toujours engagés ? Les jeuniors refondent le « bien-vieillir » avec des représentations plus positives que celles des anciens retraités souvent en rupture sociale et inactifs. La retraite est pour eux synonyme d’épanouissement personnel. Ils se tournent vers l’avenir, pensent à eux mais aussi aux autres en s’investissant dans des associations, ou en créant leur propre activité prolongeant ainsi leur vie active.

Les jeuniors sont toutefois confrontés à d’autres problématiques, en effet avec le vieillissement de la population, la prise en charge des anciens est devenue un problème majeur : la génération de mai 68 se retrouve donc à s’occuper de ses parents et s’engagent auprès du cercle familial. Voilà pourquoi nous assistons à un renouvellement de l’habitat participatif. Ce sont des logements mi indépendants mi collectifs avec un espace commun. Certains soixante huitards s’engagent même jusqu’au bout pour être en rupture avec la société capitaliste, en adoptant le système de l’écovillage, un village auto-construit et auto-suffisant. Nous ne parlerons pas dans cet article du business florissant et de plus en plus décrié des maisons de retraite ou des EPHADS, d’ailleurs nous ferons peut-être un article sur leur stratégie numérique, qui pour certaines auraient bien besoin de nos services ;).

Bien sûr les jeuniors n’oublient pas d’entretenir leur corps et adorent voyager. Ces jeuniors ont aujourd’hui un peu moins de 70 ans et en profitent pour croquer la vie à pleine dents sachant qu’ils sont loin d’être grabataires ! D’autant plus que les avancées technologiques et médicales leurs permettent de mieux appréhender leur santé : « il vaut mieux prévenir que guérir ! ». Ce qui leur donne encore une bonne dizaine d’années à en profiter, « vivre sans temps mort et jouir sans entrave ».

Pour aller plus loin et continuer à décrypter ses tendances écoutez notre podcast sur la santé connectée :

Listen to « Épisode 4 : la transformation numérique de la santé » on Spreaker.

 


  • Pour en savoir plus :

L’étude de Grenade & Sparks et Co Meet : http://www.lesjeuniors.com/

« Fiers d’être jeuniors », Stratégies : http://www.strategies.fr/etudes-tendances/tendances/4007378W/fiers-d-etre-jeuniors.html

« Les nouveaux vieux sont les anciens jeunes », Influenciahttp://www.influencia.net/fr/actualites/media-com,what,nouveaux-vieux-sont-anciens-jeunes,8253.html

« Que reste-t-il de la chienlit soixante-huitarde ? », Le Pointhttp://www.lepoint.fr/debats/que-reste-t-il-de-la-chienlit-soixante-huitarde-26-04-2012-1455552_34.php

DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

La transformation numérique du tourisme

Dans ce dernier épisode de la saison, nous proposons un avant goût des vacances d’été avec le sujet de la transformation numérique du tourisme et de l’hôtellerie. Dans un premier temps notre invité expert sur le sujet nous expose son point de vue, dans un second temps il voit ses idées challengées par nos chroniqueurs. Et pour être en phase avec le thème, Nicolas est parti en congés estival ; c’est donc Fabrice Epelboin qui s’est chargé d’introduire le sujet.

Listen to « Épisode 5 : la transformation numérique du tourisme et de l’hôtellerie » on Spreaker.

[Introduction] Le secteur du tourisme face à la transformation numérique

Le tourisme est l’un des premiers secteurs qui a changé sous impulsion du numérique dans les années 90. Priceline, qui est à l’origine de Booking.com, a profondément bouleversé la façon dont on achète des billets d’avion. L’acteur Airbnb a lui changé la notion de propriété puisqu’il permet à un habitant absent des lieux de monétiser son bien immobilier en le louant ponctuellement. Pendant le séjour, ce sont les réseaux sociaux qui sont mobilisés pour partager son aventure au monde. Comment le numérique change notre façon de partir en vacances ? Tel est le sujet traité dans le 5ème épisode de notre podcast 50A Galaxy .

Partie 1 – Interview de Réda Berrehili

Selon Réda Berrehili, CTO de OneFineStay et co-fondateur de Square Break, la transformation numérique est essentielle pour améliorer notre quotidien. Et cela à travers Uber qui a permis une « remise à niveau » du marché du transport en taxi, mais aussi Deliveroo. Ces entreprises selon lui améliorent notre commodité. Il voit en eux une adaptation au numérique beaucoup plus rapide que les autres secteurs, et un changement de business-modèle efficace.

Pour lui depuis les débuts de Priceline il y a de vrais changements dans ce secteur. Il définit le modèle de booking.com qui est la désintermédiation. L’entreprise joue le rôle d’intermédiaire entre l’hôtellier et le voyageur « en prenant des commissions monstrueuses » et en rendant dépendante une grande partie du business. Avec AirBnb, cela a poussé tout le secteur hotellier à adopter cette philosophie.

Pour R. Berrehili, le secteur de l’hôtellerie réagit à ce nouveau mode économique en essayant de construire une valeur autour de la relation avec les voyageurs. C’est le CRM, le customer relationship management.

« Comment communiquer au mieux avec le voyageur pour proposer la meilleure destination ? »

Pendant la période de voyage, la problématique pour lui est de trouver comment améliorer l’expérience voyageur sans corrompre la relation de confiance ? Comment apporter plus de services sans être intrusif ?

Il s’intéresse à la domotique qui est en train de s’installer dans les chambres et maisons hôtelières et qui, à ses yeux, est ce que les gens recherchent. Il pense néanmoins que même si c’est important de faire des revenus grâce à des initiatives économiques comme la domotique, le but est d’être au service de l’être humain et respecter le client.

Le modèle économique du secteur du tourisme change avec la transformation numérique, mais l’ancien monde ne va pas disparaître avant au moins une trentaine d’années si on en croit ses projections.

Partie 2 – Le décryptage de nos chroniqueurs

Confrontons l’avis de notre expert ! C’est le moment de diverger avec Paul Richardet, Pierre Noro, Robert Vinet, Hayat Outahar, Fabrice Epelboin et Isabelle Fayolle.

Paul Richardet, agitateur de communautés et fondateur de Neww Life, pense que le marché financier du tourisme « rentre dans une rentabilité forte » et le lien entre les besoins du consommateur et du marché mérite une réflexion.

Pierre Noro, chargé d’innovation blockchain, et Isabelle Fayol n’ont pas la même vision des vacances que R. Berrehili : l’important pour eux est de vivre des expériences, découvrir des gens, aller chez eux, se connecter avec le monde, tout en se déconnectant de sa vie quotidienne et de la technologie.
Isabelle Fayolle nous parle d’économie circulaire, qui s’inscrit dans la vision d’un monde durable. Selon cette journaliste et consultante, le digital peut apporter bien plus qu’une maison mais des styles de vie, des sorties, etc. 

Robert Vinet cherche une utilité aux services digitaux, pour lui « il n’est pas question que de GAFA et de désintermédiation ».

Fabrice Epelboin rappelle que les GAFA sont en déclin. Il espère voir la fin de cette concentration d’ici peu pour voir de nouveaux modèles et acteurs émerger.

Hayat Outahar, fondatrice de Femmes Entrepreneurs, remercie les algorithmes qui permettent des séjours moins chers et personnalisés. Grâce à cela, « on est devenu des aventuriers » et on a plus peur de s’improviser des séjours. En livrant nos données, on participe certes au monopole des GAFA mais en contrepartie on a des services beaucoup plus adaptés. Elle rappelle que les pionniers des nouveaux modèles économiques du tourisme existent depuis un moment, ils n’avaient juste pas de business modèle.

 


  • Notre animateur :

Fabrice Darmon, chef de projet digital chez 50A, anime le podcast 50A Galaxy.
 

 

  • Nos chroniqueurs :

Isabelle Fayolle est journaliste tv, formatrice et animatrice. Elle anime conférences, tables rondes et est également coach en communication orale.
 

Hayat Outahar, consultante en gestion de projet numérique, est fondatrice de Femmes Entrepreneurs.
 


Robert Vinet, spécialiste de la blockchain et du marketing, il est fondateur de Blockchain Factory, consultant chez Social Media DataLab, Dr. Banner et DELVHON.
 

Paul Richardet, cofondateur de NUMA, il est également « master of the cool » chez Neww Life. Il tient un blog sur medium.
   

 

Pierre Noro, chargé d’innovation Blockchain chez Groupe Caisse des Dépôts.

 

Fabrice Epelboin, entrepreneur et spécialiste des médias sociaux, il est cofondateur de Yogosha et professeur à Sciences Po.
  

 

 


  • Pour en savoir plus : 
ARCHITECTURE SOCIALE DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

La transformation numérique des agences de communication


Pour son troisième podcast sur la transformation numérique, 50A Galaxy s’intéresse aux agences de communication. Le format de notre podcast s’articule autour d’une première partie avec l’intervention d’un expert, ensuite place à un débat de deux rounds entre des chroniqueurs pour diverger puis converger. 

[Introduction] La communication devient digitale

Aujourd’hui, dans un monde où la communication devient digitale, nous voyons se profiler les prochaines mutations. Parmi elles nous pensons que l’une des mutations fondamentales sera la cryptocommunication. En effet depuis l’arrivée de la blockchain et des ICO (méthode d’échange de monnaie numérique) en 2009, nous observons un véritable engouement pour cette technologie et l’avènement d’un nouveau monde. La cryptocommunication s’appuie sur la technologie blockchain, elle  permet de construire et proposer de nouveaux services transactionnels.  Il est ainsi possible de communiquer dans un environnement très hétérogène, à l’international, mais aussi de manière locale. C’est un marché instable et en perpétuel renouvellement. L’enjeu pour les agences de communication est de faire abstraction du passé pour imaginer le futur de la blockchain economy afin de s’adapter très vite.

Listen to « Épisode 3 : la transformation numérique des agences de communication » on Spreaker.

Partie 1 – Interview de Fabrien Aufrechter

Fabien Aufrechter, diplômé d’Histoire à la Sorbonne et de communication publique au Celsa, est actuellement responsable d’Havas Blockchain. Il nous permet de comprendre quels sont les changements en cours dans les agences de communication avec la technologie blockchain et comment nous pouvons imaginer la communication du futur.

Selon lui, la blockchain va faire émerger une nouvelle économie puisque cela permet de faire des transactions de pair à pair, sans intermédiaire. Cette économie c’est la token economy. En effet, les tokens sont des actifs numériques qui vont être émis par les entreprises, en général dans le cadre d’une levée de fonds pour un projet (via les ICO). Ces actifs sont achetés via de la crytpo-monnaie (bitcoin, ether…). Cela ressemble à un placement d’actions. Ces jetons peuvent aussi permettre aux utilisateurs d’accéder à un service : contrat, ticket d’entrée, points de fidélité, traçabilité, etc. Selon lui, la valeur du token s’appuie sur la réputation, et cette réputation est co-construite. C’est une opportunité pour les agences de communication puisqu’il sera possible de construire une relation transparente dépassant les enjeux du « marketing à la papa » pour engager les utilisateurs et capitaliser sur une force d’engagement.

« La blockchain permet de faire des transactions de valeur de pair à pair »

La problématique est que de nombreuses ICO aujourd’hui sont des arnaques ; l’enjeu est donc de consolider cette réputation afin de susciter la confiance, dans un monde où les annonceurs et les GAFA interdisent pour certains, notamment Twitter, les publicités à ce sujet. Il y a donc un gros besoin de pédagogie et c’est là où les agences de communication ont un rôle à jouer puisqu’elles conseillent, construisent la réputation et s’appuient sur des partenaires techniques, juridiques et stratégiques.

« Tous les secteurs peuvent être impactés par la technologie blockchain, comme hier tous les secteurs pouvaient être disruptés par internet »

Les acteurs les plus concernés par cette question d’après F. Aufrechter sont tous les secteurs de la mise en relation, on parle aussi d’intermédiation. Grâce à la technologie blockchain nous allons pouvoir redonner confiance en garantissant la traçabilité, la transparence et la sécurité. Nous pourrions assister à une véritable transformation de tous ces tiers (banques, assurances, notaires…). Bien entendu  les grandes marques et organisations n’ont pas envie de rater la vague.

La token economy permet donc de faire naître de nouveaux usages et services, à travers un système de traçabilité de l’information et surtout de traçabilité des transactions. Cette token economy fait émerger de nouvelles formes d’organisation. Avez vous déjà entendu parler des DAO ? Selon wikipedia « Une Decentralized Autonomous Organization (DAO ou en français « Organisation Autonome Décentralisée ») est une organisation fonctionnant grâce à un programme informatique qui fournit des règles de gouvernance à une communauté. Ces règles sont transparentes et immuables car inscrites dans un réseau blockchain, une technologie de stockage et de transmission d’informations, transparente, sécurisée, et fonctionnant sans organe central de contrôle. Une DAO doit disposer d’un mécanisme robuste de réputation pour identifier de manière précise et fiable la compétence et le niveau de confiance par une évaluation systématique et objective des comportements afin que chaque décision ne nécessite pas un large vote des participants. Une DAO doit permettre à ses contributeurs d’être rémunérés soit en crypto-monnaie (ETH, BTC, DAI) soit en parts de la DAO en proportion de la valeur de la contribution de chaque membre ».

Les DAO font ainsi émerger de nouvelles règles, de nouvelles typologies de contrats, et pourquoi pas de nouveaux modèles économiques ? Imaginons par exemple que nous mettions à disposition de marques ou d’entreprises nos fameuses datas personnelles. Celles-ci en échange de tokens pourraient alors nous rétribuer ou nous proposer de participer à la conception de leurs produits ou services. L’utilisateur pourrait donc réellement être impliqué en étant au coeur du produit ou du service.

Fabien Aufrechter va plus loin encore en posant la question de la gouvernance, qui peut être régulée de manière coopérative avec ce système de tokens.

Partie 2 – Les chroniqueurs

Nous avons laissé place à Robert Vinet, Christophe Ducamp, Paul Richardet, Pierre Noro, Fabrice Epelboin et Nicolas Bermond pour diverger sur la première partie de ce « postcast ».

Christophe Ducamp attend des éclaircissements sur comment va réellement être développé ce marché. Robert Vinet croit lui qu’au contraire la token economy sera dominante lorsque que les services seront développés. Il pense aussi que ce seront en réalité des processus communautaires et non mondiaux. Paul Richardet rappelle que ce modèle horizontal et décentralisé permet de bloquer des données et de les rendre officielles, mais cela peut être un danger puisque tout le monde aura accès à l’information et sans contrôle. Pierre Noro n’est pas d’accord lui avec le modèle de la réputation. Pour lui la communication doit être au service de la crypto-monnaie et non le contraire. Il aimerait également que soit développé l’aspect technique qui est assez complexe.

« On voit un poids lourd de la blockchain apparaître en France et les start-ups méritent d’être mieux connues »

Fabrice Epelboin a également du mal à appréhender la réputation dans ce contexte. C’est la confiance, qui, d’après lui, est fondamental pour permettre cette transition. Nicolas Bermond met en avant le potentiel de la technologie blockchain au profit des start-ups et des PME, qui peuvent s’appuyer sur un nouveau système de financement de projets.

Les chroniqueurs ont pu converger lors du second round. Pour Christophe Ducamp, c’est un réel enjeu de communication et de pédagogie qu’il est nécessaire de mettre en oeuvre pour faire adopter ces nouvelles technologies. Robert Vinet affirme qu’on va se retrouver, grâce à cette nouvelle vague numérique, aux fondements de ce qu’était internet, c’est-à-dire un lieu libre et démocratique. Paul Richardet se demande lui si ce ne serait pas un « habillage numérique d’un monde qui reste le même ». Il attend que soit rendu accessible l’aspect technique afin de prouver aux consommateurs en quoi cette technologie peut apporter des solutions. Pierre Noro s’accorde sur ce point, il trouve important de vulgariser et démocratiser l’accès à la technologie blockchain. Fabrice Epelboin est très optimiste sur ce retour au peer to peer et au logiciel libre. Pour lui la blockchain peut redéfinir le monde.

« L’adoption passe avant tout par la compréhension de la technique »

Nicolas Bermond conclut que la technologie blockchain est la technique du futur web décentralisé. Puisque cette technologie s’appuie sur de la cryptographie, cela va faire avancer nos droits et surtout permettre aux startupers et PME d’avoir un financement plus simple et plus global pour gérer les entreprises de manière plus moderne.

Pour aller plus loin sur les cryptomonnaies, découvrez le projet Tsari :

Découvrez notre éditorial sur 50A Galaxy le podcast. Allez écouter nos podcast sur la transformation numérique de l’Etat et de l’immobilier !

Retrouvez-nous sur iTunes, Soundcloud, ou Spreaker. Abonnez-vous à 50A Galaxy le podcast avec le flux rss. Contactez-nous !


Zoom sur la token economy


  • Notre animateur :Fabrice Darmon, chef de projet digital chez 50A, anime le podcast 50A Galaxy.
     
  • Nos chroniqueurs :

Robert Vinet, spécialiste de la blockchain et du marketing, il est fondateur de Blockchain Factory, consultant chez Social Media DataLab, Dr. Banner et DELVHON.
 

Christophe Ducamp, expert en stratégies d’innovation, design thinking et marketing, il est conseiller indépendant depuis 2010. Il tient un blog axé sur les pratiques du web.

Paul Richardet, cofondateur de NUMA, il est également « master of the cool » chez Neww Life. Il tient un blog sur medium.
 

Pierre Noro, chargé d’innovation Blockchain chez Groupe Caisse des Dépôts.

 

Fabrice Epelboin, entrepreneur et spécialiste des médias sociaux, il est cofondateur de Yogosha et professeur à Sciences Po.
 

 


  • Pour en savoir plus :

La transformation numérique : https://www.50a.fr/0/transformation-numerique

Les GAFA : https://www.definitions-marketing.com/definition/gafa/

Comprendre la blockchain : https://www.7×7.press/7-questions-pour-enfin-comprendre-la-technologie-blockchain 

La token economy pour les nuls : https://usbeketrica.com/article/la-token-economy-pour-les-nuls

Token economy et blockchain, nouveau paradigme pour les entreprises : https://blog.otiumcapital.com/la-token-economy-ou-le-nouveau-paradigme-des-r%C3%A9seaux-d%C3%A9centralis%C3%A9s-gr%C3%A2ce-%C3%A0-la-blockchain-befe6e7fbc90 

Les ICO : https://blockchainfrance.net/tag/comprendre-les-ico/

Les DAO : https://blockchainfrance.net/tag/comprendre-les-dao/

Pair à pair (peer to peer) : https://www.journaldunet.fr/web-tech/dictionnaire-du-webmastering/1203399-p2p-peer-to-peer-definition-traduction-et-acteurs/

Havas Blockchain : https://www.havasblockchain.io/

© Crédits photo de couverture : © dr – https://www.usine-digitale.fr/article/7-choses-a-savoir-sur-les-ico-ces-nouvelles-levees-de-fonds-en-crypto-monnaie.N585343 

DIGITAL TRANSITION NUMERIQUE

La transformation numérique de l’immobilier

50A Galaxy s’intéresse pour son deuxième podcast à la transformation numérique du secteur de l’immobilier. Le podcast s’articule autour d’une première partie consacrée à l’intervention d’un expert, puis d’un débat entre des chroniqueurs. Ils disposent d’un round pour diverger, et d’un deuxième round pour converger. Notre invité Robin Rivaton et nos chroniqueurs Robert Vinet, Christophe Ducamp, Paul Richardet et Guillaume Berger nous ont permis d’avoir un aspect global sur les enjeux de ce secteur.

 

La transformation numérique dans l’immobilier impacte les étapes du parcours projet et du parcours client

Après avoir assisté à des mutations sociétales et technologiques qui affectent tous les secteurs, on entre dans un tournant majeur dans le secteur de l’immobilier. Il ne s’agit plus seulement de construire ni de livrer des bâtiments ; toute la chaîne de valeur de la filière est concernée. Recherche de biens, recherche de fonciers, procédés de conception et de fabrication, modélisation numérique des bâtiments ou encore réalité virtuelle et augmentée, ce sont autant de process qui se numérisent.

Partie 1 – Interview de l’expert Robin Rivaton

Nous avons interrogé Robin Rivaton, fondateur de Real Estech, un label ayant pour but d’inciter l’innovation et la digitalisation de l’immobilier. Il nous a éclairé sur les changements en train de s’opérer à travers le numérique dans ce secteur, mais nous a livré également son regard sur les enjeux de cette dématérialisation.

Son action a pour but d’alerter sur la lenteur vis-à-vis de l’adoption des innovations technologiques au sein de ce secteur. Si l’immobilier est en retard en France par rapport à d’autres secteurs, il l’est également en comparaison à l’échelle mondiale, et surtout à la Chine, aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Cela peut se comprendre : la domestication des innovations technologiques peut prendre du temps, comme l’a été l’électricité. La transformation numérique de l’immobilier serait surtout attendue dans le matériel, le hardware et l’infrastructure lourde.

« Il n’est pas supportable que le poids de l’immobilier monte de plus en plus dans le budget des ménages sans que la qualité des produits qui est offerte ne progresse »

D’après lui, la transformation numérique permet une harmonisation de l’offre et de la demande, en construisant plus et plus rapidement, et en adaptant mieux aux usages d’aujourd’hui. Cela est en effet devenu nécessaire de réaménager les bâtiments, qui ont été construits dans une époque où les usages étaient complètement différents. Tout l’enjeu repose donc sur les coûts que cela implique et sur l’action politique, qui est indispensable pour une transformation numérique et une adaptation technologique réussies. Le foncier a ainsi un rôle fort à jouer pour convaincre les politiques. Néanmoins, ce changement doit être maîtrisé et protégé.

« Je pense que c’est la conjonction et la capacité des politiques et des individus à saisir ces technologies pour aller dans une volonté politique »

Partie 2 – Le débat des postcasteurs

Robert Vinet, projectiviste dans la blockchain, Christophe Ducamp, évangéliste dans l’indie-web et Paul Richardet, agitateur de communautés, ont disposé d’un premier round pour évoquer leurs divergences par rapport à l’interviewé. C’est ainsi que Robert Vinet indique la nécessité de détailler les éléments qui composent cette transformation numérique. Il en cite deux : la blockchain et l’impression 3D, qui ont un impact dans l’économie de l’immobilier. Christophe Ducamp pense lui, d’un point de vue sociologique, à l’innovation des nouveaux quartiers grâce au numérique, visant à une meilleure qualité de vie. Paul Richardet est plus sceptique notamment sur les enjeux environnementaux et les difficultés de plus en plus accrues pour se loger. Guillaume Berger est également intervenu et rappelle qu’il y a un rapport de force entre le marché et les consommateurs ; pour lui, l’important est que le consommateur profite de cette transformation numérique et qu’il y ait une transparence du marché.

« La blockchain est en train de changer de manière considérable les flux de l’information et la mémorisation de celle ci et cela impactera l’immobilier de manière très importante »

Au deuxième round, les chroniqueurs ont pu converger. Robert Vinet s’interroge sur l’utilisation des data dans l’économie de ce marché.  Christophe Ducamp se questionne alors sur la cartographie du traitement des données. Paul Richardet conseille d’anticiper l’utilisation des données et son économie avant d’accélérer la transformation numérique de l’immobilier. Guillaume Berger insiste lui sur les besoins du consommateur et est plus optimiste quant à son accomplissement grâce à la transformation numérique. Nicolas Bermond, chez 50A, nous a aussi livré son point de vue…

 

Pour aller plus loin, nous avons demandé à Frédéric Motta, DG de WiredScore sa vision de la transformation numérique de l’immobilier :

Découvrez notre éditorial sur 50A Galaxy le podcast. Le mois dernier, nous nous sommes intéressés à la transformation numérique de l’état ! Soyez au rendez-vous pour notre prochain podcast sur la transformation numérique des agences de communication le 2 mai !

Retrouvez-nous sur iTunes, Soundcloud, ou Spreaker. Abonnez-vous à 50A Galaxy le podcast avec le flux rss. Contactez-nous !


  • Nos chroniqueurs :

Robert Vinet, spécialiste de la blockchain et du marketing, il est fondateur de Blockchain Factory, consultant chez Social Media DataLab, Dr. Banner et DELVHON.
 

Christophe Ducamp, expert en stratégies d’innovation, design thinking et marketing, il est conseiller indépendant depuis 2010. Il tient un blog axé sur les pratiques du web.

Paul Richardet, cofondateur de NUMA, il est également « master of the cool » chez Neww Life. Il tient un blog sur medium.
 

Guillaume Berger, fondateur de l’application Karmapolis, réseau social culturel.
 

 


  • Pour en savoir plus :

La transformation numérique :
https://www.50a.fr/0/transformation-numerique

Robin Rivaton :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Robin_Rivaton

Paris Région Entreprises :
http://investparisregion.eu/

L’immobilier demain, La Real Estech, des rentiers aux entrepreneurs :
https://www.amazon.fr/Limmobilier-demain-Estech-rentiers-entrepreneurs/dp/2100770160

La Real Estech :
realestech.eu

Qu’est-ce qu’un foncier ? :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Foncier

Le rôle du foncier dans le prix de l’immobilier :
https://www.cairn.info/revue-de-l-ofce-2013-2-page-365.htm

La blockchain :
https://www.50a.fr/0/blockchain

L’indie-web :
https://en.wikipedia.org/wiki/IndieWeb